Carte blanche à Chassary&Belarbi

 

Huis Clos La Table 2013©Chassary&Belarbi

La première exposition personnelle de Chassary & Belarbi est un prétexte idéal pour partager ici le coup de coeur de « l’image par l’image » pour ce duo d’artistes.
Leur nouvelle série Résonance est exposée du 6 au 28 février à Paris, galerie Rauchfeld.
La créativité et la fraicheur dont les deux artistes font preuve , alliées à la rigueur de leur travail, pourrait intéresser des marques à la recherche d’idées nouvelles pour révéler leur identité. Elles y sont prêtes.

Révélé au festival Circulation(s) en 2010, le duo d’artistes a une actualité intense en 2014.
En mars 2014, elles présenteront des tirages de la série Huis-Clos et pour la première fois des installations textiles au Centre d’art de Fillé dans le cadre du festival ‘Les Photographiques du Mans’ et simultanément exposeront leurs deux séries au Théâtre de la ville de Courbevoie.
Également, en juin prochain, elles sont invitées à réaliser leur première oeuvre de Land-Art, alliant installation textile et photographie dans un des jardins remarquables de la ville de Cahors.
Et pour la 8ème édition du prix PHPA, Alain Bisotti confie à Amélie Chassary et Lucie Belarbi la carte blanche Photo d’Hôtel Photo d’Auteur qui sera dévoilée en septembre à la galerie Esther Woerdehoff.

 

 

Chassary&Belarbi ont répondu aux question de l’image par l’image

Comment choisissez-vous vos thèmes photographiques, sont-ils purement dictés par votre émotion ou y a-t-il quelque chose de rationnel comme l’intérêt que pourra y trouver le public, un musée, une galerie ou un éditeur ?

Nos thèmes photographiques se nourrissent de nos souvenirs, de nos visions et de nos sensations. Le temps de l’écriture,  ces moments de partage et de créativité forment un cocon autour de nous. En parallèle il y a en effet une partie plus rationnelle et concrète où nous composons dans le décors les mises en scène imaginées que nous photographions, et où nous envisageons nos futurs photos vivre par elles-mêmes. La personnalisation des expositions de nos photographies est ensuite une nouvelle étape et peut offrir une interprétation inédite de notre travail. Le projet d’éditer un ouvrage sommeille en nous …

Quelle relation voyez vous entre les marques et la photographie ? 

La photographie contemporaine porte des valeurs profondes selon les démarches artistiques de chaque auteur. Selon nous, le point commun qui existe entre les acteurs du monde de l’art et des images de marque est qu’ils font chacun appel au sensitif, à l’émotionnel et cherchent à toucher un large public. La nouvelle génération de jeunes photographes donne un élan créatif et innovant et les marques sont valorisées par cet engagement. Nous envisageons une relation professionnelle, fusionnelle et sur le long terme avec les entreprises.

Seriez-vous prêt à travailler pour des marques sous forme d’une commande et quel serait alors votre enjeu ?

Nous concevons le travail de commande avec les mêmes enjeux formels que nos travaux personnels. En effet, nous aimerions répondre à des commandes qui nous permettent de nous exprimer en alliant le cahier des charges de la marque à la même liberté créative que nous recherchons dans nos séries photographiques. Pour cela, nous savons qu’une bonne communication avec la marque est indispensable dès la première rencontre. Et qu’une confiance entre l’entreprise et l’artiste, sur la conception et la réalisation du projet, est à acquérir tout au long de la collaboration.

Amelie Chassabry

Lucie Belarbi

 

 

 

 

 

 

 

Chassary&Belarbi forment un duo d’artistes photographe et plasticienne depuis 2009.

