Carte blanche à Audrey Siourd

« Liseuses de bonne aventure » est un projet photographique qui place les usagers du métro et le livre en son cœur. Une série de portraits de femmes plongées dans leur roman et le premier travail sériel d’Audrey Siourd.
Musicienne, travaillant depuis plusieurs années dans l’édition, cette « street photographer » pose un regard charmé et tendre sur les voyageuses en sous-sol et questionne notre rapport au livre et à la lecture.

L’image par l’image a découvert ce travail lors du Salon du livre, en mars dernier,  où la RATP, partenaire historique du Salon lui rendait hommage en soutenant l’exposition d’une trentaine de tirages. Nul doute que vous aurez dorénavant un regard attentif sur les liseuses du métro peut -être photographiées par Audrey Siourd et qui sait en deviendrez -vous une aussi….et vous messieurs inspirerez -vous aussi Audrey pour une série sur les liseurs ?

Audrey Siourd a répondu aux questions de l’image par l’image

Comment vous est venue l’envie de commencer ce projet? 

Il y a un an, une femme aux cheveux carmin s’est assise en face de moi dans le métro et a ouvert un livre. Quelque chose de puissant émanait d’elle. Une force dans la concentration qui m’a captivée. Elle semblait indifférente au brouhaha alentour. J’ai eu envie de la photographier. Le lendemain, une autre lectrice s’est installée près de moi. Le surlendemain, une autre encore. L’idée de faire une série de portraits de femmes lisant dans le métro m’est apparue comme une évidence.

Lire dans le métro est une activité à la fois fréquente, presque banale, et une acrobatie extraordinaire. Embusqué dans une rame, cela m’a plu dobserver toutes ces vies qui s’entremêlent et toutes ces histoires contenues dans les livres qui flottent au-dessus et au-dedans de nous. Le métro se mue en bibliothèque, le livre fait prendre la clé des champs.

Pourquoi ces femmes vous ont-elles intéressée ?

Comme un clin d’œil à l’air du temps et aux tablettes numériques, les lectrices sont ici des Liseuses. De belles résistantes, de tous âges et de toutes origines, en chair et en os. Impénétrables, souvent imperturbables, elles ne sont pas pour autant impassibles. Au contraire, les Liseuses offrent un véritable catalogue d’expressions et de postures.

 

@Gérard-Cambon

@Gérard-Cambon

Liseuses de bonne aventure s’accompagne d’une bande-son originale, constituée de lectures de textes, d’ambiances sonores et de petites pièces musicales. Réalisée et composée par Audrey Siourd et Céline du Chéné, habilleuse sonore et journaliste à France Culture, elle s’écoute en ligne ci-dessous :

 

 

©Sarah Hirsch

©Sarah Hirsch

Audrey Siourd, qui êtes vous? 

Je m’appelle Audrey, Cybèle, Kali Siourd. Je suis née le 19 octobre 1976, le jour où… (je suis en train de chercher…)
Hémisphère gauche : je suis journaliste et je travaille dans l’édition.
Hémisphère droit : je suis musicienne (pianiste), compositrice et parolière.
Un terreau propice à la créativité, entretenu depuis toujours par ma grand-mère Francine qui me disait souvent : « Ma petite-fille, la vie est un champ de pâquerettes et la plupart des gens marchent dessus sans états d’âme. »

Pour retrouver la série complète des Liseuses, rendez-vous sur instagram : @audreysiourd

 

Carte blanche à Bruce Gilden dans le métro

BruceSubway Du 23 juin à octobre 2015, La RATP INVITE BRUCE GILDEN, photographe de l’agence Magnum Photos, et expose dans 16 stations et gares de son réseau des œuvres exclusives, un témoignage de son regard sur la mobilité urbaine dans cinq villes où le groupe RATP est implanté : Hong Kong, Johannesburg, Manchester, New York et Paris.

