Autophoto à la Fondation Cartier : derniers jours !

ur la route d’Acapulco, Mexique, 1966- Série Le Voyage mexicain Courtesy de l'artiste / Galerie Camera Obscura, Paris © Bernard Plossu

Sur la route d’Acapulco, Mexique, 1966- Série Le Voyage mexicain- Galerie Camera Obscura, Paris © Bernard Plossu

Une exposition qui résonne avec l’actualité plutôt « anti-voiture » de la rentrée parisienne. Quatre cent cinquante photographies réalisées depuis le début du XXè siècle par plus de cent photographes nous font revivre les transformations de la ville et explorer les différents aspects de la culture automobile, de la vie des usines de production au rôle de la voiture dans l’histoire et notre quotidien.

Frisson de la vitesse, autoportraits de voiture, humour de certains cadrages, la voiture symbole de fuite de la répression  mais aussi nostalgie d’une époque où la voiture était un symbole de notre liberté, à voir absolument si possible encore !

Une Delage au Grand Prix de l’Automobile Club de France, circuit de Dieppe,Photographie Jacques Henri Lartigue © Ministère de la Culture – France / AAJHL

Une Delage au Grand Prix de l’Automobile Club de France, circuit de Dieppe.
Photographie Jacques Henri Lartigue © Ministère de la Culture – France / AAJHL

Plus d’images sur Wipplay.com

fondationcartier.com 

AutoPhoto
jusqu’au 24 septembre
Fondation Cartier pour l’art contemporain
261, boulevard Raspail 75014 Paris

Carte blanche à Géraldine Aresteanu

Portrait JC Ruffin 20150927_0980Géraldine est une passionnée de rencontres. Elle partage le quotidien des gens durant 24h, elle photographie leur vie autant qu’elle fait leurs portraits. Montrer l’invisible la passionne.
Son approche des gens, au plus profond d’eux-mêmes, ses rencontres photographiques, son amour de la photographie ne peuvent laisser indifférents.
L’image par l’image, touchée par son engagement,  vous propose de pénétrer dans les 24H de Géraldine Aresteanu, en commençant par le récit inattendu des heures vécues avec Jean Christophe Ruffin lors une escalade de l’Aiguillette d’Argentière. Vous serez sans aucun doute touchés par la beauté des vies telles qu’elles sont captées et racontées de manière très bienveillante par cette photographe atypique et talentueuse. Et qui sait, peut- être  voudrez-vous lui demander de passer 24h avec vous ou dans votre entreprise pour en témoigner !

Géraldine Aresteanu a répondu aux questions de l’image par l’image

Quelles ont été vos débuts en photographie?
Je suis tombée amoureuse de la photographie à l’âge de 13 ans, et n’ai eu de cesse que de vouloir devenir photographe. Née en Roumanie, la photographie m’est apparue au moment de la révolution comme un symbôle de la liberté. A 15 ans mes parents m’ont offert mon premier appareil photo Canon T60. Apres mon bac j’ai fait des maths afin de rentrer à l’Ecole Louis Lumière mais, après avoir franchi toutes les étapes du concours, je n’ai pas été acceptée car je n’avais pas validé mon Deug de maths. J’ai ensuite décidé de « faire toute seule » et de rencontrer des photographes. La vie m’a appris qu’il y a toujours quelque chose de positif dans les expériences.

Vous êtes donc une autodidacte, comment avez -vous poursuivi votre rêve?
Un premier reportage en argentique sur des mineurs roumains a été exposé à Orléans où je réside maintenant.  J’ai eu la chance qu’il soit remarqué par France 3 qui a diffusé un sujet. Ensuite grâce à un effet boule de neige, j’ai enchaîné des travaux sur le langage des signes avec l’aide de Fondations et publié un premier livre à compte d’auteur. Associée à une amie graphiste, j’ai reçu des commandes d’entreprises prestigieuses; j’alterne photos de mode, portraits et reportages.

