LA RATP invite… Gueorgui Pinkhassov dans 17 stations et gares de son réseau

COREE DU SUD. Séoul. 2014. © Gueorgui Pinkhassov/Magnum Photos

« La RATP invite … Gueorgui Pinkhassov » dans 17 stations et gares de son réseau des images exclusives témoignant de son regard sur la mobilité urbaine dans cinq villes où le Groupe RATP est implanté -Casablanca, Florence, Londres, Paris et Séoul.
Il s’agit du troisième rendez-vous photographique de « La RATP invite… », programme culturel lancé par la RATP en octobre 2013, et première commande passée à un photographe, afin d’offrir un parcours artistique aux voyageurs.
Cet événement débutera par une exposition à la Magnum Gallery, à Paris, du 17 au 21 juin.


« Pour donner une nouvelle envergure à notre politique culturelle, nous avons choisi la photographie, art accessible et de proximité particulièrement adapté à nos espaces et à la diversité de nos voyageurs.

Pour cette première commande photographique, nous avons choisi Gueorgui Pinkhassov, pour la force de ses images et la sensibilité de son regard. L’art unique de Gueorgui Pinkhassov nous permet de plonger dans l’atmosphère de cinq villes où le Groupe RATP est implanté et d’ouvrir ainsi, toujours plus loin, l’espace de nos réseaux et les horizons de nos voyageurs.» commente Isabelle Ockrent, directeur de la Communication et de la Marque RATP

FRANCE. Paris. 2014 © Gueorgui Pinkhassov/Magnum Photos

La mobilité urbaine, un thème au coeur de la mission du Groupe RATP

La RATP invite l’artiste photographe Gueorgui Pinkhassov à porter son regard personnel et artistique sur le thème de la mobilité urbaine sous un angle international. A Casablanca, Florence, Londres, Paris et Séoul, villes dans lesquelles le Groupe RATP est présent au travers d’activités d’exploitation et de maintenance de réseaux de transports, le photographe nous livre son intime perception de la mobilité urbaine, un thème au coeur de la mission et du développement de l’entreprise. Ces 5 villes, où le Groupe RATP fait la preuve de ses compétences et de son expertise en matière de mobilité, portent l’ambition du groupe : rapprocher les 12 millions de voyageurs qu’il transporte quotidiennement dans le monde.

ITALIE. Florence. 2014. © Gueorgui Pinkhassov/Magnum Photos

Une oeuvre photographique au carrefour du hasard et de la lumière
Ombres soignées, composition impeccable, détails singuliers, le regard poétique de Gueorgui Pinkhassov transporte le spectateur. Dans la droite ligne de son écriture photographique, l’artiste a saisi, en un mois, le mouvement de ces 5 villes, de l’Europe à l’Asie en passant par l’Afrique, pour retranscrire la poésie propre à chaque lieu, pour saisir le mouvement de la ville. Il a ainsi réalisé un inventaire urbain composé de reflets ou jeux de miroir, de silhouettes, de tâches de couleur. Un véritable puzzle sur la mobilité urbaine qui nous plonge dans un monde aux multiples niveaux de lecture.
Cet univers photographique est proposé par la RATP comme une fenêtre ouverte sur le monde, et plus particulièrement sur le quotidien de différentes populations réinterprété par Gueorgui Pinkhassov.
Gueorgui Pinkhassov : « Le transport est mon élément. Aussi loin que remontent mes souvenirs, peut-être même avant, il me semble entendre le bruit de roues… Pour moi c’est le symbole de la liberté et du changement et ma profession ne peut se concevoir sans lui. A chaque station, arrêt, secondes, des choses banalement exceptionnelles se déroulent. Le transport avance et les stations se succèdent comme toutes les vies s’enchaînent. C’est trop curieux pour ne pas tenter de le capturer. Le stroboscope du paysage sans cesse changeant m’enchante et s’il n’arrive pas à m’endormir alors je photographie. »

 

ROYAUME-UNI. Londres. 2014. © Gueorgui Pinkhassov/Magnum Photos

40 photographies à découvrir sur les réseaux…
Du 16 juin au 30 septembre 2014, la RATP expose 40 photographies exclusives de Gueorgui Pinkhassov réparties dans 17 stations et gares. Chaque image étant reproduite dans plusieurs endroits, plus de 300 sont exposées dans les espaces.