La « Carte Blanche » de la RATP signée Bruce Gilden porte un regard nouveau sur la plus ancienne des activités urbaines : le mouvement quotidien des passants dans la ville.

Le photographe commente ses prises de vue dans l’interview ci dessous. L’image par l’image vous propose dans cette page une image par ville ainsi qu’un diaporama de la Carte Blanche, avec l’aimable autorisation de l’agence Magnum Photos. Vous pouvez les retrouvez tout l’été dans les stations du métro et à la Galerie Polka du 23 juin au 4 juillet 2015.

Du 23 juin à octobre 2015,  dans 6 stations de métro et 1 gare RER :
Bir Hakeim (ligne 6), Jaurès (L.2), Hôtel de Ville (L.1), La Chapelle (L.2), Saint-Michel (L.4), Saint Denis Porte de Paris (L.13), Luxembourg (RER B)
Du 23 juin au 7 juillet 2015 , dans 9 stations de métro 
Alma Marceau (L.9), Belleville (L.11), Cité (L.4), La Motte-Picquet (L.8), Montparnasse (L.13), Nation (L.9), Place d’Italie (L.7), Saint Augustin (L.9), Saint Lazare (L.12).

Bruce Gilden en parle: 

Paris : Bien que dans toutes les villes je photographie les passants de très près, à Paris la beauté du paysage historique transparaît dans chaque image.


New York
New York, c’est ma ville : c’est dans ses rues que ma photographie inspirée par l’architecture verticale a trouvé la source de son énergie, stimulée par le mouvement des passants pressés et indifférents.

Hong Kong: Je n’avais jamais été à Hong Kong. J’y ai réalisé mon film noir pour traduire l’idée romantique que j’avais de cette ville fabuleuse.
 

Johannesburg
. Le centre de la ville est une véritable ruche. Entre le va-et-vient incessant des gens, la circulation et les enseignes des magasins, tout se mélange et se déverse en un flux harmonieux et élégant.

Manchester: L’artère principale de la ville est toujours animée. Je l’ai arpentée de long en large. Il y avait toujours la menace d’une averse, exactement comme je m’y attendais.

IMAGES DU PHOTOGRAPHE BRUCE GILDEN AFFICHEES SUR LES QUAIS DU METROCette exposition est la deuxième « carte blanche » proposée par la RATP à un grand nom de la photographie, la première ayant été donnée à l’été 2014 à Gueorgui Pinkhassov.
Elle constitue le 6e rendez-vous de « La RATP invite », programme culturel lancé en octobre 2013 qui offre aux voyageurs des parcours artistiques inédits et de grande envergure au sein des espaces de transport. Son objectif : ouvrir et varier les horizons de ses 12 millions de voyageurs quotidiens.
Cet événement est  accompagné d’une exposition à la galerie POLKA, à Paris, du 23 juin au 4 juillet 2015.

 

 

Alinka Echeverria, lauréate 2015 de la Résidence BMW au musée Nicéphore Niépce

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Annonce Résidence BMW 2015-Rencontres d’Arles

 

La cinquième lauréate depuis la création de la Résidence BMW en 2011 a été annoncée pendant les Rencontre d’Arles.

Alinka Echeverria a été choisie parmi 105 candidat par un jury présidé par BMW et composé de personnalités reconnues du monde de la Photographie.
Le jury (1) de la Résidence a été convaincu par l’approche trés contemporaine et analytique des images présentées par cette jeune et talentueuse artiste a présenté dans son dossier de candidature. Elle travaille sur l’interaction entre l’image et le spectateur pour l’amener à voir le monde différemment.
Alinka Echevarria est une artiste mexicaine, née en1981, dont le travail se partage entre la photographie et la vidéo. Diplômée d’un master en anthropologie sociale, elle a étudié la photographie à l’ICP à New York. En 2012, elle a été designée «  Photographe international de l’année » par le Lucie award et a reçu le Prix HSBC pour la photographie en 2011.
Sa vision du monde est extrêmement analytique, introspective et à la recherche de raisonnements alernatifs.

