Coup d’envoi du Prix Swiss Life à 4 mains : Photographie et musique

 La Fondation Swiss Life vient de donner le coup d’envoi d’une compétition  hors norme « le Prix Swiss Life à 4 mains » pour encourager la création artistique, le thème choisi est « Chagall et la Musique ».

Six musiciens et six photographes, nominés pour ce Prix,  viennent ainsi de se coopter pour participer à cette aventure inédite et défendre en duo un projet d’œuvre commune alliant photo et musique. Ils concourent ainsi pour une création photo musique inspirée par « Chagall et la musique « 

Nominés, à titre individuel, après une sélection exigeante par douze professionnels de leur discipline, les artistes ont dû constituer leur tandem en un minimum de temps et bâtir leur projet à 4 mains. Ils ont ensuite été réunis pour bénéficier des conseils d’un proche de Marc Chagall, le pianiste Mikhaïl Rudy, qui a lui-même collaboré à plusieurs reprises à des évènements réunissant musique et image.

L’équipe gagnante du « Prix Swiss Life à 4 Mains  » sera désignée lors de la finale qui se tiendra le 14 mai prochain : le duo disposera de neuf mois pour réaliser sa co-création. L’œuvre commune sera présentée à l’occasion de deux expositions sur « Chagall et la musique » en octobre 2015, au musée La Piscine à Roubaix et à la Cité de la Musique à Paris, ainsi que dans un livre CD édité par Actes Sud à l’occasion des rencontres photographiques d’Arles.

Les six duos vont défendre des projets d’inspirations très différentes à retrouver sur le site www.swisslife.fr/Fondation/Swiss-Life-a-4-mains

Mikel Urquiza, musicien  sélectionné par Françoise Thinat et Anne Lise Broyer, photographe sélectionnée par Anne Biroleau
Arthur Lavandier, musicien sélectionné par Bruno Messina et Julien Taylor, photographe sélectionné par Marion Hislen
Olivier Mellano,
musicien sélectionné par Isabelle Gaudefroy et Richard Dumas, photographe sélectionné par Christian Caujolle
Nicolas Worms,
musicien sélectionné par Adrian McDonnell et Laurence Leblanc, photographe sélectioné par Vincent Marcilhacy
Michel Petrossian, musicien sélectionné par Isabelle Duha et Jean -François Spricigo, photographe sélectionné par Françoise Docquiert
Jean-Baptiste Doulcet, musicien sélectionné par Heather de Hass et Illes Sarkantyu, photographe sélectionnée par Audrey Bazin

Contacts
Fondation Swiss Life
Anne-Marie Lasry Weiller annemarielasry@swisslife.fr
Anne Pizet anne.pizet@swisslife.fr
Hopscotch Capital

 Sophie Lhuillier  slhuillier@hopscotchcapital.fr

 https://www.facebook.com/Prix.Swiss.Life.4mains

L’image par l’image conseille la Fondation Swiss Life


 Mikhaïl Rudy a créé un « concert scénique », un récital illustré par un film d’animation, sur le plafond de l’Opéra de Paris. Autre co-création : il a participé avec le plasticien Philippe Parreno à l’exposition « Anywhere out of the world » qui réunissait jeux de lumière, films et musique au Palais de Tokyo.

 

 

 

Carte blanche PMU au BAL : Ils pensent déjà que je suis folle!

 Le BAL expose les images réalisées par Kourtney Roy dans le cadre de la Carte blanche PMU 2013, du 30 avril au 11 mai 2014.
L’exposition est accompagné d’un livre « Ils pensent déjà que je suis folle » aux éditions Filigranes accompagné d’un texte de Thomas Clerc, Off Course.

Les images sélectionnée suite au concours « Avoir la main, le jeu, le sport et vous  » lancé par Wipplay.com et Le BAL  auprès de tous les passionnés d’images seront présentés dans le premier espace d’exposition du BAL (clin d’oeil 6 janvier)

 

Benoit Cornu, directeur de la communication du PMU commente ainsi l’engagement du PMU envers la photographie et la création contemporaine depuis 2009 :
« Avec la Carte blanche, le PMU et LE BAL donnent à de jeunes artistes la possibilité d’apporter un regard nouveau et libre sur un univers qui leur était a priori étranger. Après Malik Nejmi, Mohamed Bourouissa et Olivier Cablat, ce pari est une nouvelle fois gagné avec Kourtney Roy.
En se mettant en scène dans ses images, Kourtney Roy se moque sans doute un peu d’elle-même et des autres, mais rend finalement un joli hommage au monde qui l’entoure. Cette quatrième édition de la Carte blanche PMU, conçue avec LE BAL, nous a donné l’occasion de réunir un jury prestigieux, dont le regard exigeant nous permet d’affirmer un peu plus notre engagement dans la photographie et la création contemporaine et d’ouvrir l’entreprise à de nouveaux territoires d’exploration. »

