Joel Meyerowitz présente Immersion à La Piscine

Joel MeyerowitzThe Elements: Air/Water 07, 2006 © Joel Meyerowitz

La Piscine, musée d’art et d’industrie André Diligent de Roubaix, et la Fondation Swiss Life présentent l’exposition Immersion et Visions, du photographe américain Joel Meyerowitz du 8 novembre 2014  au 8 février 2015. Continuer la lecture

LA RATP invite Garry Winogrand

New York World’s Fair 1964 Garry Winogrand Tirage gélatino-argentique. San Francisco Museum of Modern Art, gift of Dr. L. F. Peede, Jr. © The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco. Photo : Don Ross

Partenaire du Jeu de Paume, la RATP accompagne la rétrospective photographique «Garry Winogrand» par l’exposition « La RATP invite Garry Winogrand  » dans 16 stations et gares de son réseau, du 14 octobre 2014 au 8 février 2015.

Chroniqueur de l’Amérique de l’après-guerre, Winogrand est encore mal connu, tant il a laissé de travail à accomplir au moment de sa mort prématurée . Il est cependant sans conteste l ’un des maîtres de la photographie de rue américaine, au même titre que Walker Evans, Robert Frank, Lee Friedlander ou William Klein.

 

Los Angeles 1980–1983 Garry Winogrand Épreuve gélatino-argentique. Garry Winogrand Archive, Center for Creative Photography, The University of Arizona. © The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco

Célèbre pour ses photographies de New York et de la vie aux États-Unis depuis les années 1950 jusqu’au début de la décennie 1980, Winogrand cherche à « découvrir à quoi ressemblent les choses une fois photographiées ». Organisée conjointement par le SFMOMA et la National Gallery of Art de Washington, l’exposition « Garry Winogrand » réunit les images les plus emblématiques de l’artiste et des tirages inédits puisés dans les archives, en grande partie inexplorées jusqu’ici, de la fin de sa vie afin d’offrir une vue d’ensemble rigoureuse de son parcours et, pour la première fois, d’embrasser la totalité de sa carrière.

 

 

 

La RATP offre ainsi un véritable complément au parcours proposé par le Jeu de Paume dans sa rétrospective, en présentant 26 photographies de Garry Winogrand, dont certaines inédites. Reproduites plusieurs fois sur les réseaux, ce sont ainsi près de 300 images que les voyageurs peuvent découvrir pendant leur trajet.

En exposant ces photographies de rue dans ses espaces de transports,  la RATP invite le public à regarder la Ville autrement et à la découvrir dans toute sa richesse et sa diversité.

Les photographies sont exposées suivant deux types de dispositifs :

Du 14 au 27 octobre 2014, les images s’y déploient sous deux formats, 4×3 mètres sur les quais, et 2×1,50 mètres,  dans les couloirs des stations en occupant les cadres publicitaires, – stations Cité (ligne 4), Concorde (couloir de correspondance entre les lignes 1 et 8), Gare Montparnasse (ligne 13), Gare Saint-Lazare (ligne 12), Gare de Lyon (ligne 1), Gare de l’Est (ligne 5), Gare du Nord (ligne 4), Gare d’Austerlitz (ligne 5), Saint-Augustin (ligne 9)

Du 14 octobre 2014 au 8 février 2015, dans des espaces dorénavant toujours dédiés à la photographie;  les formats bénéficient d’une scénographie spécifique et de plus grande envergure (impression sur bâches grands formats, accrochage en hauteur, aux stations Bir Hakeim (ligne 6), Hôtel de Ville (ligne 1), La Chapelle (ligne 2), Jaurès (sous le viaduc ligne 2), Saint-Denis Porte de Paris (ligne 13), Saint-Michel (ligne 4), et à la gare Luxembourg (RER B)

 

 

 

« La RATP invite… », initiative lancée en octobre 2013, est devenue un rendez-vous régulier illustrant le nouveau souffle que l’entreprise a donné à sa politique culturelle à travers la photographie. L’entreprise s’est engagée à inviter régulièrement des photographes – des jeunes talents ou des artistes de renom – et mettre ainsi à l’honneur leur travail en investissant massivement les espaces de transport.
Grâce à la photographie, art de proximité et forme d’expression artistique accessible au plus grand nombre, la RATP souhaite renforcer ses échanges avec ses publics, en donnant une plus grande envergure à la politique d’animation et d’aménagement de ses espaces.
Tout au long de l’année, la RATP organise sur ses réseaux des animations, culturelles et sportives. Elle offre ainsi à ses voyageurs des moments de détente, de surprises, de découvertes et d’échanges… concrétisant ainsi son ambition de faire « Aimer la Ville » au plus grand nombre.

La rétrospective au Jeu de Paume bénéficie du mécénat de Neuflize Vie et de la Manufacture Jaeger-LeCoultre. Elle est organisée par le San Francisco Museum of Modern Art et la National Gallery of Art, Washington.