La présentation de ces photographies se fait selon plusieurs dispositifs :
Du 17 au 30 juin, en gare de Charles de Gaulle Étoile – Salle Carnot (RER A) et aux stations Châtelet (ligne 3), Denfert (L.4), Gare d’Austerlitz (L.5), Madeleine (L.12), Montparnasse (L.4), Odéon (L.4), Saint-Lazare (L.3), Trocadéro (L.9), Villiers (L.3) : les images se déploient sous deux formats, 4×3 mètres sur les quais, et 2×1,50 mètres dans les couloirs des stations, occupant les cadres publicitaires.

Du 16 juin au 30 septembre, aux stations Bir Hakeim (L.6), Hôtel de Ville (L.1), La Chapelle (L.2), Jaurès (sous le viaduc-L.2), Saint-Denis Porte de Paris (L.13), Saint-Michel (L.4), et à la gare Luxembourg (RER B) : les formats bénéficient d’une scénographie spécifique et de plus grande envergure.… et en avant-première à la Magnum Gallery, du 17 au 21 juin.
En prélude, le public est invité à découvrir l’intégralité des 40 photographies de Gueorgui Pinkhassov qui seront réparties sur les réseaux de la RATP, à la Magnum Gallery, 13 rue de l’Abbaye – Paris 6e .

MAROC. Casablanca. 2014. © Gueorgui Pinkhassov/Magnum Photos

« La RATP invite… », le rendez-vous phare de la programmation photographique de la RATP
La RATP invite… » est une initiative lancée par la RATP en octobre 2013 et devenu un rendez-vous régulier,illustrant le nouveau souffle que l’entreprise a donné à sa politique culturelle à travers la photographie. La RATP s’est ainsi engagée à inviter régulièrement des photographes et à mettre à l’honneur leur travail en investissant massivement ses espaces. Elle fait ainsi la lumière sur une photographie exigeante et diverse.
Pour ses deux premières éditions, « La RATP invite… » a exposé les créations de photographes présentés à la biennale de PHOTOQUAI (octobre – novembre 2013) puis au festival CIRCULATION(S) (février – juin 2014).
Pour l’été 2014, la RATP a choisi de donner « carte blanche » au photographe Gueorgui Pinkhassov, marquant sa politique culturelle par un événement innovant et ambitieux.
Tout au long de l’année, la RATP organise sur ses réseaux des animations, culturelles ou sportives. Elle offre ainsi à ses voyageurs des moments de détente, de surprises, de découvertes et d’échanges… concrétisant ainsi son ambition de faire « Aimer la Ville ».

 

Gueorgui Pinkhassov© Gueorgui Pinkhassov/Magnum Photos

Gueorgui Pinkhassov

Né en 1952 à Moscou, Russe naturalisé français, il vit à Paris depuis de nombreuses années. Guergui Pinkhassov commence à s’intéresser à la photographie au terme de ses études secondaires. De 1969 à 1971, il suit les cours de l’Institut de Cinéma VGIK à Moscou. Il travaille ensuite aux studios Mosfilm dans l’équipe de cameramen, puis comme photographe de plateau. En 1978, il entre à l’Union Moscovite des arts graphiques et obtient le statut d’artiste indépendant. La même année, le réalisateur Andreï Tarkovski l’invite à photographier sur le plateau de son film Stalker. En 1979, il participe à l’exposition collective de la salle de « L’Union des artistes graphiques » où ses images sont remarquées.
En 1985, il s’installe à Paris. En 1988, il entre à Magnum Photos et commence à collaborer avec la presse internationale. Mais ce n’est pas la couverture des grands événements qui l’intéresse au premier chef. Gueorgui Pinkhassov aime explorer les détails singuliers, à travers des reflets ou des lumières particulières, souvent proches de l’abstraction. En témoigne son premier livre, « Sightwalk ».

