Carte blanche à max&charlotte

 

©max&charlotte

Maxence et Charlotte, issus d’une formation photographique aux Gobelins, deviennent max&charlotte en 2009 afin de lier leurs personnalités complémentaires.
Leurs univers personnels, mêlant onirisme et humour visuel des jeux de leur enfance, leur permettent de trouver des thèmes communs.
Leur premier projet « Où est Charlie© » a déjà été exposé à Paris en 2011 et 2012, à Amsterdam et Copenhague en 2012 et plus récemment à Shanghaï, Orléans, Tours et Blois.
Cette série photographique, inspirée de l’univers ludique et coloré des livres d’illustration Où est Charlie de Martin Handford offre un écrin contemporain au personnage de Charlie et invite le spectateur à se prendre au jeu de la quête dans certains des lieux les plus emblématiques de Paris : l’Opéra Garnier, le musée d’Orsay, le jardin du Luxembourg …

Le projet a depuis le début une belle couverture médiatique avec diverses parutions dans Polka magazine, D magazine, Courrier international Japon, Le Monde, Arty magazine mais aussi des passages à la télévision : l’Edition Spéciale et la Matinale de Canal + en 2011 et l’hyper revue de presse sur France Info en 2013.
Le duo prépare de nouvelles images pour la série qui les ont fait connaître mais aussi une nouvelle série.

L’image par l’image, séduit depuis deux ans déjà lors d’une exposition à Bercy village, par leur énergie, leur fraicheur mais aussi leur exigence vous propose de les rencontrer et de regarder quelques unes de leurs images dans cette Carte blanche

max&charlotte ont répondu aux questions de « l’image par l’image »

Quelle relation voyez vous entre les marques et la photographie ? Quelle est votre vision des marques aujourd’hui ?
L’image, qu’elle soit photographique ou purement graphique, est le message d’une marque. Elle doit symboliser et identifier en une fraction de seconde, pour un passant qui la verrait dans un métro, l’essence même des valeurs de la marque.
Aujourd’hui, l’Art devient un enjeu de marketing. Les marques se tournent vers des auteurs pour amener une vraie démarche artistique qui valorisera leurs produits. Associer un artiste et une marque permet, respectivement, au premier d’avoir un rayonnement plus populaire et à la seconde, de positionner son identité dans un univers plus luxe-art. La marque approche du merveilleux en faisant le choix de l’art.

 Seriez vous prêt à travailler pour des marques sous forme d’une commande et quel serait alors votre enjeu ?
Nous souhaiterions que la démarche qui soit faite vers nous nous permettent de continuer à véhiculer ces valeurs : fédérer les gens, créer une relation intime entre le spectateur et la création et bien sûr, la notion de participatif qui est, à notre sens, l’orientation que l’art doit prendre. Nous avons une ligne de conduite et une éthique que nous ne voulons pas perdre.

Quel serait votre enjeu, en tant que photographe, si vous faisiez un travail  de commande pour une marque ?
Dans le cadre du duo artistique max&charlotte, nous souhaitons garder une certaine éthique : respect des valeurs que nous véhiculons, respect de notre personnalité et de notre vision du monde tout en répondant à la commande du client.

 

Charlotte Moulard
Passionnée depuis l’enfance par la littérature et le dessin, Charlotte sort diplômée de l’ESAG Penninghen en section arts graphiques (mention bien) en 2005. Cette formation complète de 5 ans la forme à la conception graphique : couleur, composition, typographie ou encore photographie entre autres. Elle approfondit cet enseignement pendant deux ans à l’Ecole des Gobelins en section Prise de vue où elle rencontre Maxence. En plus de sa collaboration au duo max&charlotte, Charlotte travaille comme photographe de mode et directrice artistique.