Racontez-nous ce projet des 24h
J’ai la chance d’entrer facilement en relation avec des gens. J’étais frustrée de ne pas passer plus de temps avec les personnes que je photographiais. Mon premier 24H a été avec Mihai, pêcheur dans le Delta du Danube en Roumanie, un grand bonheur de prendre le temps et de vivre sa vie pendant 24 heures. Puis, j’ai suivi le pianiste de jazz Jacky Terrasson dans sa vie new yorkaise, puis Joséphine, petite fille polyhandicapée dans sa vie de famille et sa vie de soin en institut.
Je me fais oublier mais je reste effectivement 24 heures entières auprès de chacun d’eux. Une vision très intime tout en étant très respectueuse de chacun d’eux.
Depuis peu je passe aussi 24 h avec des entreprises pour faire comprendre et ressentir leurs âmes ..Une première expérience au Moulin Rouge sera bientôt publiée.

Comment travaillez -vous avec les entreprises?
J’aime effectuer des travaux de commande car ils sont utiles, je ne fais aucune différence entre une photographie de commande et une photographie artistique
Je suis une photographe !

image2

Photographe indépendante depuis 1998 pour des entreprises, compagnies de spectacle et des institutions publiques françaises et étrangères (reportage, mode, portrait).
Lauréate en 2001 du prix de la Fondation de France et de la Fondation Crédit Mutuel pour la réalisation d’un livre sur la différence de la langue des signes, « portraits pour un mot ». Co-fondatrice en 2003 de Salez-Poivrez agence de communication (graphisme, intervention artistique,web, photographie et stratégie), direction artistique de projets et photographe jusqu’en 2014.
Co-fondatrice en 2014 du projet Everybody is Beautiful, www.everybody-is-beautiful.com

www.24h.geraldinearesteanu.com

Saturnium de SMITH&HOANG, au Palais de Tokyo et aux éditions Actes Sud

SATURNIUM_SMITHLa Fondation Swiss Life et Actes Sud éditent un conte musical et photographique Saturnium dans la collection “Images de musique”. Ce livre-disque présente la création de la photographe SMITH et du compositeur Antonin Tri Hoang, lauréats de la deuxième édition du Prix Swiss Life à 4 mains.
Créé en 2014, ce prix est une initiative artistique novatrice développée par la Fondation Swiss Life, favorisant le dialogue entre musique et photographie.

Le thème de ce deuxième opus, “Le rêve des formes”, est aussi celui de l’exposition éponyme qui est présentée au Palais de Tokyo, depuis le 14 juin, jusqu’au 10 septembre 2017 pour célébrer les 20 ans du Fresnoy.
Une installation des deux lauréats y est présentée.

 

SATURNIUM

Fasciné par les travaux de Marie Curie, le duo baptisé SMITH & HOANG a choisi de faire de la radioactivité sa machine à rêve de formes et offre une œuvre unique et innovante, mêlant fiction et temporalité.

À travers un conte musical et photographique, à la lisière du fantastique, les artistes exhument une découverte non publiée qu’aurait faite la scientifique en son temps : celle d’un nouvel élément chimique baptisé “Saturnium”, en référence à sa possible origine saturnienne – et à Saturne, dieu du temps, figure de la mélancolie.

Cette substance “capable de courber le temps”, selon l’astrophysicien Jean- Philippe Uzan, collaborateur du duo, irradie les images de SMITH et la musique d’Antonin Tri Hoang.

SATURNIUM

 

Les photographies de SMITH et la musique d’ Antonin Tri Hoang sont ici accompagnées d’une note rédigée par leurs soins et d’un texte de présentation écrit par Claire Moulène et Alain Fleischer. Plusieurs liens au fil du livre permettent de prolonger l’expérience à travers des vidéos et des enregistrements.

SATURNIUM

 

Marion Hislen, présidente de Fêtart et créatrice du festival Circulation(s) et Laurent Cugny, musicien, professeur à l’université Paris-Sorbonne ont respectivement proposé Smith et Hoang au jury qui a sélectionné leur duo.

