Natasha Caruana, lauréate 2014 de la Résidence BMW au musée Nicéphore Niépce

©Natasha Caruana (Detective)2

Natasha Caruana est la quatrième lauréate depuis la création de la Résidence BMW en 2011. Elle a été choisie après examen de 65 dossiers de candidatures, par un comité de sélection présidé par BMW et constitué de personnalités du monde de la photographie lauréate 2014 de la « Résidence BMW au musée Nicéphore Niépce ».

Le jury a été séduit par l’approche très actuelle de la photographe, et le regard qu’elle pose sur l’impact des nouvelles technologies dans les relations sociales et amoureuses. Son travail basé sur la rencontre avec des anonymes lui permet d’exprimer le point de vue très « féminin » et novateur qu’elle revendique.

Natasha Caruana bénéficiera d’une bourse de 6 000 , du financement de son hébergement pendant trois mois au musée Nicéphore Niépce à l’automne 2014 à Chalon-sur-Saône et de la production d’une exposition présentée aux Rencontres d’Arles et à Paris Photo en 2015.

Sous la direction de François Cheval, conservateur en chef du musée et avec l’aide technique du laboratoire du musée, l’artiste aura ainsi les moyens d’approfondir sa démarche et d’explorer de nouveaux champs de réflexion. Le travail réalisé en résidence sera également édité dans un livre de la collection BMW Art & Culture aux Editions Trocadéro.

Natasha Caruana©Sarah Howe

 

Natasha Caruana est une artiste de nationalité anglaise. Née en 1983, elle a fait ses études au Royal College of Art de Londres. Son travail de recherche mené autour de l’amour, de la trahison et des fantasmes a déjà été montré à l’international et fait l’objet de publications et d’acquisitions par des collectionneurs.

 

L’artiste utilise la photographie comme un moyen pour décrire les relations entre les membres d’une communauté qu’elle observe à la manière d’un ethnographe. Ses photographies relèvent à la fois de l’ethnographie et de la performance. Ses images ne s’attachent pas à décrire un lieu ou des sujets spécifiques, elles sont plutôt un mode d’écriture qui lui permet de semer le trouble entre le réel et la représentation.

 

©Natasha Caruana(Detective)

« Les mots me manquent pour exprimer à quel point je suis impatiente de me consacrer entièrement pendant 3 mois, à mon travail artistique avec le soutien de François et de toute l’équipe du musée. Je veux aussi remercier mon employeur, l’University of the Creative Arts, de m’octroyer ce temps de recherche. Cette résidence va me permettre d’explorer de nouveaux territoires grâce au soutien de BMW et à l’expertise technique et artistique du musée. J’ai toujours été fascinée par les documents d’archives, je suis donc ravie de pouvoir travailler à partir du fonds expérimental de la collection du musée Nicéphore Niépce.

Mon projet, pendant cette résidence, est d’orienter ma pratique photographique et sa présentation vers de nouveaux domaines, en utilisant la photographie comme médium pour favoriser des débats sur l’influence des technologies dans nos relations quotidiennes » a commenté la nouvelle lauréate à l’annonce de ce choix. »

 

En finançant cette résidence au musée Nicéphore Niépce et en donnant carte blanche à l’artiste, BMW confirme son engagement culturel et plus particulièrement son soutien à la photographie contemporaine. Cette action de mécénat vise ainsi à encourager à la fois la création artistique, sa diffusion et son partage avec le plus grand nombre. Des mécènes engagés dans la création photographique contemporaine BMW soutient depuis plus de quarante ans la création contemporaine, depuis plus onze ans la photographie et pour la cinquième année les Rencontres d’Arles. BMW Group a lancé et accompagné plus de 100 projets culturels dans le monde. L’entreprise a pris le parti d’accompagner la photographie en tant que médium original et spécifique, une invention fondatrice de la modernité au même titre que l’automobile, un médium esthétique en harmonie avec les valeurs de la marque.