 


Maxence B. Cardon
Dès son plus jeune âge, la photographie passionne Maxence qui suivra tout naturellement un cursus professionnalisant dans ce domaine : CAP et BAC pro photographie. Afin d’approfondir ses connaissances et découvrir d’autres médiums, il étudie ensuite les Arts Plastiques à l’université durant deux ans avant de rejoindre en 2008, l’Ecole des Gobelins en section Traitement de l’image. Ces deux années de formation lui permettent d’apprendre la retouche et d’approfondir encore ses compétences en lumière.Depuis 2010, Maxence est photographe et retoucheur Free-lance.

 

www.maxetcharlotte.com

Concours photo: « (A)voir la main » avec Wipplay.com, le PMU et le BAL

©Kourtney Roy

A l’occasion de la « Carte Blanche PMU», Wipplay.com, le PMU et LE BAL lancent un grand concours photographique : A(VOIR) LA MAIN,  « Le jeu, le sport et vous », du 2 janvier au 13 février.

Les lauréats choisis par le jury verront leurs photographies présentées au BAL au printemps 2014, en écho au travail de Kourtney Roy,  lauréate de la carte blanche PMU 2013, et à sa série d’autoportraits réalisés dans l’univers des jeux et des paris.

Tous les amateurs, passionnés d’images  sont invités à participer à ce grand concours photographique.
Pour participer, rien de plus simple : il suffit de vous inscrire sur le site wipplay.com et de poster votre photo.

Tables de poker ou de black-jack, courses hippiques, matchs de foot ou de basket, parties effrénées de tennis, de ping pong… bref, le jeu dans tous ses états sera le décor ou le scénario de vos photographies!  Seule obligation, faire apparaître au moins une main dans l’image.

Le jury composé de Diane Dufour, directrice du BAL, d’Alain Genestar, directeur de la publication de Polka Magazine, des photographes Kourtney Roy et Thomas Mailaender et de Benoit Cornu, Directeur de la Communication du PMU, sélectionneront les meilleures images.

Les 3 photos ayant recueilli le plus grand nombre de suffrages des internautes remporteront le prix des wipplayers.

La Carte blanche PMU :
Le PMU témoigne de son engagement en faveur de la création photographique contemporaine en s’associant au BAL pour donner carte blanche à un jeune photographe afin de lui permettre de porter son regard sur l’univers des jeux et paris.
  Le photographe sélectionné par le Jury après un appel à candidature lancé par le PMU et le BAL et ouvert à tout photographe professionnel, bénéficie d’une dotation de 20 000 euros pour la réalisation d’un projet inédit.

Expérimentez la photographie ludique en devenant Wipplayer
En lançant de grands jeux photographiques chaque semaine, Wipplay.com invite tous les passionnés d’images à « Shooter, voter, gagner» à travers un réseau social dédié et organisé autour de manifestations culturelles, d’évènements citoyens ou de tendances artistiques.
Wipplay.com propose à ses wipplayers de partager leurs travaux sur leur profil, gagner des badges (noctambule, voyageur, noir et blanc…) et récolter le flash d’autres wipplayers, sous le regard de grands experts de l’image.
Vivier de belles images amateurs, wipplay.com donne également régulièrement naissance à des grandes expositions (à L’Hôtel de Ville – Paris ou au festival de la MAP – Toulouse par exemple).

http://www.wipplay.com/fr_FR/concours-photo/pmu-avoir-la-main

 Contacts
paolo.antonio@pmu.fr
francoise.vogt@pmu.fr
meudic@lebal.fr

julie@wipplay.com

 L’image par l’image conseille le PMU

 

 

 

 

 

 

Carte blanche à max&charlotte

 

©max&charlotte

Maxence et Charlotte, issus d’une formation photographique aux Gobelins, deviennent max&charlotte en 2009 afin de lier leurs personnalités complémentaires.
Leurs univers personnels, mêlant onirisme et humour visuel des jeux de leur enfance, leur permettent de trouver des thèmes communs.
Leur premier projet « Où est Charlie© » a déjà été exposé à Paris en 2011 et 2012, à Amsterdam et Copenhague en 2012 et plus récemment à Shanghaï, Orléans, Tours et Blois.
Cette série photographique, inspirée de l’univers ludique et coloré des livres d’illustration « Où est Charlie » de Martin Handford, offre un écrin contemporain au personnage de Charlie et invite le spectateur à se prendre au jeu de la quête dans certains des lieux les plus emblématiques de Paris : l’Opéra Garnier, le musée d’Orsay, le jardin du Luxembourg …