SMITH est photographe, réalisatrice et artiste plasticienne. Elle est diplômée de l’École nationale supérieure de la photographie à Arles et du Fresnoy à Tourcoing. L’artiste questionne la transformation du vivant: elle observe la construction, la déconstruction, la délocalisation et les mues de l’identité. Elle est représentée par la galerie Les Filles du Calvaire à Paris et Spectre Productions.

Smith

©Smith

Antonin Tri Hoang est compositeur, clarinettiste depuis l’âge de neuf ans et saxophoniste, résolument tourné vers le jazz. Diplômé du Conservatoire de Paris en 2005, il joue dans diverses formations allant de l’improvisation minimale au jazz contemporain ou au concert-spectacle. Il a également joué au théâtre et composé des musiques de film du réalisateur Ambarish Mannepalli.
Il fait partie de l’Orchestre national de jazz depuis 2009 et a publié son premier album, Aéroplanes, en 2011.

 en savoir + sur le duo

 

 

Saturnium_couv2
Ce livre-disque s’inscrit dans la collection “Images de musique” éditée par les éditions Actes Sud, dans laquelle sont déjà parus Mémoires de Bobba, d’Arthur Lavandier et Julien Taylor (lauréats de la première édition du Prix Swiss Life à 4 mains, 2015), Berg Schonberg Webern Piano Music-Michael Ackerman (2010), Ibéria d’Albéniz-Isabelle Muñoz Villalonga (2010), Pascal Dusapin (2012), Federico Mompou-Chema Madoz (2013) et Britten, Quilter, Warlock-Alain Fleisher (2013).

+d’infos sur la première édition

 

Spécialiste en assurance des personnes, Swiss Life a créé sa Fondation d’entreprise en 2009. La Fondation Swiss Life s’engage sur trois axes : la santé durable, l’art en partage et le soutien aux collaborateurs dans leurs projets associatifs. Sa volonté est de favoriser les rencontres entre ses partenaires pour ouvrir des perspectives novatrices.
Dans le cadre d’ “Art en partage”, elle s’attache à donner accès à l’art à des personnes qui en sont privées ou éloignées.
La Fondation est mécène de grands musées à Paris et en régions (le Centre Georges-Pompidou, le musée d’Orsay, la Cité de la musique, le musée La Piscine à Roubaix) ; elle soutient la musique aux côtés de l’Orchestre Baroque du Cercle de l’Harmonie, du Quatuor Cambini, du pianiste Philippe Guilhon-Herbert et de l’association Music’O seniors.
Elle soutient la création artistique contemporaine à l’image de son partenariat avec le Prix Arcimboldo de la création photographique numérique en 2011 et 2012.
Avec le Prix Swiss Life à 4 mains, elle affirme sa volonté de favoriser la création et le dialogue entre les arts.

www.swisslife.fr/Fondation

l’image par l’image conseille la Fondation Swiss Life pour le Prix Swiss Life à 4 mains

 

Coups de coeur de juin

Dina arrosé @Pierre Jamet

© Pierre Jamet, Dina arrosée,1937

Y’a d’la joie, 

Proche de Doisneau et de Willy Ronis, Pierre Jamet occupe une place particulière dans la photographie humaniste et exprime dans ses photos le bonheur des étés au bord de la mer, la beauté de la femme, l’enthousiasme de la jeunesse sous le Front Populaire, la Libération de Paris ainsi que les années dorées de l’après-guerre…

Les photographies de Pierre Jamet ont un caractère universel. Elles ont la clarté et la fraîcheur de l’espoir des années d’avant-guerre, puis de la paix retrouvée.
Pierre Jamet est né en 1910 dans l’Aisne, il avait une double vocation, photographe dès le plus jeune âge et chanteur. Chanteur, danseur, directeur de colonies de vacances, Pierre Jamet photographie sans cesse en toute liberté. C’est à sa fille Corinne Jamet-Vierny que l’on doit de voir révélée ainsi au public son œuvre de photographe.