Cette action s’inscrit dans la politique menée par l’entreprise depuis 2003, qui se manifeste par ailleurs par les partenariats avec les Rencontres d’Arles et Paris Photo.
Musée généraliste de la photographie, le musée Nicéphore Niépce, à Chalon-sur-Saône, propose d’expliquer tous les ressorts de cette pratique, depuis ses origines jusqu’à nos jours. Des héliographies aux premières photographies en couleur, du daguerréotype au ferrotype, de l’argentique au numérique, du pictorialisme à l’humanisme français des années 1950, de la photographie de rue à celle de studio, le musée couvre tous les champs du « photographique ».

Serge Naudin, Président du Directoire de BMW Group France, commente ainsi ces engagements :
«La réussite des trois premières éditions de la Résidence BMW avec Alexandra Catiere, Marion Gronier et Mazaccio&Drowilal, nous encourage dans notre volonté d’accompagner la photographie, cet art fondamentalement en harmonie avec les valeurs de notre marque. La diversité à laquelle nous sommes attachés dans le choix de nos lauréats se confirme encore cette année. Nous sommes impatients de découvrir le projet de Natasha Caruana qui allie un sens de l’humour très féminin à une réflexion profonde sur norelations quotidiennes. La Résidence 2014 promet d’être riche en questionnement et émotions».

Comité de sélection : François Cheval, conservateur en chef du musée Nicéphore Niépce, François Hébel, directeur des Rencontres d’Arles, Julien Frydman, directeur de Paris Photo, Chantal Nedjib, conseil en communication et Patrick de Carolis, membre de l’Institut

Contacts
Maryse.Bataillard@partner.bmw.fr
jordane.de-tyssandier@bmw.fr
communication.niepce@chalonsursaone.fr
cnedjib@chantalnedjibconseil.com

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Léa Habourdin et Thibault Brunet, lauréats de la « Carte blanche PMU » 2014

Le PMU et LE BAL ont annoncé les lauréats de la Carte blanche PMU 2014 .

Les Survivalistes© Léa Habourdin

 

 

Sur 90 dossiers de candidature reçus, 6 finalistes avaient été pré-sélectionnés pour la qualité de leur projet : Brigitte Bauer, Jean-François Delcourt, Chassari & Belarbi, David Favrod, Matthieu Raffard et le tandem Léa Habourdin et Thibaut Brunet.

Le jury réuni le 16 juin a été séduit par le projet de Léa Habourdin et Thibault Brunet.

Leur travail sera exposé au BAL du 14 au 25 janvier 2015 et fera l’objet d’une publication aux éditions Filigranes.

© Thibault Brunet – Typologie du virtuel

Léa Habourdin et Thibault Brunet décrivent ainsi leur projet commun : « Bien qu’il ait toujours fait partie de notre paysage, l’univers du PMU est lointain pour les novices que nous sommes. Nous en avons cependant quelques images mentales glanées au fil des années : lieux enfumés où évoluent des adultes affairés, journaux, séries de lettres et de chiffres incompréhensibles, noms de chevaux sonnant à nos oreilles comme des aphorismes abstraits. C’est à partir de cette profusion d’images mentales que nous avons choisi de travailler en plaçant plusieurs écrans entre nous et notre sujet (imagerie 3D, pièges photographiques, jeux vidéos…), cherchant plus la métaphore et l’onirisme que la réalité documentaire ».

Léa Habourdin a grandi dans le nord de la France et a étudié l’estampe et le dessin à l’Ecole Supérieure d’Art et Industries Graphiques ESTIENNE à Paris puis la photographie à l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles. Elle observe la condition humaine par le prisme d’une approche scientifique mêlée à l’observation de l’intime. En 2011, la série « Cahier de doléances », exposée lors des rencontres d’Arles, a reçu le prix du jury des Boutographies et la Bourse du Talent décernée à la BNF. En 2013, son travail « Preuves objectives I : notes sur l’attraction » est présenté pour la première fois au Lianzhou Foto Festival en Chine. 2014 s’ouvre par une exposition personnelle à Berlin.