 Diane Dufour directrice du BAL, commente ainsi « les mille et une vies de Kourtney Roy »:

« Il y a dans le regard de Kourtney Roy un humour glacé où l’ordinaire et le grotesque se mêlent à parts égales sans qu’on puisse discerner qui des deux mène la danse. Une danse troublante tant elle nous emporte dans un univers a priori narcissique qui tend pourtant vers l’anonyme.
Née en 1981 d’un pére bucheron et d’une mére secrétaire, Kourtney Roy a grandi dans la démesure et la solitude des immensités enneigées du Canada. Des paysages sublimes mais menaçants où, enfant, il est facile de se perdre. Après des études aux Beaux-Arts de Vancouver où elle se rêve peintre, elle découvre la photographie qui «par son potentiel fantastique, suggérait une réalité plus trouble, derrière la façade lisse des apparences.»

Touchée par le génie morbide de Joël-Peter Witkin, ses premières séries représentent des animaux sauvages trouvés morts dans la nature ou empaillés par l’homme.

Son apprentissage de la photographie de mode, sur les traces d’un Guy Bourdin et de ses mises en scène obsessionnelles et fantasmagoriques, lui ouvre un champ illimité. Autoportrait, autofiction, Kourtney Roy devient le personnage unique d’un théatreintérieur et de ses sortiléges. Son corps, artificiellement placé dans un décor naturel, se prêtera à toutes les énigmes, à mille et une vies travesties, falsifiées. « Je est un autre », tous les autres. Laura Palmer déclinée à l’infini.

Pour cette immersion dans l’univers du PMU, Kourtney Roy s’est imprégnée des mots de Charles Bukowski et de son obsession des champs de courses. Se détournant du spectacle où se concentre toute l’attention, elle infiltre plutôt les coulisses. Leur décor sans qualité est plus propice à l’improbable. Son corps s’incruste ainsi dans un univers où chaque chose peut être autre chose et n’importe qui quelqu’un d’autre. Où les objets, plantes vertes, accoudoirs, jumelles…. ont pris le pouvoir. Ils dominent la scène, tour à tour menaçants, envahissants, trop brillants ou trop muets.

Dans ses photographies, Kourtney Roy semble présente au monde mais absente à elle-même. Le pourquoi de ces postures incongrues, de ces regards vides est ailleurs, hors champs, nous laissant aux prises avec une violence silencieuse et cachée. Car ce corps-objet semble le plus souvent éteint, débranché, englouti, avalé. Impeccablement sculpté, il tend pourtant vers le camouflage, la soustraction, le retranchement, orchestrant scrupuleusement sa propre disparition.
Quand on demande à Kourtney Roy si ces personnages lui ressemblent, elle répond : « ils sont devenus « moi » et moi je suis devenue « eux ».

Biographie de Kourtney Roy

Née en 1981 en Ontario (Canada) où elle a grandi, Kourtney Roy effectue des études de Beaux-Arts à Vancouver. A la frontière de l’art et de la mode, son travail montre les influences croisées entre ces deux mondes. Elle explore, dans son travail, les aspects sublimes et étranges de la vie du quotidien, dans des mises en scènes teintées de mystère.
Kourtney Roy a été lauréate de plusieurs prix : Prix Picto en 2007, Screenings award à Berlin en 2008, Emiliy Award à Vancouver en 2012.
Son travail est exposé pour la première fois en 2008, notamment à Arles, puis à Cabourg en 2010 et Shangai en 2011. En 2012, Kourtney Roy participe au festival Circulation(s) et est exposée à la galerie Hug ainsi qu’au festival de Vevey en Suisse. Elle a réalisé également une série inédite sur Deauville dans le cadre du festival Planches Contact, et a participé au Head On Photo Festival à Sydney en 2013.

Jury de la Carte blanche PMU 2013

 Philippe Germond, Président Directeur Général du PMU, Benoit Cornu, Directeur de la Communication du PMU, Mohamed Bourouissa, Artiste – Lauréat de la Carte blanche PMU 2011, Stéphane Couturier, Photographe, Diane Dufour, Directrice du BAL, Nicolas Ferrand, Collectionneur, fondateur du Quotidien de l’Art, Emmanuel Fessy, Directeur des Etudes de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts décoratifs, Jean de Loisy, Président du Palais de Tokyo.