 Le Groupe RATP à l’international
Au-delà du réseau historique qu’il exploite en Ile-de-France, le Groupe RATP exporte ses savoir-faire en matière d’exploitation et de maintenance à travers le monde, via sa filiale RATP DEV. Celle-ci est aujourd’hui implantée dans 12 pays sur 4 continents, où elle assure l’exploitation et la maintenance de réseaux de transport urbain et interurbain (bus, métro, rail, tramway).

Contacts

  • servicedepresse@ratp.fr
  • clement.saccomani@magnumphotos.com
  • carole.bourriot@magnumphotos.com
  • karen.jonsson@magnumphotos.com

www.magnumphotos.com

www.ratp.fr

L’image par l’image conseille la RATP.

Parution du livre Wild style de Mazaccio & Drowilal, Résidence BMW

 

Les Éditions Trocadéro et BMW Art & Culture viennent de publier le livre WILD STYLE de Mazaccio & Drowilal, photographes lauréats de la Résidence BMW  2013.
En librairie à partir du 5 juin, le livre présente le projet qu’ils ont mené à bien lors de la résidence effectuéee au musée Nicéphore Niépce à l’automne 2013.
Wild Style est une étude anthropologique, iconographique, mais avant tout photographique, sur l’animal et ses représentations culturelles contemporaines.
Ces images troublantes et teintées d’humour montrent que la représentation de l’animal
et sa prolifération sur des supports variés parlent autant de notre rapport aux objets de consommation, à l’artefact et à la surface en général, que de notre rapport au sauvage.

Troisième ouvrage de la collection consacrée aux lauréats de la Résidence BMW, il est introduit par un texte de François Cheval, conservateur en chef du musée Nicéphore Niépce, et une présentation de Wild Style par Nicolas Heimendinger et Fani Morières, critiques et commissaires d’exposition.

 

« L’humour de ces images, leur caractère toujours séduisant et souvent ambigu doivent bien faire sentir que la perspective de Mazaccio & Drowilal n’est pas proprement critique : ils établissent plutôt une série de jeux et de connexions autour de ce constat, à l’ère du virtuel, d’une fusion totale […] entre le vivant et le consommable, entre l’étrange et le familier, entre le naturel et l’artificiel, entre la réalité et ses images. »commentent Nicolas Heimendinger et Fani Morières .

« L’art ne survient qu’après l’avoir renié. Sans cet acte de rupture, on se soumet à un ordre établi et on ne connaîtra jamais la lucidité. Finalement, il ne s’agit pas tant d’art et de photographie mais de s’opposer au sens commun, au spectacle facile et aux arrangements. L’appareil photographique n’est rien d’autre qu’un moyen d’exprimer son refus. Il est lui-même dans son essence rejet de l’art. Objet manufacturé, il se maîtrise aisément. Il devient le fidèle accompagnateur de celui qui aime par-dessus tout la clarté. » commente François Cheval

Ce livre accompagnera l’exposition « Wild Style », programmée cette année aux Rencontres d’Arles du 7 juillet au 7 septembre, ainsi qu’à Paris Photo du 13 au 16 novembre

Fiche technique :
Bilingue français et anglais
92 pages – 72 reproductions
Format : 200 x 256 mm
Relié couverture cartonnée, dos toilé
Prix de vente : 25 € TTC
Éditions Trocadéro
Distribution : Pollen Diffusion

Plus d’informations sur la Résidence BMW et le duo d’artistes https://chantal-nedjib.com/mazaccio-drowilal-laureat-2013-de-la-residence-bmw-au-musee-nicephore-niepce/