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Alinka Echaverria lauréate Résidence BMW 2015

 

Son projet pour la Résidence BMW est d’examiner comment “voir” à travers des inventions photographiques telles que le microscope, les vue aériennes, les images par satellite, les images radiographiques et en 3D qui nous ont permis de mieux comprendre –physiologiquement, scientifiquement, philosophiquement- l’espèce humaine et visuelle en constante évolution.
Elle déclare ainsi : “ Pendant la Résidence BMW, j’éspère trouver un environnement qui m’inspirera et me permettra d’enrichir ma pratique pour produire un travail qui repoussera les limites de la compréhension. Cette résidence au musée Nicéphore Niépce me permettra d’expérimenter des modes de production d’un medium que j’aime et en lequel je crois ».

Serge Naudin, président du directoire de BMW Group France s’enthousiasme:
“La démarche scientifique d’Alinka constitue une approche riche et nouvelle de l’esthétique contemporaine. Nous soutiendrons son processus d’expérimentation, qui l’amènera à des series d’images documentaires avec un point de vue d’anthopologue à la création d’images conceptuelles. Nous sommes très fiers d’avoir attirer une jeune artiste, déjà reconnue, comme Alinka. C’est la preuve que la Résidence BMW au musée Niépce offre aux photographes de vastes possibilités de recherche, bien audelà d’une simple visibilité ou d’un tremplin vers la reconnaissance.

 

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Anthem from Serie becoming South Soudan by Alinka-Echeverria

 

Alinka Echeverria recevra, de BMW France, une bourse de 6000€, le financement de son hébergement à Chalon sur Saône, la production d’un travail exposé aux Rencontres de la Photographie d’Arles et à Paris Photo, un film réalisé par François Goizé, et un livre publié aux éditions Trocadéro.
Sous la direction de François Cheval, conservateur en chef du musée Niépce et avec le soutien de toute l’équipe du musée et du laboratoire, la photographe pourra expérimenter de nouvelles dimensions et s’orienter vers de nouvelles voies de création.

 

 

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Mazaccio&Drowilal-Natasha Caruana-Alinka Echeverria-Nicolas Peter BMW -Hervé Schiavetti-Sam Stourzé-Rencontres d’Arles

 

Initiée en 2011, la Résidence BMW est née du souhait commun du musée et de la marque de développer les pratiques photographiques contemporaines, « de l’envie partagée d’aller vers de nouveaux espaces de création » comme le souligne François Cheval, conservateur en chef du musée Nicéphore Niépce.
Cette résidence vise à offrir un espace de libre expression, à accompagner la production artistique et à encourager l’émergence de talents en permettant à ses lauréats une visibilité exceptionnelle parmi les professionnels et les amoureux de la photographie.

 

 

 

BMW ET LA PHOTOGRAPHIE CONTEMPORAINE
BMW Group soutient depuis plus de 40 ans et à travers plus de 100 projets dans le monde la création et les arts contemporains, en ayant pour principe absolu de donner carte blanche aux artistes.
BMW Group France soutient la photographie contemporaine depuis 13 ans et est partenaire des Rencontres de la Photographie d’Arles depuis 6 ans.
En 2011, BMW a initié avec le musée Nicéphore Niépce un partenariat culturel inédit et ambitieux, sous forme d’une résidence d’artiste.