Le PMU, opérateur de paris hippiques, sportifs et de poker, a souhaité s’associer dès 2009 à la création du BAL, lieu d’exposition dédié à l’image-document, installé dans ce qui fut le plus grand PMU de France jusqu’en 1992.

 http://www.pmu.fr/entreprise/le-mecenat.html
www.filigranes.com

www.le-bal.fr

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Carte blanche PMU : Appel à candidatures 2014 !

Le PMU et LE BAL lancent l’appel à candidature de l’édition 2014 – 2015 de la « Carte blanche PMU, ouvert jusqu’au 2 juin

Pour la 5e année consécutive*, le PMU témoigne de son engagement en faveur de la création photographique contemporaine et s’associe au BAL en donnant carte blanche à un photographe pour interpréter l’univers des jeux et paris.
L’ appel à candidature, est ouvert à tout photographe professionnel. L’artiste sélectionné bénéficiera d’une dotation de 20 000 euros pour la réalisation d’un projet inédit. Ce travail fera l’objet d’une exposition au BAL au printemps 2015 et sera publié aux Editions Filigranes.

Jury
Le jury est composé cette année de :  Paula Aisemberg, Directrice de la Maison Rouge, Jacqueline d’Amécourt, Présidente du Comité d’honneur du IACCCA (InternationalAssociation of Corporate Collections of Contemporary Art), Valérie Belin, artiste, Clément Chéroux, Conservateur au Centre Pompidou – Chef du cabinet de la photographie, Diane Dufour, Directrice du BAL, Nicolas Ferrand, collectionneur, Fondateur du Quotidien de l’Art, Malik Nejmi, photographe, lauréat Carte blanche PMU 2010, Benoît Cornu, Directeur de la Communication du PMU, Philippe Germond, Président Directeur Général du PMU 

Calendrier :
Jusqu’au 2 juin 2014 : envoi des dossiers de présélection
16 juin 2014 : présentation des projets au jury et choix du lauréat
Juillet / Décembre 2014 : réalisation de la Carte blanche PMU
Printemps 2015 : exposition et édition du livre

* La première Carte blanche PMU, confiée en 2010 à Malik Nejmi, a donné lieu à la publication d’un ouvrage remarqué, Turfisme, suivie en 2011 par Mohamed Bourouissa et la publication de RIP.
La Carte blanche 2012 d’Olivier Cablat, a fait l’objet pour la première fois d’une exposition au BAL en mai 2013 :
Fouilles.
Le travail de Kourtney Roy, lauréate 2013, sera exposé au BAL à partir du 30 avril 2014.

L’ appel à candidature et les modalités sont téléchargeables :
http://www.le-bal.fr/fr/non-classe/carte-blanche-pmu-le-bal-2014/

Contacts:
  paolo.antonio@pmu.fr                                     
 meudic@le-bal.fr

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Carte blanche à Chassary&Belarbi

 

Huis Clos La Table 2013©Chassary&Belarbi

La première exposition personnelle de Chassary & Belarbi est un prétexte idéal pour partager ici le coup de coeur de « l’image par l’image » pour ce duo d’artistes.
Leur nouvelle série Résonance est exposée du 6 au 28 février à Paris, galerie Rauchfeld.
La créativité et la fraicheur dont les deux artistes font preuve , alliées à la rigueur de leur travail, pourrait intéresser des marques à la recherche d’idées nouvelles pour révéler leur identité. Elles y sont prêtes.

Révélé au festival Circulation(s) en 2010, le duo d’artistes a une actualité intense en 2014.
En mars 2014, elles présenteront des tirages de la série Huis-Clos et pour la première fois des installations textiles au Centre d’art de Fillé dans le cadre du festival ‘Les Photographiques du Mans’ et simultanément exposeront leurs deux séries au Théâtre de la ville de Courbevoie.
Également, en juin prochain, elles sont invitées à réaliser leur première oeuvre de Land-Art, alliant installation textile et photographie dans un des jardins remarquables de la ville de Cahors.
Et pour la 8ème édition du prix PHPA, Alain Bisotti confie à Amélie Chassary et Lucie Belarbi la carte blanche Photo d’Hôtel Photo d’Auteur qui sera dévoilée en septembre à la galerie Esther Woerdehoff.

 

 

Chassary&Belarbi ont répondu aux question de l’image par l’image

Comment choisissez-vous vos thèmes photographiques, sont-ils purement dictés par votre émotion ou y a-t-il quelque chose de rationnel comme l’intérêt que pourra y trouver le public, un musée, une galerie ou un éditeur ?

