LA RATP invite les photographes du festival Circulation(s) dans le métro du 7 février au 16 mars 2014

 

©Bruno Marguerite / RATP

Pour son deuxième rendez- vous photographique de
« La RATP invite… », la RATP  expose 40 photographes de Circulation(s) dans 16 stations et gares, du 7 février au 16 mars.

Partenaire de Circulation(s), festival de la jeune photographie européenne, qui se tiendra au Centquatre-Paris,  la RATP propose ainsi de découvrir dans ses espaces, des images des photographes sélectionnés par un jury présidé par Xavier Cannone, directeur du Musée de la Photographie de Charleroi et parrain de cette édition, ainsi que par une galerie et une école invitées.

 « La RATP invite… »,  nouveau programme culturel de la RATP, est l’occasion d’accueillir deux fois par an, sur ses réseaux, des photographes de talent et de partager avec les voyageurs de multiples regards sur le monde.

Pour sa 4e édition, Circulation(s) prend un nouvel élan en s’installant au Centquatre-Paris, espace de programmation et de création, d’expériences et d’innovations, ouverts aux artistes du monde entier, 5 rue Curial, Paris 19è.
La vocation de ce festival rejoint une ambition forte de la politique culturelle de la RATP :
accompagner les jeunes talents, faire découvrir au public la création artistique contemporaine innovante et favoriser l’échange interculturel.
Ces objectifs communs ont conduit la RATP à ouvrir ses espaces aux photographes de Circulations(s), leur permettant de bénéficier d’une visibilité unique.

 

©Bruno Marguerite / RATP

©Denis Sutton/RATP

 

La présentation de ces photographies se fait selon deux types de dispositifs :

 

 

– du 7 au 21 février  aux stations Cité, Alma-Marceau, Pyramides, Europe  Bastille, Belleville, Place de Clichy, Châtelet, Stalingrad  : les images se déploient sous deux formats, 4×3 mètres sur les quais, et 2×1.50 mètres dans les couloirs des stations, occupant les cadres publicitaires
– du 7 février au 16 mars aux stations Saint-Denis Porte de Paris, Hôtel de Ville, La Chapelle, Jaurès (sous le viaduc de la ligne 2), Bir Hakeim, Saint-Michel, et à la gare
Luxembourg (RER B) : les formats bénéficieront d’une scénographie spécifique et de plus grande envergure.

Parmi cette sélection de 40 oeuvres, 30 sont exclusivement exposées dans les espaces de
la RATP. Chaque image étant reproduite dans plusieurs endroits, plus de 250 sont réparties dans les espaces.

Sun City Poms©Todd Antony

Façades©Zacharie Gaudrillot-Roy

 

 

 

 

 

 

 

« La RATP invite… », le rendez-vous phare de la programmation photographique de la RATP.

Après « La RATP invite… les photographes de Photoquai » (22 octobre – 11 novembre 2013), cette exposition constitue le deuxième opus de « La RATP invite… », nouveau rendez-vous culturel proposé par la RATP lancé à l’automne 2013. L’entreprise s’engage en effet à inviter deux fois par an des photographes exposés dans des festivals ou des expositions de la région parisienne, et mettre à l’honneur leur travail en investissant massivement ses espaces ; elle fera ainsi la lumière sur une photographie exigeante et diverse.

Cet événement figure parmi plusieurs opérations que la RATP conduira dans le cadre de sa nouvelle politique culturelle : fin 2013, l’entreprise a en effet donné une nouvelle impulsion à sa politique d’animation et d’aménagement de ses espaces en choisissant la Photographie comme point d’ancrage et de développement.

Tout au long de l’année, la RATP organise sur ses réseaux des animations, culturelles ou sportives. Elle offre ainsi à ses voyageurs des moments de détente, de surprise, de découvertes et d’échanges… concrétisant ainsi son ambition de faire « Aimer la Ville ».