Serge Naudin, président du directoire de BMW Group France, commente cet engagement:  » Nous sommes toujours plus curieux de découvrir les créations des artistes que nous soutenons. Les quatre premières Residences ont rencontré un beau succès et nous sommes très fiers d’avoir pu contribuer au succès de photographes talentueux tels qu’Alexandra Catière, Marion Gronier, Mazaccio & Drowilal et Natasha Caruana. Chacun d ‘eux a renforcé notre conviction que notre soutien à la photographie contemporaine est en totale adéquation avec les valeurs de notre maison. Nous nous attachons à choisir des lauréats ayant des univers très différents. Cette diversité s’exprime pleinement à nouveau cette année avec la nomination de la photographe anthropologue Alinka Echeverria. Je suis trés heureux de l’accueillir dans la “famille des artistes” BMW.
Il souligne aussi la similarité entre l’approche des photographes et des designers : « C’est avec la même liberté de création, la même attention et le même sens du détail et de l’esthétique que nos designers et nos ingénieurs conçoivent nos voitures en inventant chaque jour les innovations technologiques de demain. La recherche est alors sublimée pour donner libre cours à l’émotion. C’est naturellement que BMW s’est tournée vers la photographie ».

1 Le comité de sélection de la Résidence réunit des personnalités du monde de la photographie telles que François Cheval, conservateur en chef du musée Nicéphore Niépce, Sam Stourdzé, directeur des Rencontres d’Arles, Christoph Wiesner, directeur artistique de Paris Photo, Damien Bachelot, collectionneur, Chantal Nedjib, présidente de l’image par l’image, Maryse Bataillard, responsable du mécénat culturel BMW France.

Contacts
maryse.bataillard@bmw.fr
mprangey@gmail.com
cnedjib@chantalnedjibconseil.com
emmanuelle.vieillard@chalonsursaone.fr

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Coup de foudre ! Natasha Caruana lauréate de la Résidence BMW expose aux Rencontres d’Arles

BMW Art & Culture partenaire des Rencontres de la Photographie à Arles pour la sixième année consécutive  présente “Coup de Foudre” de Natasha Caruana, lauréate 2014 de la Résidence BMW au musée Nicéphore Niépce.

Alchemy of the Sun © Natasha Caruana

Alchemy of the Sun
© Natasha Caruana

Natasha Caruana, jeune photographe anglaise expose durant les Rencontres d’Arles 2015, une étude photographique sur le coup de foudre amoureux.

La série intitulée « Coup de Foudre /At First Sight » s’inspire du vécu amoureux de la photographe. En 2014 elle rencontre un homme, ils se marient trois jours avant le début de sa résidence à Chalon sur Saône. Natasha Caruana part à la recherche de réponses sur ce phénomène inexpliqué qu’est l’amour au premier regard, « love at the first sight » en anglais et laisse son mari à Londres !

 

Elle propose un travail issu de récits de couples ayant eu un coup de foudre, associé à des expériences menées dans les domaines de la psychologie comportementale. Cette tentative de compréhension de la passion amoureuse mêle théâtralisation de l’instant, commentaire scientifique et illustration des facteurs influençant le coup de foudre.

I had to know © Natasha Caruana

I had to know
© Natasha Caruana

 

 

 

Beating #1 © Natasha Caruana

Beating #1
© Natasha Caruan

 

 

Par le biais d’un appel à témoin, l’artiste a demandé à une dizaine de couples et de célibataires de Chalon sur Saône ayant été touchés par un coup de foudre de revivre et de mimer les sensations ressenties lors de leur première rencontre.Ces photos sont accompagnées de graphiques du système de circulation sanguin décrivant la réaction du cœur au moment de l’impact et d’une documentation constituée à partir de sept expériences réalisées sur l’attirance. Les tests ont été recréés avec des étudiants en classe de sciences du collège Nicéphore Niépce.

 

Durant l’exposition, le public peut découvrir une vidéo réalisée par François Goizé sur les coulisses de la Résidence de Natasha Caruana à Chalon-sur-Saône, vidéo dont voici un extrait.

 

Coup de foudre de Natasha Caruana est présenté à Arles aux Rencontres de la Photographie, salle Henri Comte du 6 juillet au 31 août 2015.

Le commissariat général de l’exposition a été assuré par François Cheval, conservateur du musée Nicéphore Niépce et son équipe.