Nos thèmes photographiques se nourrissent de nos souvenirs, de nos visions et de nos sensations. Le temps de l’écriture,  ces moments de partage et de créativité forment un cocon autour de nous. En parallèle il y a en effet une partie plus rationnelle et concrète où nous composons dans le décors les mises en scène imaginées que nous photographions, et où nous envisageons nos futurs photos vivre par elles-mêmes. La personnalisation des expositions de nos photographies est ensuite une nouvelle étape et peut offrir une interprétation inédite de notre travail. Le projet d’éditer un ouvrage sommeille en nous …

Quelle relation voyez vous entre les marques et la photographie ? 

La photographie contemporaine porte des valeurs profondes selon les démarches artistiques de chaque auteur. Selon nous, le point commun qui existe entre les acteurs du monde de l’art et des images de marque est qu’ils font chacun appel au sensitif, à l’émotionnel et cherchent à toucher un large public. La nouvelle génération de jeunes photographes donne un élan créatif et innovant et les marques sont valorisées par cet engagement. Nous envisageons une relation professionnelle, fusionnelle et sur le long terme avec les entreprises.

Seriez-vous prêt à travailler pour des marques sous forme d’une commande et quel serait alors votre enjeu ?

Nous concevons le travail de commande avec les mêmes enjeux formels que nos travaux personnels. En effet, nous aimerions répondre à des commandes qui nous permettent de nous exprimer en alliant le cahier des charges de la marque à la même liberté créative que nous recherchons dans nos séries photographiques. Pour cela, nous savons qu’une bonne communication avec la marque est indispensable dès la première rencontre. Et qu’une confiance entre l’entreprise et l’artiste, sur la conception et la réalisation du projet, est à acquérir tout au long de la collaboration.

Amelie Chassabry

Lucie Belarbi

 

 

 

 

 

 

 

Chassary&Belarbi forment un duo d’artistes photographe et plasticienne depuis 2009.

Amélie Chassary âgée de 33 ans, est photographe. Diplômée de l’Esag Penninghen, Amélie a complété sa formation dans un studio de photographie.
Lucie Belarbi âgée de 29 ans, est plasticienne. Autodidacte, Lucie a suivi des études de psychologie, puis s’en est détournée au service du textile.
Suite à leur rencontre, elles ont le désir commun de partager une aventure artistique. En duo, elles réalisent deux séries; la première Huis-Clos où elles proposent une vision des us et coutumes de notre société contemporaine et la deuxième Résonance où elles questionnent les métamorphoses du visible. Pour mettre en forme les mises en scène inventées, elles utilisent du textile autant que de la peinture et photographient à l’argentique.
Dès 2010, leurs photographies sont exposées dans de nombreux festivals; Circulation(s), ManifestO, Boutographies, Mois de la photo Off et sont remarquées par la presse; Images, TGV magazine, 20 minutes, Le temps, Réponses Photo. Soutenu par le label HPRG, le duo crée un travail de commande pour la réouverture de l’Hôtel du Panthéon à Paris, cinq photographies illustrant la relation de Georges Sand et d’Alfred de Musset.
Depuis peu, le duo a intégré le studio de création et de diffusion Hans Lucas. Et aussi, elles travaillent main dans la main avec Cyril Guierneri, le directeur artistique de la galerie Rauchfeld Paris 6, qui les a représenté au salon Red Dot pendant Art Basel Miami et au salon MIA pendant Art Palm beach. Et, c’est avec la galerie Rauchfeld que le duo vernira une première exposition personnelle le jeudi 6 février et qui durera tous le mois.

Résonance fait écho à une métamorphose de la perception du monde réel, elle met en jeu  les rapports entre les individus et la nature.
Dans ce processus de création les deux artistes recherchent au mieux l’équilibre entre les idées imaginées et leurs représentations.
Elles font de leurs personnages les témoins de ces installations éphémères révélées par la photographie.

http://hanslucas.com/amelielucie/photo
http://www.galerierauchfeld.com/index.php/fr/amelie-chassary-a-lucie-belarbi

chassarybelarbi@gmail.com


 

LA RATP invite les photographes du festival Circulation(s) dans le métro du 7 février au 16 mars 2014

 

©Bruno Marguerite / RATP

Pour son deuxième rendez- vous photographique de
« La RATP invite… », la RATP  expose 40 photographes de Circulation(s) dans 16 stations et gares, du 7 février au 16 mars.

Partenaire de Circulation(s), festival de la jeune photographie européenne, qui se tiendra au Centquatre-Paris,  la RATP propose ainsi de découvrir dans ses espaces, des images des photographes sélectionnés par un jury présidé par Xavier Cannone, directeur du Musée de la Photographie de Charleroi et parrain de cette édition, ainsi que par une galerie et une école invitées.