Festival Circulation(s)

Seul festival dédié à la jeune photographie européenne, le festival Circulation(s)
propose pour la quatrième année un regard croisé sur l’Europe à travers la
photographie. Il a pour vocation de faire émerger les talents de la jeune photographie
européenne et de fédérer un réseau d’acteurs européens partageant la même
ambition que celle de l’association Fetart : aider les jeunes photographes à s’insérer dans le monde professionnel et faire découvrir au public la création artistique contemporaine
innovante. La programmation s’articule autour de la sélection d’un jury suite à un
appel à candidatures international, d’invités (une galerie et une école) et de la
carte blanche du parrain de cette édition, Xavier Canonne, directeur du musée de la
Photographie à Charleroi (Belgique).
Autour de cette exposition d’envergure réunissant une quarantaine de photographes
européens, des activités pédagogiques (visites commentées par les artistes,
projections,…) et des ateliers/workshops (lectures de portfolios,…) sont mis en
place à destination du grand public et des jeunes photographes.Au total, 44 photographes présenteront leurs travaux à travers des expositions, projections et installations.

www.ratp.fr
http://www.festival-circulations.com 

 Contact
 RATP : 01 58 78  37 37
servicedepresse@ratp.fr
nathalie.dran@wanadoo.fr

L’image par l’image conseille la RATP
cnedjib@chantalnedjibconseil.com

Carte blanche à max&charlotte

 

©max&charlotte

Maxence et Charlotte, issus d’une formation photographique aux Gobelins, deviennent max&charlotte en 2009 afin de lier leurs personnalités complémentaires.
Leurs univers personnels, mêlant onirisme et humour visuel des jeux de leur enfance, leur permettent de trouver des thèmes communs.
Leur premier projet « Où est Charlie© » a déjà été exposé à Paris en 2011 et 2012, à Amsterdam et Copenhague en 2012 et plus récemment à Shanghaï, Orléans, Tours et Blois.
Cette série photographique, inspirée de l’univers ludique et coloré des livres d’illustration Où est Charlie de Martin Handford offre un écrin contemporain au personnage de Charlie et invite le spectateur à se prendre au jeu de la quête dans certains des lieux les plus emblématiques de Paris : l’Opéra Garnier, le musée d’Orsay, le jardin du Luxembourg …

Le projet a depuis le début une belle couverture médiatique avec diverses parutions dans Polka magazine, D magazine, Courrier international Japon, Le Monde, Arty magazine mais aussi des passages à la télévision : l’Edition Spéciale et la Matinale de Canal + en 2011 et l’hyper revue de presse sur France Info en 2013.
Le duo prépare de nouvelles images pour la série qui les ont fait connaître mais aussi une nouvelle série.

L’image par l’image, séduit depuis deux ans déjà lors d’une exposition à Bercy village, par leur énergie, leur fraicheur mais aussi leur exigence vous propose de les rencontrer et de regarder quelques unes de leurs images dans cette Carte blanche

max&charlotte ont répondu aux questions de « l’image par l’image »

Quelle relation voyez vous entre les marques et la photographie ? Quelle est votre vision des marques aujourd’hui ?
L’image, qu’elle soit photographique ou purement graphique, est le message d’une marque. Elle doit symboliser et identifier en une fraction de seconde, pour un passant qui la verrait dans un métro, l’essence même des valeurs de la marque.
Aujourd’hui, l’Art devient un enjeu de marketing. Les marques se tournent vers des auteurs pour amener une vraie démarche artistique qui valorisera leurs produits. Associer un artiste et une marque permet, respectivement, au premier d’avoir un rayonnement plus populaire et à la seconde, de positionner son identité dans un univers plus luxe-art. La marque approche du merveilleux en faisant le choix de l’art.