Natasha Caruana a également été choisie par Sam Stourdzé, Directeur des Rencontres de la Photographie d’Arles, pour présenter sa série « Fairytale for Sale ». Elle a revisité cette série photographique sous la forme d’un court métrage réalisé en collaboration avec la compositrice Emilie Levienaise-Farrouch.
Ce court métrage est projeté durant « La Nuit de l’Année » le 9 juillet aux Papeteries Étienne.

couverture Natasha caruanaLe livre Coup de foudre, publié par les éditions Trocadéro, est disponible sur place.

Préfacé d’un texte de François Cheval, conservateur en chef du musée Nicéphore Niépce, il rassemble l’intégralité de la série. Cet ouvrage propose un voyage amoureux à travers histoires personnelles et observations scientifiques et s’achève sur une annexe détaillant les résultats des sept expériences menées par Natasha Caruana et les lycéens du Collège Nicéphore Nièpce.

C’est le quatrième ouvrage de la collection BMW Art & Culture dédiée aux lauréats de la Résidence photographique au musée Nicéphore Niépce.
Bilingue français et anglais 88 pages-50 images. Format : 200x256mm. Prix : 29€ en librairie

 Extrait de l’introduction Serge Naudin, président du directoire BMW Group France :
 Coup de foudre ! Pouvons-nous espérer titre plus évocateur pour aborder la passion qui anime BMW que celui de l’étude photographique réalisée par Natasha Caruana et présentée à Arles.

Extrait de la préface de François Cheval, conservateur en chef du musée Niépce :
Natasha Caruana, reconduit les gestes, sinon les affectations de la culture théâtrale. Mais, cette naïveté n’est qu’apparente. Sous ces clichés répétés, dans des décors qui doivent tant au chromo, dans cet exercice inutile, peut se lire la recherche réjouissante du sentiment, un peu bête, parce que trop humain, du bonheur.

©Amandine Riou

©Amandine Riou

 Natasha Caruana est une photographe, vivant et travaillant à Londres, diplômée du Royal College of Art de Londres et enseignant la photographie à l’université des Arts créatifs de Farnham, Royaume-Uni.
Lauréate en 2014 de la Résidence BMW au musée Nicéphore Niépce, elle s’est inspirée de récits emprunts d’amour, de trahison et de fantasmes, de témoignages glanés sur internet, de sa vie personnelle et de dessins d’archives sur le sujet.
Son travail fait partie de nombreuses collections et a fait l’objet de nombreuses éditions photographiques. Natasha Caruana a exposé à Hijacked III: Contemporary Photography from Australia and the UK ; Narratives and Narrative Forms, Lianzhou Foto Festival, Chine ; The Social: Encountering Photography, The Sunderland Museum.
Elle a été nominée en 2014 au Prix Foam Paul Huf, désignée comme artiste à suivre par le Royal Photographic Society Journal et sélectionnée par la Humble Arts foundation parmi les dix-huit principales photographes féminines travaillant au Royaume-Uni.

 BMW soutient la photographie par un partenariat culturel inédit et ambitieux, sous forme d’une résidence d’artiste, avec le musée Nicéphore Niépce.
Initiée en 2011, la Résidence BMW est née du souhait commun du musée et de la marque de développer les pratiques photographiques contemporaines, « de l’envie partagée d’aller vers de nouveaux espaces de création » comme le souligne François Cheval, conservateur en chef du musée Nicéphore Niépce.

L’artiste bénéficie d’une bourse de 6 000 €, du financement de son hébergement à Chalon sur Saône, de la production d’un travail exposé aux Rencontres de la Photographie d’Arles et à Paris Photo, d’un film réalisé par François Goizé, et d’un livre publié aux éditions Trocadéro.