Voir la Carte Blanche

Carte Blanche à Cristiana Thoux

Passionnément italienne, Cristiana Thoux  nous entraine dans son univers de photographe atypique. L’utilisation de l’iphone comme appareil photo lui permet de trouver une liberté de mouvement et de liberté, une expression originale que nous vous proposons dans cette Carte blanche.

Elle capture en images les villes qu’elle visite avec son seul iPhone, un outil peu académique pour cette scénographe, diplômée des Beaux-Arts de Florence, où elle baigne dans un univers artistique qu’elle qualifie d’ « incroyable ».  Nous ne doutons pas que vous partagerez ses émotions qu’elle nous transmet ainsi loin des effets rendus par les appareils à très haute définition et les logiciels de retouche.  Les clichés de Cristiana Thoux sont emplis de couleurs chatoyantes et de moments suspendus, uniques et insolites.

 

 

« Quand je prends une photo tout se fait rapidement, c’est comme une aigle qui chasse un lapin,  c’est rapide, immédiat. Ces gestes rapides arrivent parce que dans mes yeux, dans ma tête et dans mon cœur il y a  une mémoire artistique si on peut l’appeler ainsi,  qui me guide sans que je m’en aperçoive. La profondeur, les sentiments, les émotions, le sens de l’équilibre de la composition, les couleurs froides et chaudes, le noir et blanc, la luminosité. Tout est calé comme dans un tableau. C’est ça que j’aime. C’est comme cela que je me sens moi -même. » dit Cristiana Thoux

L’image par l’image vous invite aussi à découvrir en musique les images qu’elle vient de rapporter de Cuba  https://vimeo.com/62441095

 Cristiana Thoux a répondu à nos questions 

Pourquoi l’utilisation de l’iphone comme appareil photo ?Je me souviens du conseil que m’a donné un ami photographe : « Le meilleur appareil photo, c’est celui que tu peux emporter partout avec toi ». C’est exactement ce que j’ai pu vérifier, il y a quelques années. J’ai eu l’opportunité d’aller visiter New York en 2010.

Je suis donc partie avec un simple iphone et j’ai découvert qu’il me donnait une liberté
de mouvement et finalement d’expression. J’ai accepté les défauts de l’appareil pour jouer sur la lumière et les émotions, sans zoom ni objectif grand angle, l’iPhone m’oblige à me rapprocher de mes sujets et m’a aidée à vaincre ma timidité. Depuis mon challenge a été de travailler avec différents appareils en même temps.

Seriez vous prêt à travailler pour des marques sous forme d’une commande et quel serait alors votre enjeu ?

La commande a toujours fait partie de l’histoire de l’art et cela est pour moi évident. Je travaille presque toujours ainsi et suis tout à fait à l’aise avec cette idée de répondre à une commande de reportage ou de carte blanche. J’aime les challenges. J’aime trouver la magie de l’image sur les reportages, les portrait; les thèmes atypiques m’aident à aller de l’avant. J’adore les challenges dans la vie, c’est très dur mais c’est tellement satisfaisant de les réussir. Comme disait Michel Ange « il tormento e l’estasi ».

Faire des photos de Marseille avec l’iphone, donc sans téléobjectif ni grand angle. Partir sur le chantier de Noisy le Grand et réussir  à créer des images qui ont plu aux entreprises qui y ont travaillé. Faire des portraits d’une personne qui n’a pas confiance en elle et voir son attitude vers elle même changer, suite à des photos que j’ai réalisées, reprendre confiance, se sentir mieux.