Contacts et demande de visuels :
mprangey@gmail.com
Maryse.Bataillard@partner.bmw.fr
jordane.de-tyssandier@bmw.fr
communication.niepce@chalonsursaone.fr
cnedjib@chantalnedjibconseil.com

L’image par l’image conseille BMW

Le Prix Swiss LIfe à 4 mains décerné à Julien Taylor et à Arthur Lavandier

 

Lauréats Prix Swiss Life et parrains@Alexandra Davy

 

La Fondation Swiss Life propose un soutien inédit en France à une création artistique croisée. La première édition du Prix Swiss Life à 4 mains  choisit ainsi comme lauréats le compositeur Arthur Lavandier et le photographe Julien Taylor.

En février dernier, douze experts du monde de la musique et de la photographie ont nominé, après une sélection rigoureuse, les candidats pour le Prix Swiss Life à 4 mains. Inspiré par le thème « Chagall et la musique », ce prix entre en résonance avec l’exposition présentée en octobre 2015 au musée La Piscine à Roubaix et à la Cité de la Musique à Paris.

Les artistes ont imaginé en duo un projet à quatre mains. Tout au long de leur réflexion, ils ont bénéficié d’un accompagnement personnalisé pour élaborer leur projet croisé et des conseils de Mikhail Rudy, pianiste et porte-parole du Prix, qui fut proche de Marc Chagall dans les dernières années de sa vie.

Le jury du Prix Swiss Life à 4 mains, composé de professionnels de renom, a sélectionné ce mercredi 14 mai le projet présenté par Arthur Lavandier compositeur, parrainé par Bruno Messina, Directeur général et artistique du Festival Berlioz, et Julien Taylor photographe, parrainé par Marion Hislen, Présidente de Fetart et créatrice du Festival Circulation(s).

Arthur Lavandier @Alexandra Davy

 

Julien Taylor @Alexandra Davy

 

 

 

  

 

 

Les deux lauréats vont recevoir chacun une bourse de 20 000 euros pour créer en duo une œuvre qui sera présentée en octobre 2015 à Roubaix et à Paris dans le cadre de l’exposition « Chagall et la Musique ».
Un livre CD de la collection Les Musicales sera également édité par les Editions Actes Sud, à l’occasion des rencontres photographiques d’Arles 2015.
Le projet des lauréats s’appuie sur une des grandes sources d’inspiration de Marc Chagall : le Shtetl, village juif typique d’Europe de l’Est si présent dans l’œuvre du peintre. Ils ambitionnent de mettre en place un théâtre vivant avec son folklore imaginaire et onirique. Humour, joie et couleurs feront écho à la relation entre réel et imaginaire incarnée par la musique et l’image.

Pour Bruno Messina, parrain, ce projet permettra « de reprendre la tradition du dialogue des siècles derniers où musique, peinture, littérature se parlaient ».
(écouter un arrangement d’Arthur Lavandier http://vimeo.com/62148715 et aller voir l’ image animée de Julien Taylor    http://julientaylor.com/HELLYES/

"Hell, Yes !" @Julien Taylor

                                                  

Le jury a salué la qualité des duos nominés et a décerné une mention spéciale à Anne-Lise Broyer, photographe parrainée par Anne Biroleau, conservateur général à la BNF et à Mikel Urquiza parrainé par Françoise Thinat, fondatrice et directrice du Concours international de piano d’Orléans.

Jury Prix Swiss Life à 4 mains@Alexandra Davy

Le jury, présidé par Charles Relecom, président de Swiss Life France était composé de Guy Boyer, rédacteur en chef de Connaissance des arts, Bruno Gaudichon, conservateur du musée de la Piscine à Roubaix, David Lively, directeur de l’Ecole nationale supérieure de musique, Mouna Mekouar, Commissaire d’exposition (Palais de Tokyo, centre Pompidou Metz), Benoit Rivero, éditeur Actes Sud, Thomas Schlesser, historien de l’art, directeur de la Fondation Hartung Bergman, Olivier Tcherniak, vice-président de l’Admical, Eric de Visscher, conservateur de la Cite de la musique.