Le comité de sélection de la Résidence réunit des personnalités du monde de la photographie tels que François Cheval, déjà mentionné, Sam Stourdzé, directeur des Rencontres d’Arles, Christoph Wiesner, directeur artistique de Paris Photo, Damien Bachelot, collectionneur, Chantal Nedjib, présidente de l’image par l’Image, Maryse Bataillard, responsable du mécénat culturel BMW France.

Cette résidence vise à offrir un espace de libre expression, à accompagner la production artistique et à encourager l’émergence de talents en permettant à ses lauréats une visibilité exceptionnelle parmi les professionnels et les amoureux de la photographie.

BMW ET LA PHOTOGRAPHIE CONTEMPORAINE
BMW Group soutient depuis plus de 40 ans et à travers plus de 100 projets dans le monde la création et les arts contemporains, en ayant pour principe absolu de donner carte blanche aux artistes.
Serge Naudin, président du directoire de BMW Group France, souligne la similarité entre l’approche des photographes et des designers : « C’est avec la même liberté de création, la même attention et le même sens du détail et de l’esthétique que nos designers et nos ingénieurs conçoivent nos voitures en inventant chaque jour les innovations technologiques de demain. La recherche est alors sublimée pour donner libre cours à l’émotion. C’est naturellement que BMW s’est tournée vers la photographie ».

Contacts
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cnedjib@chantalnedjibconseil.com
emmanuelle.vieillard@chalonsursaone.fr

 

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La RATP invite les photographes des Rencontres d’Arles à Paris, station Cité du 7 au 27 juillet

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Pendant deux semaines, la station Cité devient arlésienne !

Dans le cadre de sa politique culturelle, « La RATP invite les Photographes des Rencontres d’Arles », en exposant 17 œuvres photographiques de 17 artistes, du mardi 7 au mardi 21 juillet 2015 à la station Cité (ligne 4 du métro). Les images se déploient sur les cadres publicitaires des quais de la station, en format 4 x 3 mètres.

Par cette sélection unique, la RATP se fait un écho singulier des 35 expositions présentées lors de la 46e édition de ce festival incontournable dans le domaine de la Photographie programmée du 6 juillet au 20 septembre 2015.

Cette exposition est le 7ème rendez-vous de « La RATP invite », programme culturel lancé en octobre 2013 qui offre aux voyageurs des parcours artistiques inédits. Il permet notamment à la RATP de partager avec ses voyageurs la création photographique contemporaine. En s’associant cet été aux Rencontres de la Photographie d’Arles, la RATP ouvre ses espaces à l’actualité culturelle en région et offre une « échappée culturelle » à tous ses voyageurs franciliens et touristes, pendant leur trajet.

Le choix des images a été fait conjointement par la RATP et Sam Stourdzé, directeur des Rencontres de la Photographie d’Arles. Cette sélection témoigne de la pluralité et de la richesse de la programmation du festival, en jouant sur l’alternance des formats, des couleurs, des sujets, de la photographie ancienne et contemporaine, vernaculaire, avec des images suggérant plusieurs niveaux de lecture.

Photographies et artistes exposées dans le métro et à Arles :

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© Stephen Sore

 

 

 

 

 

 

Stephen Shore, Ginger Shore, Causeway Inn, Tampa, Florida, 17 novembre 1977, Série Uncommon places – Exposition Stephen Shore

Las Vegas Studio, Banlieue américaine, vers 1968 – Exposition Las Vegas Studio

Toon Michiels

Toon Michiels

Toon Michiels, Motel Holiday, Las Vegas, Nevada – Exposition American Neons signs by day and night

Markus Brunetti, Reims, Cathédrale Notre-Dame, 2013-2014 – Exposition Façades

Martin Paar, Banquet d’investiture du maire de Todmorden, District de Calderdale, Angleterre, Série The Non-Conformists, 1975-1980 – Exposition MMM, Mathieu Chédid rencontre Martin Paar