Amélie Chassary âgée de 33 ans, est photographe. Diplômée de l’Esag Penninghen, Amélie a complété sa formation dans un studio de photographie.
Lucie Belarbi âgée de 29 ans, est plasticienne. Autodidacte, Lucie a suivi des études de psychologie, puis s’en est détournée au service du textile.
Suite à leur rencontre, elles ont le désir commun de partager une aventure artistique. En duo, elles réalisent deux séries; la première Huis-Clos où elles proposent une vision des us et coutumes de notre société contemporaine et la deuxième Résonance où elles questionnent les métamorphoses du visible. Pour mettre en forme les mises en scène inventées, elles utilisent du textile autant que de la peinture et photographient à l’argentique.
Dès 2010, leurs photographies sont exposées dans de nombreux festivals; Circulation(s), ManifestO, Boutographies, Mois de la photo Off et sont remarquées par la presse; Images, TGV magazine, 20 minutes, Le temps, Réponses Photo. Soutenu par le label HPRG, le duo crée un travail de commande pour la réouverture de l’Hôtel du Panthéon à Paris, cinq photographies illustrant la relation de Georges Sand et d’Alfred de Musset.
Depuis peu, le duo a intégré le studio de création et de diffusion Hans Lucas. Et aussi, elles travaillent main dans la main avec Cyril Guierneri, le directeur artistique de la galerie Rauchfeld Paris 6, qui les a représenté au salon Red Dot pendant Art Basel Miami et au salon MIA pendant Art Palm beach. Et, c’est avec la galerie Rauchfeld que le duo vernira une première exposition personnelle le jeudi 6 février et qui durera tous le mois.

Résonance fait écho à une métamorphose de la perception du monde réel, elle met en jeu  les rapports entre les individus et la nature.
Dans ce processus de création les deux artistes recherchent au mieux l’équilibre entre les idées imaginées et leurs représentations.
Elles font de leurs personnages les témoins de ces installations éphémères révélées par la photographie.

http://hanslucas.com/amelielucie/photo
http://www.galerierauchfeld.com/index.php/fr/amelie-chassary-a-lucie-belarbi

chassarybelarbi@gmail.com


 

LA RATP invite les photographes du festival Circulation(s) dans le métro du 7 février au 16 mars 2014

 

©Bruno Marguerite / RATP

Pour son deuxième rendez- vous photographique de
« La RATP invite… », la RATP  expose 40 photographes de Circulation(s) dans 16 stations et gares, du 7 février au 16 mars.

Partenaire de Circulation(s), festival de la jeune photographie européenne, qui se tiendra au Centquatre-Paris,  la RATP propose ainsi de découvrir dans ses espaces, des images des photographes sélectionnés par un jury présidé par Xavier Cannone, directeur du Musée de la Photographie de Charleroi et parrain de cette édition, ainsi que par une galerie et une école invitées.

 « La RATP invite… »,  nouveau programme culturel de la RATP, est l’occasion d’accueillir deux fois par an, sur ses réseaux, des photographes de talent et de partager avec les voyageurs de multiples regards sur le monde.

Pour sa 4e édition, Circulation(s) prend un nouvel élan en s’installant au Centquatre-Paris, espace de programmation et de création, d’expériences et d’innovations, ouverts aux artistes du monde entier, 5 rue Curial, Paris 19è.
La vocation de ce festival rejoint une ambition forte de la politique culturelle de la RATP :
accompagner les jeunes talents, faire découvrir au public la création artistique contemporaine innovante et favoriser l’échange interculturel.
Ces objectifs communs ont conduit la RATP à ouvrir ses espaces aux photographes de Circulations(s), leur permettant de bénéficier d’une visibilité unique.