+ d’images sur mon blog-wipplay.com
VOZ’Galerie , 41 rue de l’Est 92100 Boulogne

Jusqu’au 16 septembre

 

Walker Evans 

« Une bonne exposition est une leçon pour le regard » selon Walker Evans et il ne faut pas se priver de cette leçon magistrale .
Des icônes à redécouvrir parmi près de 300 photographies d’époque.

Alabama Tenant Farmer Floyd Bourroughs© Walker Evans Archive, The Metropolitan Museum of Art Photo: © Fernando Maquieira, Cromotex

Alabama Tenant Farmer Floyd Bourroughs1936- © Fernando Maquieira, Cromotex

 On y découvre l’obsession du photographe américain qui compte parmi les plus importants du XXè siècle(1903-1975),  son obsession pour l’architecture des bords de route, les enseignes et signes typographiques et aussi pour les visages.
Et on comprend mieux ce qui se cache derrière le « vernaculaire » (des formes d’expression populaire employées par des gens ordinaires à des fins utilitaires)
« Vous ne voulez pas que votre œuvre vienne de l’art ; vous voulez qu’elle prenne origine dans la vie ? C’est dans la rue qu’elle se trouve. » a expliqué le photographe en 1971.

Centre Pompidou
 Jusqu’au 14 août

 

Célébrer 70 ans de Magnum  

(c) Robert Capa-Magnum Photos

(c) Robert Capa-Magnum Photos

Magnum a 70 ans.  Ses fondateurs (Capa, Cartier-Bresson, Rodger, Seymour et Vandivert) ont imaginé un statut, inédit à l’époque, de coopérative, encore détenu aujourd’hui à part égale et uniquement par ses photographes membres. Ils ont imposé le copyright en photographie,
Diane Dufour,  directrice du BAL a plongé dans un fonds conservé dans les archives de Magnum, qui rassemble une infime part des milliers de tirages d’époque en cartoline envoyés aux agents européens de Magnum pour diffusion à la presse, de 1947 à la fin des années 1970.
Des icônes mais aussi des photographies anonymes qui évoquent la question centrale de la position (éthique, politique, sensible) du photographe face à son sujet,  dans l’exposition Magnum Analog Recovery
Le BAL ,6, Impasse de la Défense, jusqu’au 27 août

2017-02-23 08.19.08Et encore les 70 ans de Magnum mais dans métro
 174 images réalisées par 91 photographes exposées dans 11 stations de métro.
Les photographies présentées traduisent la richesse des regards des ces photographes qui parcourent le monde et capturent les grands événements qui marquent la grande Histoire et les petits moments de la vie. 

Jusqu’au 30 juin 2017.

 

Claude Iverné, Fondation Henri Cartier Bresson

002 - 67614-01

Lauréat du Prix HCB en 2015, Claude Iverné a poursuivi son projet mené en 1999 au Soudan Nord, alors en noir et blanc.
« Une pensée intime ne vaut-elle pas l’histoire dès lors qu’elle se partage publiquement ? » selon l’auteur.
Une approche anthropologique de ce travail aux légendes extrêmement détaillées, cadrage, distance et tirages sont très soignés.
Après ses photographies en Afrique, la boussole du photographe se déplace de Trégastel à la vallée de la Roya, passe par le bois de Vincennes à la rencontre des réfugiés soudanais, des portraits saisissants et magnifiques. Le second volet dépeint le Sud en couleur.

Exposition Bilad es Sudan – édition d’un livre aux éditions Xavier Barral
Fondation Henri Cartier Bresson, jusqu’au 30 juillet

 

 

 

 

 

 

 

 

Un été photographique intense pour BMW Art et culture

visuel_01

Parution du livre « Toujours le soleil «  par Dune Varela, sixième lauréate de la Résidence BMW 2016 aux éditions Trocadéro dans la collection BMW Art et Culture.

Ce travail sera présenté dans une exposition personnelle pendant les Rencontres de la Photographie dont BMW est partenaire pour la 8e année consécutive, à Arles, Cloître Saint Trophime, du 3 juillet au 24 septembre.