Les autres candidats nominés étaient :

– Mikel Urquiza sélectionné par Françoise Thinat, Fondatrice et directrice du Concours international de piano d’Orléans et Anne-Lise Broyer sélectionnée par Anne Biroleau-Lemagny, Conservateur général à la BNF, département des estampes

– Arthur Lavandier sélectionné par Bruno Messina, Directeur général et artistique du Festival Berlioz et Julien Taylor sélectionné par Marion Hislen, Présidente de Fetart et créatrice du festival Circulation(s)

– Olivier Mellano sélectionné par Isabelle Gaudefroy, Directrice artistique de la Fondation Cartier et Richard Dumas Sélectionné par Christian Caujolle, Directeur artistique de la Galerie VU

– Nicolas Worms sélectionné par Adrian McDonnell, Directeur artistique de l’orchestre de la Cité internationale universitaire de Paris et Laurence Leblanc sélectionnée par Vincent Marcilhacy, Directeur de la publication The Eyes

– Michel Petrossian sélectionné par Isabelle Duha, Pianiste et professeure d’harmonie au CNSMDP et Jean-François Spricigo sélectionné par Françoise Docquiert, Directrice du département Arts et Sciences de l’Art de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne

– Jean-Baptise Doulcet sélectionné par : Heather De Haes, Fondatrice et présidente de Foundation Arts Global Et Illes Sarkantyu sélectionné par : Audrey Bazin, Historienne de l’art et co-directrice de La Galerie particulière.

Suivez l’actualité du Prix Swiss Life à 4 mains
https://www.facebook.com/Prix.Swiss.Life.4mains

http://www.swisslife.fr/Fondation/Swiss-Life-a-4-mains

Contacts
Sophie Lhuillier – 01 58 65 20 19 – slhuillier@hopscotchcapital.fr
Violaine Danet – 01 58 65 00 77 – vdanet@hopscotchcapital.fr
Anne-Marie Lasry Weiller, directrice – annemarielasry@swisslife.fr
Anne Pizet – 01 46 17 22 36 – anne.pizet@swisslife.fr
L’image par l’image conseille la Fondation Swiss Life

 

Coup d’envoi du Prix Swiss Life à 4 mains : Photographie et musique

 La Fondation Swiss Life vient de donner le coup d’envoi d’une compétition  hors norme « le Prix Swiss Life à 4 mains » pour encourager la création artistique, le thème choisi est « Chagall et la Musique ».

Six musiciens et six photographes, nominés pour ce Prix,  viennent ainsi de se coopter pour participer à cette aventure inédite et défendre en duo un projet d’œuvre commune alliant photo et musique. Ils concourent ainsi pour une création photo musique inspirée par « Chagall et la musique « 

Nominés, à titre individuel, après une sélection exigeante par douze professionnels de leur discipline, les artistes ont dû constituer leur tandem en un minimum de temps et bâtir leur projet à 4 mains. Ils ont ensuite été réunis pour bénéficier des conseils d’un proche de Marc Chagall, le pianiste Mikhaïl Rudy, qui a lui-même collaboré à plusieurs reprises à des évènements réunissant musique et image.

L’équipe gagnante du « Prix Swiss Life à 4 Mains  » sera désignée lors de la finale qui se tiendra le 14 mai prochain : le duo disposera de neuf mois pour réaliser sa co-création. L’œuvre commune sera présentée à l’occasion de deux expositions sur « Chagall et la musique » en octobre 2015, au musée La Piscine à Roubaix et à la Cité de la Musique à Paris, ainsi que dans un livre CD édité par Actes Sud à l’occasion des rencontres photographiques d’Arles.