 Seriez vous prêt à travailler pour des marques sous forme d’une commande et quel serait alors votre enjeu ?
Nous souhaiterions que la démarche qui soit faite vers nous nous permettent de continuer à véhiculer ces valeurs : fédérer les gens, créer une relation intime entre le spectateur et la création et bien sûr, la notion de participatif qui est, à notre sens, l’orientation que l’art doit prendre. Nous avons une ligne de conduite et une éthique que nous ne voulons pas perdre.

Quel serait votre enjeu, en tant que photographe, si vous faisiez un travail  de commande pour une marque ?
Dans le cadre du duo artistique max&charlotte, nous souhaitons garder une certaine éthique : respect des valeurs que nous véhiculons, respect de notre personnalité et de notre vision du monde tout en répondant à la commande du client.

 

Charlotte Moulard
Passionnée depuis l’enfance par la littérature et le dessin, Charlotte sort diplômée de l’ESAG Penninghen en section arts graphiques (mention bien) en 2005. Cette formation complète de 5 ans la forme à la conception graphique : couleur, composition, typographie ou encore photographie entre autres. Elle approfondit cet enseignement pendant deux ans à l’Ecole des Gobelins en section Prise de vue où elle rencontre Maxence. En plus de sa collaboration au duo max&charlotte, Charlotte travaille comme photographe de mode et directrice artistique.

 


Maxence B. Cardon
Dès son plus jeune âge, la photographie passionne Maxence qui suivra tout naturellement un cursus professionnalisant dans ce domaine : CAP et BAC pro photographie. Afin d’approfondir ses connaissances et découvrir d’autres médiums, il étudie ensuite les Arts Plastiques à l’université durant deux ans avant de rejoindre en 2008, l’Ecole des Gobelins en section Traitement de l’image. Ces deux années de formation lui permettent d’apprendre la retouche et d’approfondir encore ses compétences en lumière.Depuis 2010, Maxence est photographe et retoucheur Free-lance.

 

www.maxetcharlotte.com

Concours photo: « (A)voir la main » avec Wipplay.com, le PMU et le BAL

©Kourtney Roy

A l’occasion de la « Carte Blanche PMU», Wipplay.com, le PMU et LE BAL lancent un grand concours photographique : A(VOIR) LA MAIN,  « Le jeu, le sport et vous », du 2 janvier au 13 février.

Les lauréats choisis par le jury verront leurs photographies présentées au BAL au printemps 2014, en écho au travail de Kourtney Roy,  lauréate de la carte blanche PMU 2013, et à sa série d’autoportraits réalisés dans l’univers des jeux et des paris.

Tous les amateurs, passionnés d’images  sont invités à participer à ce grand concours photographique.
Pour participer, rien de plus simple : il suffit de vous inscrire sur le site wipplay.com et de poster votre photo.

Tables de poker ou de black-jack, courses hippiques, matchs de foot ou de basket, parties effrénées de tennis, de ping pong… bref, le jeu dans tous ses états sera le décor ou le scénario de vos photographies!  Seule obligation, faire apparaître au moins une main dans l’image.

Le jury composé de Diane Dufour, directrice du BAL, d’Alain Genestar, directeur de la publication de Polka Magazine, des photographes Kourtney Roy et Thomas Mailaender et de Benoit Cornu, Directeur de la Communication du PMU, sélectionneront les meilleures images.

Les 3 photos ayant recueilli le plus grand nombre de suffrages des internautes remporteront le prix des wipplayers.

La Carte blanche PMU :
Le PMU témoigne de son engagement en faveur de la création photographique contemporaine en s’associant au BAL pour donner carte blanche à un jeune photographe afin de lui permettre de porter son regard sur l’univers des jeux et paris.
  Le photographe sélectionné par le Jury après un appel à candidature lancé par le PMU et le BAL et ouvert à tout photographe professionnel, bénéficie d’une dotation de 20 000 euros pour la réalisation d’un projet inédit.