Thibault Brunet est titulaire d’un Master de l’Ecole Supérieure des beaux-arts de Nîmes. En 2008, la première série de photographies qu’il réalise dans un jeu vidéo, Vice City, intègre l’exposition internationale itinérante reGeneration 2 : Photographes de demain, au musée de l’Elysée de Lausanne. En 2012, son travail dans les univers virtuels est sélectionné simultanément pour les Mois de la Photo à Paris, Berlin, Vienne et, en mars, il fait partie des 5 finalistes du prix de la Fondation Aperture à New York. Récemment, ses dernières séries, First person shooter et Landscapes, ont été sélectionnées parmi les Talents FOAM 2013 et présentées dans le cadre de la 12ème biennale de Lyon. En 2014, il participe à la mission photographique France(s) Territoire liquide exposée au Tri Postal à Lille.

Le jury de la « Carte blanche PMU 2014 »réuni le 16 juin, a été séduit par le projet de Léa Habourdin et Thibault Brunet.
Il était composé de: Paula Aisemberg, Directrice de la Maison Rouge, Jacqueline d’Amécourt, Présidente du Comité d’honneur du IACCCA (International Association of Corporate Collections of Contemporary Art), Valérie Belin, artiste, Clément Chéroux, Conservateur au Centre Pompidou – Chef du cabinet de photographie, Diane Dufour, Directrice du BAL, Nicolas Ferrand, collectionneur, Fondateur du Quotidien de l’Art, Malik Nejmi, photographe, lauréat Carte blanche PMU 2010, Benoît Cornu, Directeur de la communication du PMU et Philippe Germond, Président Directeur Général du PMU

 La Carte blanche PMU
Le PMU témoigne de son engagement en faveur de la création photographique contemporaine en s’associant au BAL pour donner carte blanche à de jeunes photographes afin de leur permettre de porter leur regard sur l’univers des jeux et paris.
Pour la cinquième année consécutive, le PMU et LE BAL ont lancé un appel à candidature, ouvert à tout photographe professionnel. Le photographe sélectionné bénéficie d’une dotation de 20 000 euros pour la réalisation d’un projet inédit, d’une exposition au BAL et d’une publication aux éditions Filigranes.

Contacts:
paolo.antonio@pmu.fr
francoise.vogt@pmu.fr
devaine@le-bal.fr

www.carteblanchepmu.fr
www.le-bal.fr


http://www.leahabourdin.com/

http://thibaultbrunet.fr/

l’image par l’image conseille le PMU

LA RATP invite… Gueorgui Pinkhassov dans 17 stations et gares de son réseau

COREE DU SUD. Séoul. 2014. © Gueorgui Pinkhassov/Magnum Photos

« La RATP invite … Gueorgui Pinkhassov » dans 17 stations et gares de son réseau des images exclusives témoignant de son regard sur la mobilité urbaine dans cinq villes où le Groupe RATP est implanté -Casablanca, Florence, Londres, Paris et Séoul.
Il s’agit du troisième rendez-vous photographique de « La RATP invite… », programme culturel lancé par la RATP en octobre 2013, et première commande passée à un photographe, afin d’offrir un parcours artistique aux voyageurs.
Cet événement débutera par une exposition à la Magnum Gallery, à Paris, du 17 au 21 juin.


« Pour donner une nouvelle envergure à notre politique culturelle, nous avons choisi la photographie, art accessible et de proximité particulièrement adapté à nos espaces et à la diversité de nos voyageurs.

Pour cette première commande photographique, nous avons choisi Gueorgui Pinkhassov, pour la force de ses images et la sensibilité de son regard. L’art unique de Gueorgui Pinkhassov nous permet de plonger dans l’atmosphère de cinq villes où le Groupe RATP est implanté et d’ouvrir ainsi, toujours plus loin, l’espace de nos réseaux et les horizons de nos voyageurs.» commente Isabelle Ockrent, directeur de la Communication et de la Marque RATP

FRANCE. Paris. 2014 © Gueorgui Pinkhassov/Magnum Photos

La mobilité urbaine, un thème au coeur de la mission du Groupe RATP

La RATP invite l’artiste photographe Gueorgui Pinkhassov à porter son regard personnel et artistique sur le thème de la mobilité urbaine sous un angle international. A Casablanca, Florence, Londres, Paris et Séoul, villes dans lesquelles le Groupe RATP est présent au travers d’activités d’exploitation et de maintenance de réseaux de transports, le photographe nous livre son intime perception de la mobilité urbaine, un thème au coeur de la mission et du développement de l’entreprise. Ces 5 villes, où le Groupe RATP fait la preuve de ses compétences et de son expertise en matière de mobilité, portent l’ambition du groupe : rapprocher les 12 millions de voyageurs qu’il transporte quotidiennement dans le monde.