Les six duos vont défendre des projets d’inspirations très différentes à retrouver sur le site www.swisslife.fr/Fondation/Swiss-Life-a-4-mains

Mikel Urquiza, musicien  sélectionné par Françoise Thinat et Anne Lise Broyer, photographe sélectionnée par Anne Biroleau
Arthur Lavandier, musicien sélectionné par Bruno Messina et Julien Taylor, photographe sélectionné par Marion Hislen
Olivier Mellano,
musicien sélectionné par Isabelle Gaudefroy et Richard Dumas, photographe sélectionné par Christian Caujolle
Nicolas Worms,
musicien sélectionné par Adrian McDonnell et Laurence Leblanc, photographe sélectioné par Vincent Marcilhacy
Michel Petrossian, musicien sélectionné par Isabelle Duha et Jean -François Spricigo, photographe sélectionné par Françoise Docquiert
Jean-Baptiste Doulcet, musicien sélectionné par Heather de Hass et Illes Sarkantyu, photographe sélectionnée par Audrey Bazin

Contacts
Fondation Swiss Life
Anne-Marie Lasry Weiller annemarielasry@swisslife.fr
Anne Pizet anne.pizet@swisslife.fr
Hopscotch Capital

 Sophie Lhuillier  slhuillier@hopscotchcapital.fr

 https://www.facebook.com/Prix.Swiss.Life.4mains

L’image par l’image conseille la Fondation Swiss Life


 Mikhaïl Rudy a créé un « concert scénique », un récital illustré par un film d’animation, sur le plafond de l’Opéra de Paris. Autre co-création : il a participé avec le plasticien Philippe Parreno à l’exposition « Anywhere out of the world » qui réunissait jeux de lumière, films et musique au Palais de Tokyo.

 

 

 

Carte blanche PMU au BAL : Ils pensent déjà que je suis folle!

 Le BAL expose les images réalisées par Kourtney Roy dans le cadre de la Carte blanche PMU 2013, du 30 avril au 11 mai 2014.
L’exposition est accompagné d’un livre « Ils pensent déjà que je suis folle » aux éditions Filigranes accompagné d’un texte de Thomas Clerc, Off Course.

Les images sélectionnée suite au concours « Avoir la main, le jeu, le sport et vous  » lancé par Wipplay.com et Le BAL  auprès de tous les passionnés d’images seront présentés dans le premier espace d’exposition du BAL (clin d’oeil 6 janvier)

 

Benoit Cornu, directeur de la communication du PMU commente ainsi l’engagement du PMU envers la photographie et la création contemporaine depuis 2009 :
« Avec la Carte blanche, le PMU et LE BAL donnent à de jeunes artistes la possibilité d’apporter un regard nouveau et libre sur un univers qui leur était a priori étranger. Après Malik Nejmi, Mohamed Bourouissa et Olivier Cablat, ce pari est une nouvelle fois gagné avec Kourtney Roy.
En se mettant en scène dans ses images, Kourtney Roy se moque sans doute un peu d’elle-même et des autres, mais rend finalement un joli hommage au monde qui l’entoure. Cette quatrième édition de la Carte blanche PMU, conçue avec LE BAL, nous a donné l’occasion de réunir un jury prestigieux, dont le regard exigeant nous permet d’affirmer un peu plus notre engagement dans la photographie et la création contemporaine et d’ouvrir l’entreprise à de nouveaux territoires d’exploration. »

 Diane Dufour directrice du BAL, commente ainsi « les mille et une vies de Kourtney Roy »:

« Il y a dans le regard de Kourtney Roy un humour glacé où l’ordinaire et le grotesque se mêlent à parts égales sans qu’on puisse discerner qui des deux mène la danse. Une danse troublante tant elle nous emporte dans un univers a priori narcissique qui tend pourtant vers l’anonyme.
Née en 1981 d’un pére bucheron et d’une mére secrétaire, Kourtney Roy a grandi dans la démesure et la solitude des immensités enneigées du Canada. Des paysages sublimes mais menaçants où, enfant, il est facile de se perdre. Après des études aux Beaux-Arts de Vancouver où elle se rêve peintre, elle découvre la photographie qui «par son potentiel fantastique, suggérait une réalité plus trouble, derrière la façade lisse des apparences.»