Paul Ronald, Marcello Mastroianni – Exposition Fellini, 8 1⁄2 couleur
Sandro Miller, David Bailey / Mick Jagger, Fur Hood (1964), 2014 – Exposition Malkovich, Malkovich,

Malkovich : hommage aux maîtres de la Photographie

Eikoh Hosoe, Simmon : a private landscape, 1971 – Exposition Another Language, huit photographes japonais

Martin Gusinde, Chasseurs Selk’nam, 1919-1924 – Exposition L’esprit des hommes de la terre de feu

Paolo Woods et Gabriele Galimberti, Une homme flotte dans la piscine située au 57e étage du Marina Bay Sands Hotel. Derrière lui, le Panorama de “Central”, le quartier de la finance de Singapour – Exposition Les Paradis. Rapport annuel

Natasha Caruana, Alchimie du soleil – Exposition Coup de foudre

Alchemy of the Sun © Natasha Caruana

Alchemy of the Sun
© Natasha Caruana

 

 

 

 

 

 

 

Paolo Pellegrin et Alex Majoli, 2012, Congo – Exposition Congo

Thierry Bouët, Avion ailes hautes – Exposition Affaires privées

© Thierry Bouët

© Thierry BouëtThierry Bouët, Avion ailes hautes – Exposition Affaires privées

 

 

 

 

 

 

 

Trois séries de la collection Jean-Marie Donat – Exposition Vernaculaire ! Trois séries de la collection Jean –Marie Donat

Omar Victor Diop, El Moro, série Diaspora, 2014 – Dans le cadre du Prix découverte 2015 Delphine Chanet, Foodshark, 2012 – Dans le cadre du Prix découverte 2015

Alice Wielinga, Le temps des moissons, Corée du Nord, 2013 – Exposition Corée du Nord, une vie entre Propagande et Réalité.

©Alice Wielinga

©Alice Wielinga

 

 

 

 

 

 

Et toujours sur les réseaux RATP :
L’exposition « La RATP invite Bruce Gilden », dans 16 stations et gares, jusqu’au mois d’octobre 2015 
https://chantal-nedjib.com/carte-blanche-2/

« La RATP invite… », le rendez-vous phare de la programmation photographique de la RATP

« La RATP invite » est une initiative lancée par la RATP en octobre 2013 et devenue un rendez-vous régulier, illustrant le nouveau souffle que l’entreprise a donné à sa politique culturelle à travers la photographie. La RATP s’est engagée à inviter régulièrement des photographes – français ou étrangers, des jeunes talents ou des artistes de renom de différentes époques – et à mettre à l’honneur leur travail en le déployant massivement dans ses espaces. C’est ainsi qu’elle a décidé de mettre la lumière sur une photographie exigeante et diverse.

Depuis l’automne 2013, 6 éditions de « La RATP invite » se sont succédé. Ont ainsi été exposées les créations des photographes présentés à la biennale PHOTOQUAI (octobre – novembre 2013), au festival CIRCULATION(S) (février – juin 2014), les photographies de Garry Winogrand en partenariat avec le Jeu de Paume (octobre 2014 – février 2015) et celles de Harry Gruyaert en partenariat avec la Maison Européenne de la Photographie (avril – juin 2015).

Par ailleurs, pour les éditions estivales (juin-septembre), la RATP a donné une « carte blanche » à Gueorgui Pinkhassov (en 2014) puis à Bruce Gilden (en 2015), photographes de l’agence Magnum Photos, pour poser successivement leur regard personnel et artistique sur la mobilité urbaine dans des villes où le groupe RATP est implanté, en France et à l’étranger.

Grâce à la photographie, art de proximité et forme d’expression artistique accessible au plus grand nombre, la RATP souhaite renforcer ses échanges avec ses publics, en donnant une plus grande envergure à la politique d’animation et d’aménagement de ses espaces.

www.ratp.fr
servicedepresse@ratp.fr 

l’image par l’image conseille la RATP