Expérimentez la photographie ludique en devenant Wipplayer
En lançant de grands jeux photographiques chaque semaine, Wipplay.com invite tous les passionnés d’images à « Shooter, voter, gagner» à travers un réseau social dédié et organisé autour de manifestations culturelles, d’évènements citoyens ou de tendances artistiques.
Wipplay.com propose à ses wipplayers de partager leurs travaux sur leur profil, gagner des badges (noctambule, voyageur, noir et blanc…) et récolter le flash d’autres wipplayers, sous le regard de grands experts de l’image.
Vivier de belles images amateurs, wipplay.com donne également régulièrement naissance à des grandes expositions (à L’Hôtel de Ville – Paris ou au festival de la MAP – Toulouse par exemple).

http://www.wipplay.com/fr_FR/concours-photo/pmu-avoir-la-main

 Contacts
paolo.antonio@pmu.fr
francoise.vogt@pmu.fr
meudic@lebal.fr

julie@wipplay.com

 L’image par l’image conseille le PMU

 

 

 

 

 

 

Carte blanche à max&charlotte

 

©max&charlotte

Maxence et Charlotte, issus d’une formation photographique aux Gobelins, deviennent max&charlotte en 2009 afin de lier leurs personnalités complémentaires.
Leurs univers personnels, mêlant onirisme et humour visuel des jeux de leur enfance, leur permettent de trouver des thèmes communs.
Leur premier projet « Où est Charlie© » a déjà été exposé à Paris en 2011 et 2012, à Amsterdam et Copenhague en 2012 et plus récemment à Shanghaï, Orléans, Tours et Blois.
Cette série photographique, inspirée de l’univers ludique et coloré des livres d’illustration « Où est Charlie » de Martin Handford, offre un écrin contemporain au personnage de Charlie et invite le spectateur à se prendre au jeu de la quête dans certains des lieux les plus emblématiques de Paris : l’Opéra Garnier, le musée d’Orsay, le jardin du Luxembourg …

Voir la Carte Blanche

Carte Blanche à Cristiana Thoux

Passionnément italienne, Cristiana Thoux  nous entraine dans son univers de photographe atypique. L’utilisation de l’iphone comme appareil photo lui permet de trouver une liberté de mouvement et de liberté, une expression originale que nous vous proposons dans cette Carte blanche.

Elle capture en images les villes qu’elle visite avec son seul iPhone, un outil peu académique pour cette scénographe, diplômée des Beaux-Arts de Florence, où elle baigne dans un univers artistique qu’elle qualifie d’ « incroyable ».  Nous ne doutons pas que vous partagerez ses émotions qu’elle nous transmet ainsi loin des effets rendus par les appareils à très haute définition et les logiciels de retouche.  Les clichés de Cristiana Thoux sont emplis de couleurs chatoyantes et de moments suspendus, uniques et insolites.

 

 

« Quand je prends une photo tout se fait rapidement, c’est comme une aigle qui chasse un lapin,  c’est rapide, immédiat. Ces gestes rapides arrivent parce que dans mes yeux, dans ma tête et dans mon cœur il y a  une mémoire artistique si on peut l’appeler ainsi,  qui me guide sans que je m’en aperçoive. La profondeur, les sentiments, les émotions, le sens de l’équilibre de la composition, les couleurs froides et chaudes, le noir et blanc, la luminosité. Tout est calé comme dans un tableau. C’est ça que j’aime. C’est comme cela que je me sens moi -même. » dit Cristiana Thoux

L’image par l’image vous invite aussi à découvrir en musique les images qu’elle vient de rapporter de Cuba  https://vimeo.com/62441095

 Cristiana Thoux a répondu à nos questions 

Pourquoi l’utilisation de l’iphone comme appareil photo ?Je me souviens du conseil que m’a donné un ami photographe : « Le meilleur appareil photo, c’est celui que tu peux emporter partout avec toi ». C’est exactement ce que j’ai pu vérifier, il y a quelques années. J’ai eu l’opportunité d’aller visiter New York en 2010.