 

©Bruno Marguerite / RATP

©Denis Sutton/RATP

 

La présentation de ces photographies se fait selon deux types de dispositifs :

 

 

– du 7 au 21 février  aux stations Cité, Alma-Marceau, Pyramides, Europe  Bastille, Belleville, Place de Clichy, Châtelet, Stalingrad  : les images se déploient sous deux formats, 4×3 mètres sur les quais, et 2×1.50 mètres dans les couloirs des stations, occupant les cadres publicitaires
– du 7 février au 16 mars aux stations Saint-Denis Porte de Paris, Hôtel de Ville, La Chapelle, Jaurès (sous le viaduc de la ligne 2), Bir Hakeim, Saint-Michel, et à la gare
Luxembourg (RER B) : les formats bénéficieront d’une scénographie spécifique et de plus grande envergure.

Parmi cette sélection de 40 oeuvres, 30 sont exclusivement exposées dans les espaces de
la RATP. Chaque image étant reproduite dans plusieurs endroits, plus de 250 sont réparties dans les espaces.

Sun City Poms©Todd Antony

Façades©Zacharie Gaudrillot-Roy

 

 

 

 

 

 

 

« La RATP invite… », le rendez-vous phare de la programmation photographique de la RATP.

Après « La RATP invite… les photographes de Photoquai » (22 octobre – 11 novembre 2013), cette exposition constitue le deuxième opus de « La RATP invite… », nouveau rendez-vous culturel proposé par la RATP lancé à l’automne 2013. L’entreprise s’engage en effet à inviter deux fois par an des photographes exposés dans des festivals ou des expositions de la région parisienne, et mettre à l’honneur leur travail en investissant massivement ses espaces ; elle fera ainsi la lumière sur une photographie exigeante et diverse.

Cet événement figure parmi plusieurs opérations que la RATP conduira dans le cadre de sa nouvelle politique culturelle : fin 2013, l’entreprise a en effet donné une nouvelle impulsion à sa politique d’animation et d’aménagement de ses espaces en choisissant la Photographie comme point d’ancrage et de développement.

Tout au long de l’année, la RATP organise sur ses réseaux des animations, culturelles ou sportives. Elle offre ainsi à ses voyageurs des moments de détente, de surprise, de découvertes et d’échanges… concrétisant ainsi son ambition de faire « Aimer la Ville ».

Festival Circulation(s)

Seul festival dédié à la jeune photographie européenne, le festival Circulation(s)
propose pour la quatrième année un regard croisé sur l’Europe à travers la
photographie. Il a pour vocation de faire émerger les talents de la jeune photographie
européenne et de fédérer un réseau d’acteurs européens partageant la même
ambition que celle de l’association Fetart : aider les jeunes photographes à s’insérer dans le monde professionnel et faire découvrir au public la création artistique contemporaine
innovante. La programmation s’articule autour de la sélection d’un jury suite à un
appel à candidatures international, d’invités (une galerie et une école) et de la
carte blanche du parrain de cette édition, Xavier Canonne, directeur du musée de la
Photographie à Charleroi (Belgique).
Autour de cette exposition d’envergure réunissant une quarantaine de photographes
européens, des activités pédagogiques (visites commentées par les artistes,
projections,…) et des ateliers/workshops (lectures de portfolios,…) sont mis en
place à destination du grand public et des jeunes photographes.Au total, 44 photographes présenteront leurs travaux à travers des expositions, projections et installations.

www.ratp.fr
http://www.festival-circulations.com 

 Contact
 RATP : 01 58 78  37 37
servicedepresse@ratp.fr
nathalie.dran@wanadoo.fr

L’image par l’image conseille la RATP
cnedjib@chantalnedjibconseil.com

Carte blanche à max&charlotte

 

©max&charlotte

Maxence et Charlotte, issus d’une formation photographique aux Gobelins, deviennent max&charlotte en 2009 afin de lier leurs personnalités complémentaires.
Leurs univers personnels, mêlant onirisme et humour visuel des jeux de leur enfance, leur permettent de trouver des thèmes communs.
Leur premier projet « Où est Charlie© » a déjà été exposé à Paris en 2011 et 2012, à Amsterdam et Copenhague en 2012 et plus récemment à Shanghaï, Orléans, Tours et Blois.
Cette série photographique, inspirée de l’univers ludique et coloré des livres d’illustration Où est Charlie de Martin Handford offre un écrin contemporain au personnage de Charlie et invite le spectateur à se prendre au jeu de la quête dans certains des lieux les plus emblématiques de Paris : l’Opéra Garnier, le musée d’Orsay, le jardin du Luxembourg …