Mon dernier reportage à Cuba a été intéressant aussi puisque il n’y a rien de plus difficile que de parcourir un chemin que tout le monde a parcouru. Alors très vite,  je me suis laissée aller vers ce que je ressentais vraiment et un nouveau monde s’est ouvert, incroyable.

Depuis des siècles les artistes sont allés de plus en plus loin dans leur démarche créative. C’est cela qui me plait et me stimule vraiment. Le jour où je n’aurais plus ces défis,  j’arrêterai de prendre des photos parce que je n’aurais plus rien à dire.

Originaire d’Aosta en Italie, Cristiana Thoux est diplômée de l’Académie des Beaux Arts de Florence avec un doctorat en histoire de l’art. Scénographe, elle a été initiée à la photographie par son père à l’âge de six ans. Sa vie professionnelle l’a emmenée dans de tous autres domaines pendant une dizaine d’années, responsable d’un centre culturel italien, directrice de création, responsable de ressources Humaines.
Elle n’a  pas cessé de photographier sans montrer ses images jusqu’en 2010, faisant preuve d’une modestie qui n’a d’égale que l’énergie qu’elle dégage dans ses projets et sa passion pour la photographie.
En 2010, elle expose pour la première fois ses images effectuées avec l’iphone,  à la Galerie Sévigné à Paris. Elle est alors invitée en 2011 à participer à Photomed et produit pour ce premier festival consacré à la Méditerranée un travail inédit sur Marseille et sa région : « iMarseille ».

Elle participe alors pendant une année entière  à des expositions et des rencontres organisées par la Fnac  autour de son travail aves des expositions personnelles itinérantes en France. Ses images ont été sélectionnées  en 2011 par la SNCF Gares et Connexions, avec celles de quatre autres photographes pour être montrées dans  cinq gares  et par la FNAC pour une exposition collective dans plusieurs villes.
Le Groupe Accor Hôtel lui confie la réalisation d’un reportage sur Saint Germain pour le nouveau concept de l’hôtel Mercure Paris Saint Germain.

 

Cristiana travaille sur des tirages grands formats avec des grands laboratoires de photo. Sa formation de scénographe et son passé en Val d’Aoste, très attaché aux métiers artisanaux expliquent qu’elle accorde beaucoup d’importance au support du tirage, à son format, au papier et à l’encadrement.

Elle travaille actuellement sur différentes commandes de clients, agences d’architecture, entreprises et particuliers.

www.thoux.com

Appel à candidatures : Résidence BMW 2014, à partir du 10 janvier

Mazaccio & Drowilal, lauréats Résidence BMW 2014

Pour la quatrième année consécutive, BMW France finance cette résidence pour un photographe au musée Nicéphore Niépce, et confirme ainsi son soutien continu à la création photographique contemporaine.

Ce quatrième appel à candidatures va permettre à un jeune artiste photographe de réaliser un projet photographique au cours d’une résidence de 3 mois à l’automne prochain, du 8 septembre au 28 novembre 2014.

 La résidence aboutira à la production d’œuvres réalisées avec le soutien de toute l’équipe du musée, l’aide technique de son laboratoire et l’expertise de François Cheval, Conservateur en chef du musée.
Une sélection de ces photographies sera exposée dans les deux évènements les plus importants consacrés à la photographie en France : Les Rencontres d’Arles et Paris Photo. L’exposition sera également montrée en 2015 au Musée BMW de Munich en Allemagne.

Un livre coédité avec les éditions Trocadéro dévoilera l’intégralité des œuvres conçues au cours de la résidence et viendra enrichir la collection initiée avec l’éditeur lors de la création de la Résidence BMW, présentant chaque année le travail des nouveaux lauréats.

Outre la production des œuvres financée par BMW, le lauréat bénéficiera également d’une aide matérielle sous la forme d’une bourse de 6000€ ainsi que d’une prise en charge de ses frais d’hébergement à Chalon-sur Saône, pendant les trois mois de résidence.