L’artiste a interrogé la fragilité du support photographique à travers plusieurs temporalités, depuis des photographies issues du fonds du musée Nicéphore Niépce, d’Internet, et de ses propres prises de vues. Imprimées sur des matériaux aussi divers que le plâtre, le verre ou la céramique, ces images nous invitent à fréquenter des lieux empreints de significations mythologiques ou mystiques fondement de notre imaginaire.

 

17emeBaptiste Rabichon, 7 è lauréat de la Résidence BMW
Le lauréat a été choisi par le jury le 7 juin dernier, pour la pertinence et la qualité de sa démarche. Baptiste Rabichon propose une pratique de la photographie qui redonne un sens à l’idée d’une matière porteuse de contenu. « Son travail est un ensemble de sensations et d’impressions. Le discours de la photographie se construit par l’utilisation des nouvelles technologies mais aussi par le recours à des techniques anciennes. La couleur et le collage sont des moments photographiques retrouvés et revus que le lauréat interrogera pendant la nouvelle Résidence ».
La Résidence aura lieu pour la première fois à Gobelins, l’école de l’image qui coordonnera le projet, techniquement et scientifiquement, en mettant à disposition du photographe le matériel et l’équipe pédagogique nécessaire à sa réalisation.
François Cheval, directeur artistique de la Résidence accompagnera le lauréat dans ses recherches.
Le lauréat recevra de BMW Group France une bourse de 6000 €,  la production d’une exposition personnelle qui sera montrée aux Rencontres de la Photographie d’Arles et à Paris Photo en 2018. Une monographie publiée aux éditions Trocadéro dans la collection BMW Art & Culture présentera l’intégralité du travail produit en résidence.

Vincent Salimon, président du directoire de BMW Group France se félicite de ce choix :
« Créée en 2011, la Résidence BMW porte des valeurs d’excellence et d’innovation ancrées depuis toujours au cœur du groupe BMW et favorise l’émergence de nouveaux talents. Le projet de Baptiste Rabichon illustrera brillamment la recherche d’expérimentation et la diversité de création auxquelles BMW est attaché».

 

George V BMW_Expo Matthieu Ricard 2017_HD19Enfin, last but nos least, BMW France a lancé le BMW Pop-up Photo Tour, un concept inédit et ambitieux inspiré par les tournées de concerts, créé pour le réseau de concessions BMW, transformées en galeries éphémères.

 

 

Inspiré par les tournées de concerts, le BMW Pop-Up Photo Tour a pour vocation de diffuser en région la photographie contemporaine, grâce à des expositions itinérantes de photographes déjà connus du grand public.

 Matthieu Ricard et Oliviero Toscani sont les premiers à présenter leur travail autour d’une exposition d’une trentaine de tirages photographiques, signés et numérotés. La présentation par les artistes se conclut par la vente des œuvres d’art exposées.

Matthieu Ricard expose« Un demi-siècle en Himalaya ».
– Brand Store BMW George V du 1er mars au 3 juin, 38 avenue George V, 75008 Paris 
– Concession BMW Foch Automobiles à Avignon du 17 juin au 14 juillet
125 Avenue Charles Valente, 84000 Avignon

Oliviero Toscani présente, quant à lui, dans les concessions de  Toulouse et Dijon, les images les plus emblématiques de sa carrière photographique qui ont marqué la mode et la publicité.
Concession BMW Pelras à Toulouse Jeudi 14 septembre
145, rue Nicolas Vauquelin, 31100 Toulouse
– Concession BMW Savy Dijon 12 octobre
18 Rue Antoine Becquerel, 21300 Chenôve

Dilgo Khyentsé Rinpotché, maître spirituel tibétain,1985 - Matthieu RICARD

Dilgo Khyentsé Rinpotché, maître spirituel tibétain,1985

 

Oliviero TOSCANI-Toscani

Oliviero TOSCANI-Toscani

Plus d’infos 

Contacts
maryse.bataillard@bmw.fr
cnedjib@chantalnedjibconseil.com
mprangey@gmail.com
nrodet-marty@gobelins.fr

l’image par l’image conseille BMW