Touchée par le génie morbide de Joël-Peter Witkin, ses premières séries représentent des animaux sauvages trouvés morts dans la nature ou empaillés par l’homme.

Son apprentissage de la photographie de mode, sur les traces d’un Guy Bourdin et de ses mises en scène obsessionnelles et fantasmagoriques, lui ouvre un champ illimité. Autoportrait, autofiction, Kourtney Roy devient le personnage unique d’un théatreintérieur et de ses sortiléges. Son corps, artificiellement placé dans un décor naturel, se prêtera à toutes les énigmes, à mille et une vies travesties, falsifiées. « Je est un autre », tous les autres. Laura Palmer déclinée à l’infini.

Pour cette immersion dans l’univers du PMU, Kourtney Roy s’est imprégnée des mots de Charles Bukowski et de son obsession des champs de courses. Se détournant du spectacle où se concentre toute l’attention, elle infiltre plutôt les coulisses. Leur décor sans qualité est plus propice à l’improbable. Son corps s’incruste ainsi dans un univers où chaque chose peut être autre chose et n’importe qui quelqu’un d’autre. Où les objets, plantes vertes, accoudoirs, jumelles…. ont pris le pouvoir. Ils dominent la scène, tour à tour menaçants, envahissants, trop brillants ou trop muets.

Dans ses photographies, Kourtney Roy semble présente au monde mais absente à elle-même. Le pourquoi de ces postures incongrues, de ces regards vides est ailleurs, hors champs, nous laissant aux prises avec une violence silencieuse et cachée. Car ce corps-objet semble le plus souvent éteint, débranché, englouti, avalé. Impeccablement sculpté, il tend pourtant vers le camouflage, la soustraction, le retranchement, orchestrant scrupuleusement sa propre disparition.
Quand on demande à Kourtney Roy si ces personnages lui ressemblent, elle répond : « ils sont devenus « moi » et moi je suis devenue « eux ».

Biographie de Kourtney Roy

Née en 1981 en Ontario (Canada) où elle a grandi, Kourtney Roy effectue des études de Beaux-Arts à Vancouver. A la frontière de l’art et de la mode, son travail montre les influences croisées entre ces deux mondes. Elle explore, dans son travail, les aspects sublimes et étranges de la vie du quotidien, dans des mises en scènes teintées de mystère.
Kourtney Roy a été lauréate de plusieurs prix : Prix Picto en 2007, Screenings award à Berlin en 2008, Emiliy Award à Vancouver en 2012.
Son travail est exposé pour la première fois en 2008, notamment à Arles, puis à Cabourg en 2010 et Shangai en 2011. En 2012, Kourtney Roy participe au festival Circulation(s) et est exposée à la galerie Hug ainsi qu’au festival de Vevey en Suisse. Elle a réalisé également une série inédite sur Deauville dans le cadre du festival Planches Contact, et a participé au Head On Photo Festival à Sydney en 2013.

Jury de la Carte blanche PMU 2013

 Philippe Germond, Président Directeur Général du PMU, Benoit Cornu, Directeur de la Communication du PMU, Mohamed Bourouissa, Artiste – Lauréat de la Carte blanche PMU 2011, Stéphane Couturier, Photographe, Diane Dufour, Directrice du BAL, Nicolas Ferrand, Collectionneur, fondateur du Quotidien de l’Art, Emmanuel Fessy, Directeur des Etudes de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts décoratifs, Jean de Loisy, Président du Palais de Tokyo.

Le PMU, opérateur de paris hippiques, sportifs et de poker, a souhaité s’associer dès 2009 à la création du BAL, lieu d’exposition dédié à l’image-document, installé dans ce qui fut le plus grand PMU de France jusqu’en 1992.

 http://www.pmu.fr/entreprise/le-mecenat.html
www.filigranes.com

www.le-bal.fr

L’image par l’image conseille le PMU