ITALIE. Florence. 2014. © Gueorgui Pinkhassov/Magnum Photos

Une oeuvre photographique au carrefour du hasard et de la lumière
Ombres soignées, composition impeccable, détails singuliers, le regard poétique de Gueorgui Pinkhassov transporte le spectateur. Dans la droite ligne de son écriture photographique, l’artiste a saisi, en un mois, le mouvement de ces 5 villes, de l’Europe à l’Asie en passant par l’Afrique, pour retranscrire la poésie propre à chaque lieu, pour saisir le mouvement de la ville. Il a ainsi réalisé un inventaire urbain composé de reflets ou jeux de miroir, de silhouettes, de tâches de couleur. Un véritable puzzle sur la mobilité urbaine qui nous plonge dans un monde aux multiples niveaux de lecture.
Cet univers photographique est proposé par la RATP comme une fenêtre ouverte sur le monde, et plus particulièrement sur le quotidien de différentes populations réinterprété par Gueorgui Pinkhassov.
Gueorgui Pinkhassov : « Le transport est mon élément. Aussi loin que remontent mes souvenirs, peut-être même avant, il me semble entendre le bruit de roues… Pour moi c’est le symbole de la liberté et du changement et ma profession ne peut se concevoir sans lui. A chaque station, arrêt, secondes, des choses banalement exceptionnelles se déroulent. Le transport avance et les stations se succèdent comme toutes les vies s’enchaînent. C’est trop curieux pour ne pas tenter de le capturer. Le stroboscope du paysage sans cesse changeant m’enchante et s’il n’arrive pas à m’endormir alors je photographie. »

 

ROYAUME-UNI. Londres. 2014. © Gueorgui Pinkhassov/Magnum Photos

40 photographies à découvrir sur les réseaux…
Du 16 juin au 30 septembre 2014, la RATP expose 40 photographies exclusives de Gueorgui Pinkhassov réparties dans 17 stations et gares. Chaque image étant reproduite dans plusieurs endroits, plus de 300 sont exposées dans les espaces.

La présentation de ces photographies se fait selon plusieurs dispositifs :
Du 17 au 30 juin, en gare de Charles de Gaulle Étoile – Salle Carnot (RER A) et aux stations Châtelet (ligne 3), Denfert (L.4), Gare d’Austerlitz (L.5), Madeleine (L.12), Montparnasse (L.4), Odéon (L.4), Saint-Lazare (L.3), Trocadéro (L.9), Villiers (L.3) : les images se déploient sous deux formats, 4×3 mètres sur les quais, et 2×1,50 mètres dans les couloirs des stations, occupant les cadres publicitaires.

Du 16 juin au 30 septembre, aux stations Bir Hakeim (L.6), Hôtel de Ville (L.1), La Chapelle (L.2), Jaurès (sous le viaduc-L.2), Saint-Denis Porte de Paris (L.13), Saint-Michel (L.4), et à la gare Luxembourg (RER B) : les formats bénéficient d’une scénographie spécifique et de plus grande envergure.… et en avant-première à la Magnum Gallery, du 17 au 21 juin.
En prélude, le public est invité à découvrir l’intégralité des 40 photographies de Gueorgui Pinkhassov qui seront réparties sur les réseaux de la RATP, à la Magnum Gallery, 13 rue de l’Abbaye – Paris 6e .

MAROC. Casablanca. 2014. © Gueorgui Pinkhassov/Magnum Photos

« La RATP invite… », le rendez-vous phare de la programmation photographique de la RATP
La RATP invite… » est une initiative lancée par la RATP en octobre 2013 et devenu un rendez-vous régulier,illustrant le nouveau souffle que l’entreprise a donné à sa politique culturelle à travers la photographie. La RATP s’est ainsi engagée à inviter régulièrement des photographes et à mettre à l’honneur leur travail en investissant massivement ses espaces. Elle fait ainsi la lumière sur une photographie exigeante et diverse.
Pour ses deux premières éditions, « La RATP invite… » a exposé les créations de photographes présentés à la biennale de PHOTOQUAI (octobre – novembre 2013) puis au festival CIRCULATION(S) (février – juin 2014).
Pour l’été 2014, la RATP a choisi de donner « carte blanche » au photographe Gueorgui Pinkhassov, marquant sa politique culturelle par un événement innovant et ambitieux.
Tout au long de l’année, la RATP organise sur ses réseaux des animations, culturelles ou sportives. Elle offre ainsi à ses voyageurs des moments de détente, de surprises, de découvertes et d’échanges… concrétisant ainsi son ambition de faire « Aimer la Ville ».

 

Gueorgui Pinkhassov© Gueorgui Pinkhassov/Magnum Photos

Gueorgui Pinkhassov

Né en 1952 à Moscou, Russe naturalisé français, il vit à Paris depuis de nombreuses années. Guergui Pinkhassov commence à s’intéresser à la photographie au terme de ses études secondaires. De 1969 à 1971, il suit les cours de l’Institut de Cinéma VGIK à Moscou. Il travaille ensuite aux studios Mosfilm dans l’équipe de cameramen, puis comme photographe de plateau. En 1978, il entre à l’Union Moscovite des arts graphiques et obtient le statut d’artiste indépendant. La même année, le réalisateur Andreï Tarkovski l’invite à photographier sur le plateau de son film Stalker. En 1979, il participe à l’exposition collective de la salle de « L’Union des artistes graphiques » où ses images sont remarquées.
En 1985, il s’installe à Paris. En 1988, il entre à Magnum Photos et commence à collaborer avec la presse internationale. Mais ce n’est pas la couverture des grands événements qui l’intéresse au premier chef. Gueorgui Pinkhassov aime explorer les détails singuliers, à travers des reflets ou des lumières particulières, souvent proches de l’abstraction. En témoigne son premier livre, « Sightwalk ».

 Le Groupe RATP à l’international
Au-delà du réseau historique qu’il exploite en Ile-de-France, le Groupe RATP exporte ses savoir-faire en matière d’exploitation et de maintenance à travers le monde, via sa filiale RATP DEV. Celle-ci est aujourd’hui implantée dans 12 pays sur 4 continents, où elle assure l’exploitation et la maintenance de réseaux de transport urbain et interurbain (bus, métro, rail, tramway).

Contacts

  • servicedepresse@ratp.fr
  • clement.saccomani@magnumphotos.com
  • carole.bourriot@magnumphotos.com
  • karen.jonsson@magnumphotos.com

www.magnumphotos.com

www.ratp.fr

L’image par l’image conseille la RATP.

Parution du livre Wild style de Mazaccio & Drowilal, Résidence BMW

 

Les Éditions Trocadéro et BMW Art & Culture viennent de publier le livre WILD STYLE de Mazaccio & Drowilal, photographes lauréats de la Résidence BMW  2013.
En librairie à partir du 5 juin, le livre présente le projet qu’ils ont mené à bien lors de la résidence effectuéee au musée Nicéphore Niépce à l’automne 2013.
Wild Style est une étude anthropologique, iconographique, mais avant tout photographique, sur l’animal et ses représentations culturelles contemporaines.
Ces images troublantes et teintées d’humour montrent que la représentation de l’animal
et sa prolifération sur des supports variés parlent autant de notre rapport aux objets de consommation, à l’artefact et à la surface en général, que de notre rapport au sauvage.

Troisième ouvrage de la collection consacrée aux lauréats de la Résidence BMW, il est introduit par un texte de François Cheval, conservateur en chef du musée Nicéphore Niépce, et une présentation de Wild Style par Nicolas Heimendinger et Fani Morières, critiques et commissaires d’exposition.

 

« L’humour de ces images, leur caractère toujours séduisant et souvent ambigu doivent bien faire sentir que la perspective de Mazaccio & Drowilal n’est pas proprement critique : ils établissent plutôt une série de jeux et de connexions autour de ce constat, à l’ère du virtuel, d’une fusion totale […] entre le vivant et le consommable, entre l’étrange et le familier, entre le naturel et l’artificiel, entre la réalité et ses images. »commentent Nicolas Heimendinger et Fani Morières .

« L’art ne survient qu’après l’avoir renié. Sans cet acte de rupture, on se soumet à un ordre établi et on ne connaîtra jamais la lucidité. Finalement, il ne s’agit pas tant d’art et de photographie mais de s’opposer au sens commun, au spectacle facile et aux arrangements. L’appareil photographique n’est rien d’autre qu’un moyen d’exprimer son refus. Il est lui-même dans son essence rejet de l’art. Objet manufacturé, il se maîtrise aisément. Il devient le fidèle accompagnateur de celui qui aime par-dessus tout la clarté. » commente François Cheval

Ce livre accompagnera l’exposition « Wild Style », programmée cette année aux Rencontres d’Arles du 7 juillet au 7 septembre, ainsi qu’à Paris Photo du 13 au 16 novembre

Fiche technique :
Bilingue français et anglais
92 pages – 72 reproductions
Format : 200 x 256 mm
Relié couverture cartonnée, dos toilé
Prix de vente : 25 € TTC
Éditions Trocadéro
Distribution : Pollen Diffusion

Plus d’informations sur la Résidence BMW et le duo d’artistes https://chantal-nedjib.com/mazaccio-drowilal-laureat-2013-de-la-residence-bmw-au-musee-nicephore-niepce/

Contacts et demande de visuels :
mprangey@gmail.com
Maryse.Bataillard@partner.bmw.fr
jordane.de-tyssandier@bmw.fr
communication.niepce@chalonsursaone.fr
cnedjib@chantalnedjibconseil.com

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Le Prix Swiss LIfe à 4 mains décerné à Julien Taylor et à Arthur Lavandier

 

Lauréats Prix Swiss Life et parrains@Alexandra Davy

 

La Fondation Swiss Life propose un soutien inédit en France à une création artistique croisée. La première édition du Prix Swiss Life à 4 mains  choisit ainsi comme lauréats le compositeur Arthur Lavandier et le photographe Julien Taylor.

En février dernier, douze experts du monde de la musique et de la photographie ont nominé, après une sélection rigoureuse, les candidats pour le Prix Swiss Life à 4 mains. Inspiré par le thème « Chagall et la musique », ce prix entre en résonance avec l’exposition présentée en octobre 2015 au musée La Piscine à Roubaix et à la Cité de la Musique à Paris.

Les artistes ont imaginé en duo un projet à quatre mains. Tout au long de leur réflexion, ils ont bénéficié d’un accompagnement personnalisé pour élaborer leur projet croisé et des conseils de Mikhail Rudy, pianiste et porte-parole du Prix, qui fut proche de Marc Chagall dans les dernières années de sa vie.

Le jury du Prix Swiss Life à 4 mains, composé de professionnels de renom, a sélectionné ce mercredi 14 mai le projet présenté par Arthur Lavandier compositeur, parrainé par Bruno Messina, Directeur général et artistique du Festival Berlioz, et Julien Taylor photographe, parrainé par Marion Hislen, Présidente de Fetart et créatrice du Festival Circulation(s).

Arthur Lavandier @Alexandra Davy

 

Julien Taylor @Alexandra Davy

 

 

 

  

 

 

Les deux lauréats vont recevoir chacun une bourse de 20 000 euros pour créer en duo une œuvre qui sera présentée en octobre 2015 à Roubaix et à Paris dans le cadre de l’exposition « Chagall et la Musique ».
Un livre CD de la collection Les Musicales sera également édité par les Editions Actes Sud, à l’occasion des rencontres photographiques d’Arles 2015.
Le projet des lauréats s’appuie sur une des grandes sources d’inspiration de Marc Chagall : le Shtetl, village juif typique d’Europe de l’Est si présent dans l’œuvre du peintre. Ils ambitionnent de mettre en place un théâtre vivant avec son folklore imaginaire et onirique. Humour, joie et couleurs feront écho à la relation entre réel et imaginaire incarnée par la musique et l’image.

Pour Bruno Messina, parrain, ce projet permettra « de reprendre la tradition du dialogue des siècles derniers où musique, peinture, littérature se parlaient ».
(écouter un arrangement d’Arthur Lavandier http://vimeo.com/62148715 et aller voir l’ image animée de Julien Taylor    http://julientaylor.com/HELLYES/

"Hell, Yes !" @Julien Taylor

                                                  

Le jury a salué la qualité des duos nominés et a décerné une mention spéciale à Anne-Lise Broyer, photographe parrainée par Anne Biroleau, conservateur général à la BNF et à Mikel Urquiza parrainé par Françoise Thinat, fondatrice et directrice du Concours international de piano d’Orléans.

Jury Prix Swiss Life à 4 mains@Alexandra Davy

Le jury, présidé par Charles Relecom, président de Swiss Life France était composé de Guy Boyer, rédacteur en chef de Connaissance des arts, Bruno Gaudichon, conservateur du musée de la Piscine à Roubaix, David Lively, directeur de l’Ecole nationale supérieure de musique, Mouna Mekouar, Commissaire d’exposition (Palais de Tokyo, centre Pompidou Metz), Benoit Rivero, éditeur Actes Sud, Thomas Schlesser, historien de l’art, directeur de la Fondation Hartung Bergman, Olivier Tcherniak, vice-président de l’Admical, Eric de Visscher, conservateur de la Cite de la musique.

Les autres candidats nominés étaient :

– Mikel Urquiza sélectionné par Françoise Thinat, Fondatrice et directrice du Concours international de piano d’Orléans et Anne-Lise Broyer sélectionnée par Anne Biroleau-Lemagny, Conservateur général à la BNF, département des estampes

– Arthur Lavandier sélectionné par Bruno Messina, Directeur général et artistique du Festival Berlioz et Julien Taylor sélectionné par Marion Hislen, Présidente de Fetart et créatrice du festival Circulation(s)

– Olivier Mellano sélectionné par Isabelle Gaudefroy, Directrice artistique de la Fondation Cartier et Richard Dumas Sélectionné par Christian Caujolle, Directeur artistique de la Galerie VU

– Nicolas Worms sélectionné par Adrian McDonnell, Directeur artistique de l’orchestre de la Cité internationale universitaire de Paris et Laurence Leblanc sélectionnée par Vincent Marcilhacy, Directeur de la publication The Eyes

– Michel Petrossian sélectionné par Isabelle Duha, Pianiste et professeure d’harmonie au CNSMDP et Jean-François Spricigo sélectionné par Françoise Docquiert, Directrice du département Arts et Sciences de l’Art de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne

– Jean-Baptise Doulcet sélectionné par : Heather De Haes, Fondatrice et présidente de Foundation Arts Global Et Illes Sarkantyu sélectionné par : Audrey Bazin, Historienne de l’art et co-directrice de La Galerie particulière.

Suivez l’actualité du Prix Swiss Life à 4 mains
https://www.facebook.com/Prix.Swiss.Life.4mains

http://www.swisslife.fr/Fondation/Swiss-Life-a-4-mains

Contacts
Sophie Lhuillier – 01 58 65 20 19 – slhuillier@hopscotchcapital.fr
Violaine Danet – 01 58 65 00 77 – vdanet@hopscotchcapital.fr
Anne-Marie Lasry Weiller, directrice – annemarielasry@swisslife.fr
Anne Pizet – 01 46 17 22 36 – anne.pizet@swisslife.fr
L’image par l’image conseille la Fondation Swiss Life