 « La RATP invite… »,  nouveau programme culturel de la RATP, est l’occasion d’accueillir deux fois par an, sur ses réseaux, des photographes de talent et de partager avec les voyageurs de multiples regards sur le monde.

Pour sa 4e édition, Circulation(s) prend un nouvel élan en s’installant au Centquatre-Paris, espace de programmation et de création, d’expériences et d’innovations, ouverts aux artistes du monde entier, 5 rue Curial, Paris 19è.
La vocation de ce festival rejoint une ambition forte de la politique culturelle de la RATP :
accompagner les jeunes talents, faire découvrir au public la création artistique contemporaine innovante et favoriser l’échange interculturel.
Ces objectifs communs ont conduit la RATP à ouvrir ses espaces aux photographes de Circulations(s), leur permettant de bénéficier d’une visibilité unique.

 

©Bruno Marguerite / RATP

©Denis Sutton/RATP

 

La présentation de ces photographies se fait selon deux types de dispositifs :

 

 

– du 7 au 21 février  aux stations Cité, Alma-Marceau, Pyramides, Europe  Bastille, Belleville, Place de Clichy, Châtelet, Stalingrad  : les images se déploient sous deux formats, 4×3 mètres sur les quais, et 2×1.50 mètres dans les couloirs des stations, occupant les cadres publicitaires
– du 7 février au 16 mars aux stations Saint-Denis Porte de Paris, Hôtel de Ville, La Chapelle, Jaurès (sous le viaduc de la ligne 2), Bir Hakeim, Saint-Michel, et à la gare
Luxembourg (RER B) : les formats bénéficieront d’une scénographie spécifique et de plus grande envergure.

Parmi cette sélection de 40 oeuvres, 30 sont exclusivement exposées dans les espaces de
la RATP. Chaque image étant reproduite dans plusieurs endroits, plus de 250 sont réparties dans les espaces.

Sun City Poms©Todd Antony

Façades©Zacharie Gaudrillot-Roy

 

 

 

 

 

 

 

« La RATP invite… », le rendez-vous phare de la programmation photographique de la RATP.

Après « La RATP invite… les photographes de Photoquai » (22 octobre – 11 novembre 2013), cette exposition constitue le deuxième opus de « La RATP invite… », nouveau rendez-vous culturel proposé par la RATP lancé à l’automne 2013. L’entreprise s’engage en effet à inviter deux fois par an des photographes exposés dans des festivals ou des expositions de la région parisienne, et mettre à l’honneur leur travail en investissant massivement ses espaces ; elle fera ainsi la lumière sur une photographie exigeante et diverse.

Cet événement figure parmi plusieurs opérations que la RATP conduira dans le cadre de sa nouvelle politique culturelle : fin 2013, l’entreprise a en effet donné une nouvelle impulsion à sa politique d’animation et d’aménagement de ses espaces en choisissant la Photographie comme point d’ancrage et de développement.

Tout au long de l’année, la RATP organise sur ses réseaux des animations, culturelles ou sportives. Elle offre ainsi à ses voyageurs des moments de détente, de surprise, de découvertes et d’échanges… concrétisant ainsi son ambition de faire « Aimer la Ville ».

Festival Circulation(s)

Seul festival dédié à la jeune photographie européenne, le festival Circulation(s)
propose pour la quatrième année un regard croisé sur l’Europe à travers la
photographie. Il a pour vocation de faire émerger les talents de la jeune photographie
européenne et de fédérer un réseau d’acteurs européens partageant la même
ambition que celle de l’association Fetart : aider les jeunes photographes à s’insérer dans le monde professionnel et faire découvrir au public la création artistique contemporaine
innovante. La programmation s’articule autour de la sélection d’un jury suite à un
appel à candidatures international, d’invités (une galerie et une école) et de la
carte blanche du parrain de cette édition, Xavier Canonne, directeur du musée de la
Photographie à Charleroi (Belgique).
Autour de cette exposition d’envergure réunissant une quarantaine de photographes
européens, des activités pédagogiques (visites commentées par les artistes,
projections,…) et des ateliers/workshops (lectures de portfolios,…) sont mis en
place à destination du grand public et des jeunes photographes.Au total, 44 photographes présenteront leurs travaux à travers des expositions, projections et installations.

www.ratp.fr
http://www.festival-circulations.com 

 Contact
 RATP : 01 58 78  37 37
servicedepresse@ratp.fr
nathalie.dran@wanadoo.fr

L’image par l’image conseille la RATP
cnedjib@chantalnedjibconseil.com