Une sélection des œuvres, réalisée conjointement par l’artiste et la direction du musée, sera conservée par les trois parties prenantes : le premier lot sera remis à l’artiste, le second au musée afin d’enrichir ses collections contemporaines, le troisième à BMW France.

 Les dossiers de candidature doivent parvenir au musée avant le 17 mars.
Ils doivent être composés d’une biographie, d’un dossier présentant la démarche générale de l’artiste et d’une note d’intention du projet artistique envisagé à Chalon-sur Saône.
 Le dossier complet sera téléchargeable à partir du 10 janvier sur les sites internet du musée et de BMW France : www.museeniepce.comwww.bmw.fr/artetculture

 Le lauréat sera annoncé pendant la semaine d’ouverture des Rencontres d’Arles 2014.
Le jury de professionnels reconnus de la photographie délibère et vote de façon collégiale. Il se compose de :François Cheval, Conservateur en chef du musée Nicéphore Niépce, François Hébel, Directeur des Rencontres d’Arles, Julien Frydman, Directeur de Paris Photo, Patrick de Carolis, membre de l’Institut et Président de l’Ecole Nationale Supérieure de la photographie d’Arles, Chantal Nedjib, Président de l’image par l’image, Jordane de Tyssandier, Responsable du mécénat culturel BMW France

Cette résidence d’artiste est issue du souhait commun de BMW Group France et du musée Nicéphore Niépce de développer les pratiques photographiques contemporaines.

 Elle offre à des artistes émergents une visibilité exceptionnelle auprès des professionnels et du grand public. Depuis 1996, le musée possède en interne un laboratoire photographique qui lui permet de reproduire ses collections permanentes sur supports numériques et d’offrir une expertise technique pour la production des projets réalisés par les artistes en résidence. Le musée favorise ainsi la diffusion de photographes, qu’ils soient émergents ou confirmés. C’est ici qu’Elina Brotherus ou JH Engström notamment, ont défini de nouvelles voies pour leur travail.

 Les deux premières Résidences BMW ont ainsi permis à Alexandra Catiere et Marion Gronier de poursuivre leurs recherches et d’avancer dans leur réflexion et pratique photographique. Leurs œuvres ont été exposées lors des deux rencontres phares de la photographie internationale,  les Rencontres d’Arles et Paris Photo en 2012 et 2013.

 

 

Marion Gronier à Paris Photo 

 

 

 

 Serge Naudin au vernissage BMW à Paris Photo avec les lauréats des trois premières édition

 

 BMW a missionné Alexandra Catiere, lauréate de la première résidence, pour illustrer l’esprit de la nouvelle BMW i3, dont le lancement mondial a eu lieu pendant Paris Photo. Elle a ainsi posé son regard poétique et sensible sur la nouvelle BMW i, née électrique.

 

Alexandra Catiere à Paris Photo

 

 

 

 

 

Cet engagement de BMW Group France auprès des jeunes artistes émergents s’inscrit dans une volonté d’accompagner la photographie en tant que medium original et spécifique : une invention fondatrice de la modernité au même titre que l’automobile.

Serge Naudin, Président du Directoire de BMW France, commente ainsi ces engagements : « Nous veillons à toujours préserver une liberté absolue de création pour nos partenaires, indispensable pour que des chefs-d’œuvre artistiques puissent voir le jour, tout comme elle permet l’émergence des innovations essentielles dans une entreprise.
Notre engagement se traduit en France par le soutien à la photographie parce que c’est un merveilleux exemple des affinités entre un art et une marque, tous deux placés sous le signe du savoir-faire dédié à l’esthétique et au plaisir. »

Contacts
BMW France                           jordane.de-tyssandier@bmw.fr
musée Nicéphore Niépce    communication.niepce@chalonsursaone.fr
l’image par l’image               cnedjib@chantalnedjibconseil.com

L’image par l’image conseille BMW