Le projet a depuis le début une belle couverture médiatique avec diverses parutions dans Polka magazine, D magazine, Courrier international Japon, Le Monde, Arty magazine mais aussi des passages à la télévision : l’Edition Spéciale et la Matinale de Canal + en 2011 et l’hyper revue de presse sur France Info en 2013.
Le duo prépare de nouvelles images pour la série qui les ont fait connaître mais aussi une nouvelle série.

L’image par l’image, séduit depuis deux ans déjà lors d’une exposition à Bercy village, par leur énergie, leur fraicheur mais aussi leur exigence vous propose de les rencontrer et de regarder quelques unes de leurs images dans cette Carte blanche

max&charlotte ont répondu aux questions de « l’image par l’image »

Quelle relation voyez vous entre les marques et la photographie ? Quelle est votre vision des marques aujourd’hui ?
L’image, qu’elle soit photographique ou purement graphique, est le message d’une marque. Elle doit symboliser et identifier en une fraction de seconde, pour un passant qui la verrait dans un métro, l’essence même des valeurs de la marque.
Aujourd’hui, l’Art devient un enjeu de marketing. Les marques se tournent vers des auteurs pour amener une vraie démarche artistique qui valorisera leurs produits. Associer un artiste et une marque permet, respectivement, au premier d’avoir un rayonnement plus populaire et à la seconde, de positionner son identité dans un univers plus luxe-art. La marque approche du merveilleux en faisant le choix de l’art.

 Seriez vous prêt à travailler pour des marques sous forme d’une commande et quel serait alors votre enjeu ?
Nous souhaiterions que la démarche qui soit faite vers nous nous permettent de continuer à véhiculer ces valeurs : fédérer les gens, créer une relation intime entre le spectateur et la création et bien sûr, la notion de participatif qui est, à notre sens, l’orientation que l’art doit prendre. Nous avons une ligne de conduite et une éthique que nous ne voulons pas perdre.

Quel serait votre enjeu, en tant que photographe, si vous faisiez un travail  de commande pour une marque ?
Dans le cadre du duo artistique max&charlotte, nous souhaitons garder une certaine éthique : respect des valeurs que nous véhiculons, respect de notre personnalité et de notre vision du monde tout en répondant à la commande du client.

 

Charlotte Moulard
Passionnée depuis l’enfance par la littérature et le dessin, Charlotte sort diplômée de l’ESAG Penninghen en section arts graphiques (mention bien) en 2005. Cette formation complète de 5 ans la forme à la conception graphique : couleur, composition, typographie ou encore photographie entre autres. Elle approfondit cet enseignement pendant deux ans à l’Ecole des Gobelins en section Prise de vue où elle rencontre Maxence. En plus de sa collaboration au duo max&charlotte, Charlotte travaille comme photographe de mode et directrice artistique.

 


Maxence B. Cardon
Dès son plus jeune âge, la photographie passionne Maxence qui suivra tout naturellement un cursus professionnalisant dans ce domaine : CAP et BAC pro photographie. Afin d’approfondir ses connaissances et découvrir d’autres médiums, il étudie ensuite les Arts Plastiques à l’université durant deux ans avant de rejoindre en 2008, l’Ecole des Gobelins en section Traitement de l’image. Ces deux années de formation lui permettent d’apprendre la retouche et d’approfondir encore ses compétences en lumière.Depuis 2010, Maxence est photographe et retoucheur Free-lance.