Contacts :
servicedepresse@ratp.fr

laurencegillion@jeudepaume.org

l’image par l’image conseille la RATP

 

 

Carte blanche à Maud Bernos

Bertrand de Broc, Sainte- Marine 2013
©Maud Bernos

Maud Bernos est une passionnée et elle aime les gens. Photographe free-lance, autodidacte, sans amarres, sans cesse en voyage et en mouvement, Maud Bernos est surtout attachée à la liberté. Ses images sont liées à sa vie, elle veut refléter l’âme des gens qu’elle rencontre et fixe avec son objectif.

Des reportages aériens sur de jeunes sportifs, des portraits sans artifices, des paysages nocturnes suspendus et silencieux : quel que soit le propos, Maud voyage avec ses sujets. Elle joue avec le temps, les vitesses, le rythme. Dans son travail, le personnel et le professionnel s’entremêlent. Chaque image fait partie d’un « tout ».

Cette jeune photographe qui se présente comme une «douce rêveuse »  est une battante déterminée. Elle a réussi à convaincre dix huit des vingt marins du Vendée Globe, ces « héros modernes » de nous montrer leurs visages de « durs rêveurs » et ne désespère pas d’attirer les deux autres.  L’image par l’image a été touchée par ces portraits très émouvants et par le regard bienveillant qu’elle porte sur eux.

 

 

Nul doute que vous allez avoir envie de voir la série Blue eyes dont sont tirées ces image, en entier. Souhaitons- lui de pouvoir éditer le livre dont elle rêve et de monter l’exposition de ces portraits, avant de repartir suivre d’autres figures mythiques sur les mers.

Maud Bernos a répondu aux questions de l’image par l’image :

Comment choisissez vous vos thèmes photographiques, vos sujets ?

Mes émotions et mes états d’âme sont mes guides principaux. Mes images reflètent ce que je vis profondément, c’est une façon de m’exprimer. Je me lance des défis comme celui qui m’a conduit à faire chaque jour une photo pendant trois mois et de les légender, et de constater qu’elles étaient toutes prises de nuit en extérieur. J’ai aussi besoin d’une dimension ludique quand je travaille avec des sujets, comme pour la série sur l’amitié débutée en 2007 ou celle pour laquelle j’ai demandé à toutes les personnes qui m’entouraient de porter une perruque blonde afin de traduire leurs réactions à leur nouveau visage. Ces images restent encore dans mon espace personnel, j’en ai montré certaines mais elles n’ont été ni publiées, ni exposées.

Quelle relation voyez-vous  entre les marques et la photographie ?

La photographie est plus que primordiale pour les grandes Marques, elle est hyper puissante.  Il me semble fou de constater à quel point nous pouvons nous sentir proches de Marques que nous n’avons approchées que par les images de leurs campagnes de publicité. Des Marques telles que celles de Louis Vuitton ou Marc Jacobs pour rester dans le domaine du luxe et de la mode sont intimement associées à la photographie et plus encore à certains photographes comme Annie Leibovitz et Jurgen Teller qui ont donné une couleur et un style très spécifique à leurs univers.

Seriez-vous prêt à travailler pour des marques sous forme d’une commande et quel serait alors votre enjeu ?

J’adorerai ! Quelle jouissance ce serait pour moi d’être guidée par une Marque et d’avoir des codes à respecter. Cela peut sembler étrange à certains artistes qui ne rêvent que de liberté, moi je ressens aujourd’hui un immense besoin d’être épaulée. Je serai très amusée d’avoir à répondre à un cahier des charges et de ne plus être seule face à mes sujets  Et puis quel rêve de participer à la représentation d’une Marque et d’y être associée .

Maud Bernos
© Catherine Foussat

 

A Après une enfance passée entre Avignon, Dakar, Alger, Lyon, Aix en Provence puis Barcelone, Maud Bernos pose son sac à Paris, mais n’arrête pas de bouger pour autant. À 39 ans elle a eu 40 adresses.

Formée à l’IUT métiers du livre, elle évolue dans le milieu de l’édition et se lance plus tard dans la photo. Elle fait ses premières séances au Studio Le Petit Oiseau Va Sortir à Paris puis devient l’assistante de différents photographes tels que Claude Gassian, Julien Oppenheim et Véronique Vial. Elle consolide régulièrement sa formation par des workshops avec entre autres les photographes Antoine d’Agata et Todd Hido.

Maud se forme dans les contrastes : des librairies au Festival de Cannes …du monde de la nuit aux portraits de personnalités, son parcours se construit dans la diversité.

Elle obtient le coup de Coeur de la Bourse du Talent dans la catégorie « Portrait » avec sa série Désamour. En 2014, lauréate du prix SFR Jeunes Talents, elle est exposée aux Rencontres Photographiques d’Arles avec sa série BLUE EYES, Portraits de Navigateurs. Cette série sera visible du 10 septembre  au 2 novembre, Gare Saint Sauveur à Lille 3000,  puis au Festival Barrobjectif à Barro,  du 20 septembre au 28 septembre et ensuite à Paris, Galerie One Step  du 24 novembre au 30 novembre 2014.

Maud travaille avec différents supports : presse (Télérama, Le Monde, Le journal du Rugby, Les Inrockuptibles), maisons de disque (EMI, