Appel à candidatures pour la Résidence BMW jusqu’à fin mars !

BMW Art & Culture a lancé le neuvième appel à candidatures pour la Résidence BMW à GOBELINS.

Cette carte blanche, dédiée à l’innovation photographique et la transmission est offerte à des talents contemporains de la photographie. Les candidatures sont recevables sur la plate-forme Picter jusqu’au 29 mars 2019 :
https://contests.picter.io/bmw-residency-2019

Le jury nommera le lauréat en mai.

BMW Art & Culture permet, chaque année depuis 2011, à un artiste photographe de réaliser un projet photographique au cours d’un séjour de trois mois de résidence. Le projet est réalisé à GOBELINS, l’école de l’image, partenaire depuis deux ans, après six ans de partenariat avec le musée Nicéphore Niépce.

Le projet présenté par les candidats pour la Résidence BMW devra être riche de sens, orienté sur l’innovation et l’expérimentation pour proposer une vision renouvelée de notre monde en transition, par tous procédés : techniques, narratifs, documentaires, humoristiques … en s’appuyant sur les ressources de GOBELINS et l’expertise de François Cheval, directeur artistique de al Résidence;

Le projet doit être original et exclusif pour la Résidence BMW et ne doit pas avoir été montré, même partiellement au moment de la candidature; il ne devra pas être exposé avant les Rencontres d’Arles* ni Paris Photo* 2020.

BMW offre au lauréat(e) de la Résidence à GOBELINS une bourse de 8000 €, l’accompagnementd’un directeur artistique et de professionnels experts dans les domaines de l’image, de l’édition et de la scénographie, la production d’une exposition personnelle aux Rencontres d’Arles* et à Paris Photo*, l’édition d’un livre vendu en librairie et un accompagnement de communication.

L’artiste est choisi(e) sur dossier, par un comité de sélection, après avoir répondu à l’appel à candidatures. Le comité de sélection est constitué de personnalités du monde de la photographie.

Les dossiers de candidatures devront être composés d’une biographie, d’un dossier présentant la démarche générale de l’artiste, de séries de travaux aboutis ainsi que d’une note d’intention sur le projet artistique envisagé.
Dix photographes seront retenus dans une présélection. Il leur sera demandé de se rendre disponible une demi-journée pour un entretien avec le jury et présenter des tirages photographiques et travaux réalisés.

Le jury se réunira en mai pour une annonce du lauréat. Les prises de vue devront être effectuées avant fin décembre, la production et la réalisation avant le 1er mars 2020.

La production des œuvres, composée d’une sélection choisie entre l’artiste et le directeur artistique de la Résidence BMW est répartie en trois lots : le jeu d’exposition est remis à l’artiste, une sélection d’œuvres est remise à BMW pour sa collection d’entreprise,  l’image retenue pour la communication autour du projet du lauréat est remis à GOBELINS.

Les œuvres réalisées pendant la Résidence BMW seront présentées dans un livre aux éditions Trocadéro dans la collection BMW Art & Culture.

La Résidence BMW se déroulera de septembre à décembre 2019.

L’appel à candidatures pour la prochaine Résidence est téléchargeable sur les sites internet de BMW France et de GOBELINS depuis le 13 décembre 2018:

 www.bmw.fr/candidatures-residencebmw-2019 ou www.gobelins.fr/residencebmw2019

Relations presse : mprangey@gmail.com
l’image par l’image conseille BMW pour la Résidence BMW

*Les évènements cités ne sont pas contractuels et peuvent être amenés à être modifiés.

Digital after love, à la Cité de la musique pour les 10 ans de la Fondation Swiss Life

Cette édition exceptionnelle du Prix Swiss Life à 4 mains, anticipée  pour les 10 ans de la Fondation Swiss Life en 2018, a récompensé le photographe Oan Kim et la compositrice-interprète Ruppert Pupkin, coup de coeur du jury de l’édition précédente.
Ils présentent « Digital After Love. Que restera-t-il de nos amours ? « leur création photo-musique au Musée de la musique-Philarmonie de Paris, dans le cadre de l’exposition Doisneau et la musique du 4 décembre 2018 au 28 avril 2019.
Le commissariat de l’exposition est assuré par Clémentine Deroudille, petite- fille du célèbre photographe. Un livre disque a été édité chez Actes Sud, présenté en avant- première  à Paris Photo en novembre 2018.

Le duo d’artistes a imaginé en sons et en images le récit d’un amour révolu retrouvé dans les vestiges numériques d’un vieux smartphone.
De la découverte d’un smartphone endommagé, les deux artistes tentent d’ordonner, comme un puzzle, les pièces d’une histoire d’amour contemporaine : d’un côté une femme, que l’on découvre en images et en sons, de l’autre un partenaire invisible, qui la photographie inlassablement. De leurs sms, e-mails et messages vocaux morcelés, pixélisés, rendus partiellement illisibles par l’altération des données, transparaît une histoire d’amour marquée par l’errance, entre réalité et fiction.

Un kaléidoscope musical et photographique reconstitué à partir de ruines numériques, d’où surgit le fantôme d’une obsession amoureuse à travers notre monde urbain d’aujourd’hui.

Ecouter l’album

 

 

 

 

 

Ruppert Pupkin
Auteure, compositrice, chanteuse, actrice, réalisatrice

Ruppert Pupkin voyage entre les scènes rock, les plateaux de théâtre et le cinéma. Elle compose et écrit des chansons pour des films, créé des pièces sonores et musicales pour des spectacles, et se produit en concert et dans des performances en tant qu’interprète en France, en Suisse en Russie et en Allemagne.
Sous ce pseudonyme emprunté à Scorsese, Emmanuelle Destremau est Coup de cœur de la rédaction SFR jeune talent en 2011, puis collabore avec Chanel et Libé Next. Elle compose son premier album RUN qui sort en 2016, réalisé par son acolyte Pygmy Johnson. Elle y dévoile des chansons fragiles et rugueuses aux accents joyeusement désespérés. En 2018, elle crée avec le violoncelliste Thomas Kpade le collectif Choke et la performance musique/cinéma : PARIS BY HEART, lauréate de l’appel à projet de la nouvelle SMAC parisienne BCUBE.
Après avoir réalisé une dizaine de documentaires, entre Gaza, Paris et New-York, Emmanuelle Destremau est artiste associée dans la compagnie théâtre de Chambre(Nord) puis du théâtre Am Stram Gram dirigé par Fabrice Melquiot à Genève entre 2015 et 2017. Comme auteure de théâtre et scénariste, elle écrit une dizaine de pièces (en partie publiées chez le Bruit des Autres), collaboreà l’écriture du film Héros de Bruno Merle (Cannes 2007) et sa pièce Les Violette – finaliste du Grand Prix de Littérature Dramatique est adaptée au cinéma par Benoît Cohen. Performeuse et comédienne, elle co-dirige depuis 2014 la compagnie l’Organisation avec Elodie Segui. Sa candidature a été proposée par Clémentine Deroudille, journaliste, auteure et commissaire d’exposition.

Oan Kim
Photographe, réalisateur et musicien

Evoluant entre le milieu de la photographie documentaire et celui de l’art contemporain, il alterne les sujets proches du documentaire classique et des recherches plus proches des arts plastiques. En explorant les limites coulissantes de la réalité représentée et de la subjectivité qui en rend compte, il réinvente pour chaque sujet une forme nouvelle qui lui corresponde. Il compte une vingtaine d’expositions personnelles à Paris, Arles, New York, Los Angeles, Dallas, Séoul et Macao, et de nombreuses expositions collectives à travers le monde.
En 2009, il publie « Je suis le chien Pitié » chez Actes Sud en collaboration avec l’écrivain Laurent Gaudé. Il a reçu plusieurs bourses et commandes du CNAP, du FIACRE, de la SCAM, du Musée d’Art de Macao. Il a reçu le prix des Nuits Photographiques, le prix Artiste de Demain du musée Sungkok à Séoul, et le prix de Photographie de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris. Il est membre co-fondateur de l’agence M.Y.O.P. Né en 1974, sa formation est double. Il a étudié les arts plastiques à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, et la composition musicale au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Sa candidature a été proposée par Laetitia Guillemin, iconographe et intervenante au sein du département Photographie de Gobelins, l’école de l’image.

 

Le Prix Swiss Life à 4 mains est une initiative artistique développée par la Fondation Swiss Life depuis 2014.
Destiné à révéler des artistes encore peu connus, le Prix invite, tous les deux ans, un compositeur et un photographe à imaginer une création croisée pour un projet original commun.
Cette démarche novatrice favorise le dialogue entre musique et photographie.

 

Les deux Prix Swiss Life à 4 mains précédents ont été remis en 2015 à Julien Taylor et Arthur Lavandier pour l’opéra de chambre Bobba à la Cité de la musique et au musée La Piscine dans le cadre de l’exposition « Chagall et la musique », et en 2017 à Smith & Hoang présentés au Palais de Tokyo dans le cadre de l’exposition « Le rêve des formes » pour leur œuvre Saturnium.

https://ruppertpupkin.bandcamp.com/
http://www.myop.fr/photographer/oan-kim
www.swisslife.fr/fondation
http://actes-sud.fr/
https://philharmoniedeparis.fr/fr

Contacts presse
nathalie.dran@wanadoo.fr
c.magne@actes-sud.fr

Coup de coeur pour « Photographier Paris- nouveaux regards sur la ville » à l’Hôtel de Ville de Paris

Thomas Boivin

A l’invitation de la Mairie de Paris, les trois commissaires de l’exposition Fannie Escoulen, Anna Planas et Pierre Hourquet, ont choisi les regards de seize artistes français et étrangers sur la capitale. Les auteurs nous « proposent de déambuler dans la ville à travers des portraits, des paysages et des monuments de leur choix » Emblématiques ou surprenants du paysage parisien, « les clichés reflètent avec humour et mélancolie, naturel et mise en scène, différentes facettes de Paris. » (..) « Ces fragments de Paris viennent s’entremêler à la vision que chacun se fait de la ville, formant un tout, divers, contradictoire, humain. » commente Christophe Girard, adjoint à la Maire de Paris pour la culture.

Exposition « Photographier Paris »

Représentatif d’une génération, ces photographes nous montrent  des aspects poétiques mais aussi réalistes de la Ville. Dans une diversité d’écritures, ils s’attachent à la Ville ou à ses bordures, de manière décalée, inattendue, insolite. Tous travaillent avec cette matière foisonnante que sont ses habitants, son architecture, ses événements, son urbanité. Tous ont l’ambition d’un regard original, drôle ou grave, mélancolique ou coloré, chaotique ou silencieux.

Exposition « Photographier Paris »

« Des regards (..) captant des moments de joie ou d’insouciance, sans être aveugles à la dureté de l’existence. Certaines photographies témoignent du Paris d’aujourd’hui tandis que d’autres construisent une ville rêvée, imaginée » commente Anne Hidalgo, Maire de Paris.

Du documentaire à l’intime, de la fiction personnelle aux petits instants anodins de la réalité, ils dépassent l’anecdotique pour livrer une nouvelle mosaïque, une cartographie imaginaire d’un Paris aux multiples langages.
Une promenade s’installe alors dans le parcours de l’exposition…

Exposition « Photographier Paris »

A Belleville-Ménilmontant, Thomas Boivin rencontre les passants et leur tire le portrait depuis cinq ans. Ola Rindal, déambule et saisit des images insolites teintées d’onirisme. Yusuf Sevinçli marche, vole des images et s’échappe. Stephan Keppel observe et fragmente des morceaux de Ville.Paulien Oltheten s’installe à un coin de rue et interroge le chaland : pourquoi NON ? Lucile Boiron s’engage auprès de migrants et peu à peu les photographie. Laurent Chardon documente la ville et ses transformations, perdu dans un labyrinthe sans issue.

Peter Tillessen

Peter Tillessen avec humour, invente des micros-fictions urbaines.
Sandra Rocha s’attache à une bande d’adolescentes en banlieue de Paris et leur parle d’amour. Geoffroy Mathieus’attèle au principe de ruralité dans le Grand Paris et interroge les nouveaux modes de productions agricoles urbains. Enfin, Louis Matton s’invente architecte, urbaniste, dirigeant politique, en créant le projet Aéroparis.
Autour de ces onze grands ensembles, s’articulent les images de Safouane Ben Slama, Quentin De Briey, Laurent Kronental, Ye Rin Mok, Maxime Verret, contre-champs visuels et poétiques aux séries déployées.

Exposition gratuite à l’Hôtel de Ville
5 rue de Lobau – Paris 4e
L’exposition est prolongée jusqu’au 2 février

Carte blanche à Fred Delangle et Ambroise Tézenas

Haroun

« J’ai 24 ans et je viens du Tchad. Avec ce manteau, je me sens sur un pied d’égalité pour trouver du travail, ou étudier! Quand tu viens chez quelqu’un, je trouve que c’est normal de t’adapter à la manière dont il vit »
Haroun – extrait de Des sneakers comme Jay-Z

Un soir d’hiver, Zaman, un jeune afghan – arrivé en bermuda et en tongs après avoir marché seize mois depuis Kaboul –, s’est présenté au vestiaire de l’association Emmaüs Solidarité à Paris. Il a demandé à Valérie Larrondo, bénévole depuis 2016, sans trop y croire si par hasard, dans le tas de tennis usagées qui lui étaient présentées, il n’y aurait pas plutôt une paire de baskets « des baskets pas moches….Des sneakers comme celles de Jay Z ». L’idée du projet est partie de là.  Avec un vidéaste et quatre bénévoles, deux photographes de renom, Fred Delangle et Ambroise Tézenas, ont cherché à en savoir plus sur le rôle de leurs vêtements. « Ceux qu’ils portent et qui ont appartenu à d’autres. Ce qu’ils représentent pour eux. En quoi ils dénoncent, en quoi ils trahissent ou en quoi ils protègent – et pas juste du froid et de la pluie. »  Sensible à ce travail « Des sneakers comme JAy-Z » découvert lors d’une projection au CentQuatre à Paris et aux Rencontres d’Arles,  à l’engagement bénévole des deux photographes qui n’ont plus rien à prouver, l’image par  l’image vous propose pour les voeux rituels de bonne année, un travail sensible, respectueux du sujet traité en soutien à Emmaüs Solidarité.

Fred Delangle et Ambroise Tézenas ont répondu aux questions de l’image par l’image 

Voir la carte blanche

Prêts pour un novembre photographique à Paris ?


« Une photographie n’est pas nécessairement un mensonge, mais ce n’est pas la vérité non plus. Il faut être prêt à saluer l’inattendu. » disait la regrettée Martine Franck à qui la Fondation Henri Cartier Bresson va consacrer  sa première exposition dans ses nouveaux locaux du Marais.

Que dire de mieux pour aborder toutes les propositions photographiques  de novembre à Paris! Mais il va falloir choisir et puis aussi prévoir de bonnes chaussures pour arpenter les allées et les lieux d’exposition.

Quelques repères et les propositions de l’image par l’image en toute subjectivité: 

Les Foires et festivals
Paris Photo

Mickalene Thomas Calder Series#2

Nous choisissons de vous proposer parmi les 167 galeries présentes quelques artistes sur lesquels nous avons attiré votre attention sur ce site et que vous retrouverez dans les allées riches en multiples découvertes et valeurs sûres portées par les professionnels présents au Grand Palais, du 8 au 11 novembre:

 

 

 

 

Baptiste Rabichon, lauréat de la Résidence BMW,  Oan Kim et la compositrice Ruppert Pupkin dont le livre « Digital after Love, que restera t il de nos amours ? » édité par la Fondation Swiss Life sort en avant première chez Actes sud, et puis Maia Flore, et Adrien Boyer.

 

 

Fotofever

César Ordóñez, Ashimoto (courtesy Fifty Dots Gallery).

Start to collect ? La foire propose de vous initier à la collection de photographies,  de rencontrer 100 galeries et éditeurs de plus de 20 pays différents, dont le Japon à l’honneur de cette nouvelle édition.
Et puis la découverte de trois jeunes talents sélectionnés lors du Young Talents Fotofever Prize, au Carrousel du Louvre, du 8 au 11 novembre.

 

 


a ppr oc he

Emmanuelle Fructus

Le jeune salon Approche sélectionne des artistes qui font appel à la photographie sur des supports non traditionnels et interrogent la photosensibilité. Les deux jeunes directrices vous plongeront tour à tour dans la mémoire collective, l’histoire de l’abstraction ou encore l’observation du réel, une invitation à un vrai jeu photographique !
Par exemple, les tableaux d’Emmanuelle Fructus, fabriqués à partir de découpages et collages dans des photographes anonymes; tels des suites de chiffres et de dates, ils parlent aussi de notre Histoire, celle des disparus, des rescapés et des vivants. Sur réservation du 9 au 11 novembre, dans  l’hôtel particulier Molière du 1er arrondissement.

 

Photo Saint Germain

Claudine Doury

Pour la 7è édition, le Festival propose une programmation trop riche pour la résumer. Vous voyagerez dans l’espace et dans le temps.  Il sera difficile de résister à aller à la rencontre des personnes photographiées par Claudine Doury,   il y a vingt ans le long du fleuve Amour,  à l’Académie des Beaux Arts et à la Galerie particulière. Vous imaginerez  Prague en 1945 avec la Topographie des ruines de Joseph Zudek au Centre tchèque.

 

Elsa &Johanna

Avec Elsa  &Johanna (Johanna Benaïnous et Elsa Parra) à la Galerie Marie Hélène de la Forest DIvonne, vous glisserez  avec les deux artistes  dans la peau de personnages observés dans la rue ou simplement imaginés au gré de leurs explorations urbaines. « A Couple of Them » .

 

Et bien d’autres merveilles à découvrir, du 7 au 24 novembre, des rencontres, des conversations, des signatures au rendez-vous rive gauche 

 

Les institutions

Dave Heath, Sesco, Corée, 1953-1954 © Dave Heath / Collection Archive of Modern Conflict, courtesy Howard Greenberg Gallery, New York, et Stephen Bulger Gallery, Toronto

 

Au BAL, la belle découverte de Dave Heath qui occupe une place singulière dans l’histoire de la photographie américaine.  « Influencé par Eugène W.Smith et par les maîtres de l’école de Chicago dont Aaron Siskind et Harry Callahan. Il ne peut être pourtant considéré comme un photographe documentaire ni comme un photographe expérimental. Sa photographie est avant tout une manière d’attester de sa présence au monde en reconnaissant en l’autre un alter ego absorbé dans ses tourments intérieurs » selon  Diane Dufour,  qui propose une nouvelle fois une exposition remarquable, Dialogues with Solitude,  impasse de la Défense Paris 18è.

 

Fondation Henri Cartier Bresson


Découvrir le nouveau lieu de la Fondation et contempler les images de Martine Franck devrait être un grand moment, 79 rue des Archives Paris 4è.

 

 

Jeu de Paume

The Dorothea Lange Collection, Oakland Museum of California. collection.

 

Dorothéa Lange, par son travail au profit d’institutions fédérales américaines,  a inlassablement  dénoncé les injustices sociales . Ses images au plus près des personnages photographiés constituent un documentaire social et artistique de la Grande Dépression, de l’immigration des années 40 qui font étrangement écho avec l’actualité. Les séries consacrées à l’internement des citoyens américains d’origine japonaise , archives militaires n’ont été publiés que depuis qu’en 2006. Elle a été la première photographe à bénéficier d’une exposition personnelle au Museum of Modern Art de New York en 1966. A voir sans faute place de la Concorde.

 

 

Pentti Sammallahti

 

Et puis il y a toutes les galeries qui proposent des programmes alléchants et que nous n’avons pas encore visitées…. A recommander déjà pour garder votre bonne humeur, le très poétique Pentti Sammallahti, galerie Camera Obscura, boulevard Raspail, Paris 14.

 

 

L’image par l’image vous souhaite de belles visites et découvertes !