 

www.maxetcharlotte.com

Concours photo: « (A)voir la main » avec Wipplay.com, le PMU et le BAL

©Kourtney Roy

A l’occasion de la « Carte Blanche PMU», Wipplay.com, le PMU et LE BAL lancent un grand concours photographique : A(VOIR) LA MAIN,  « Le jeu, le sport et vous », du 2 janvier au 13 février.

Les lauréats choisis par le jury verront leurs photographies présentées au BAL au printemps 2014, en écho au travail de Kourtney Roy,  lauréate de la carte blanche PMU 2013, et à sa série d’autoportraits réalisés dans l’univers des jeux et des paris.

Tous les amateurs, passionnés d’images  sont invités à participer à ce grand concours photographique.
Pour participer, rien de plus simple : il suffit de vous inscrire sur le site wipplay.com et de poster votre photo.

Tables de poker ou de black-jack, courses hippiques, matchs de foot ou de basket, parties effrénées de tennis, de ping pong… bref, le jeu dans tous ses états sera le décor ou le scénario de vos photographies!  Seule obligation, faire apparaître au moins une main dans l’image.

Le jury composé de Diane Dufour, directrice du BAL, d’Alain Genestar, directeur de la publication de Polka Magazine, des photographes Kourtney Roy et Thomas Mailaender et de Benoit Cornu, Directeur de la Communication du PMU, sélectionneront les meilleures images.

Les 3 photos ayant recueilli le plus grand nombre de suffrages des internautes remporteront le prix des wipplayers.

La Carte blanche PMU :
Le PMU témoigne de son engagement en faveur de la création photographique contemporaine en s’associant au BAL pour donner carte blanche à un jeune photographe afin de lui permettre de porter son regard sur l’univers des jeux et paris.
  Le photographe sélectionné par le Jury après un appel à candidature lancé par le PMU et le BAL et ouvert à tout photographe professionnel, bénéficie d’une dotation de 20 000 euros pour la réalisation d’un projet inédit.

Expérimentez la photographie ludique en devenant Wipplayer
En lançant de grands jeux photographiques chaque semaine, Wipplay.com invite tous les passionnés d’images à « Shooter, voter, gagner» à travers un réseau social dédié et organisé autour de manifestations culturelles, d’évènements citoyens ou de tendances artistiques.
Wipplay.com propose à ses wipplayers de partager leurs travaux sur leur profil, gagner des badges (noctambule, voyageur, noir et blanc…) et récolter le flash d’autres wipplayers, sous le regard de grands experts de l’image.
Vivier de belles images amateurs, wipplay.com donne également régulièrement naissance à des grandes expositions (à L’Hôtel de Ville – Paris ou au festival de la MAP – Toulouse par exemple).

http://www.wipplay.com/fr_FR/concours-photo/pmu-avoir-la-main

 Contacts
paolo.antonio@pmu.fr
francoise.vogt@pmu.fr
meudic@lebal.fr

julie@wipplay.com

 L’image par l’image conseille le PMU

 

 

 

 

 

 

Carte blanche à max&charlotte

 

©max&charlotte

Maxence et Charlotte, issus d’une formation photographique aux Gobelins, deviennent max&charlotte en 2009 afin de lier leurs personnalités complémentaires.
Leurs univers personnels, mêlant onirisme et humour visuel des jeux de leur enfance, leur permettent de trouver des thèmes communs.
Leur premier projet « Où est Charlie© » a déjà été exposé à Paris en 2011 et 2012, à Amsterdam et Copenhague en 2012 et plus récemment à Shanghaï, Orléans, Tours et Blois.
Cette série photographique, inspirée de l’univers ludique et coloré des livres d’illustration « Où est Charlie » de Martin Handford, offre un écrin contemporain au personnage de Charlie et invite le spectateur à se prendre au jeu de la quête dans certains des lieux les plus emblématiques de Paris : l’Opéra Garnier, le musée d’Orsay, le jardin du Luxembourg …

Voir la Carte Blanche