Je suis donc partie avec un simple iphone et j’ai découvert qu’il me donnait une liberté
de mouvement et finalement d’expression. J’ai accepté les défauts de l’appareil pour jouer sur la lumière et les émotions, sans zoom ni objectif grand angle, l’iPhone m’oblige à me rapprocher de mes sujets et m’a aidée à vaincre ma timidité. Depuis mon challenge a été de travailler avec différents appareils en même temps.

Seriez vous prêt à travailler pour des marques sous forme d’une commande et quel serait alors votre enjeu ?

La commande a toujours fait partie de l’histoire de l’art et cela est pour moi évident. Je travaille presque toujours ainsi et suis tout à fait à l’aise avec cette idée de répondre à une commande de reportage ou de carte blanche. J’aime les challenges. J’aime trouver la magie de l’image sur les reportages, les portrait; les thèmes atypiques m’aident à aller de l’avant. J’adore les challenges dans la vie, c’est très dur mais c’est tellement satisfaisant de les réussir. Comme disait Michel Ange « il tormento e l’estasi ».

Faire des photos de Marseille avec l’iphone, donc sans téléobjectif ni grand angle. Partir sur le chantier de Noisy le Grand et réussir  à créer des images qui ont plu aux entreprises qui y ont travaillé. Faire des portraits d’une personne qui n’a pas confiance en elle et voir son attitude vers elle même changer, suite à des photos que j’ai réalisées, reprendre confiance, se sentir mieux.

Mon dernier reportage à Cuba a été intéressant aussi puisque il n’y a rien de plus difficile que de parcourir un chemin que tout le monde a parcouru. Alors très vite,  je me suis laissée aller vers ce que je ressentais vraiment et un nouveau monde s’est ouvert, incroyable.

Depuis des siècles les artistes sont allés de plus en plus loin dans leur démarche créative. C’est cela qui me plait et me stimule vraiment. Le jour où je n’aurais plus ces défis,  j’arrêterai de prendre des photos parce que je n’aurais plus rien à dire.

Originaire d’Aosta en Italie, Cristiana Thoux est diplômée de l’Académie des Beaux Arts de Florence avec un doctorat en histoire de l’art. Scénographe, elle a été initiée à la photographie par son père à l’âge de six ans. Sa vie professionnelle l’a emmenée dans de tous autres domaines pendant une dizaine d’années, responsable d’un centre culturel italien, directrice de création, responsable de ressources Humaines.
Elle n’a  pas cessé de photographier sans montrer ses images jusqu’en 2010, faisant preuve d’une modestie qui n’a d’égale que l’énergie qu’elle dégage dans ses projets et sa passion pour la photographie.
En 2010, elle expose pour la première fois ses images effectuées avec l’iphone,  à la Galerie Sévigné à Paris. Elle est alors invitée en 2011 à participer à Photomed et produit pour ce premier festival consacré à la Méditerranée un travail inédit sur Marseille et sa région : « iMarseille ».

Elle participe alors pendant une année entière  à des expositions et des rencontres organisées par la Fnac  autour de son travail aves des expositions personnelles itinérantes en France. Ses images ont été sélectionnées  en 2011 par la SNCF Gares et Connexions, avec celles de quatre autres photographes pour être montrées dans  cinq gares  et par la FNAC pour une exposition collective dans plusieurs villes.
Le Groupe Accor Hôtel lui confie la réalisation d’un reportage sur Saint Germain pour le nouveau concept de l’hôtel Mercure Paris Saint Germain.

 

Cristiana travaille sur des tirages grands formats avec des grands laboratoires de photo. Sa formation de scénographe et son passé en Val d’Aoste, très attaché aux métiers artisanaux expliquent qu’elle accorde beaucoup d’importance au support du tirage, à son format, au papier et à l’encadrement.

Elle travaille actuellement sur différentes commandes de clients, agences d’architecture, entreprises et particuliers.

www.thoux.com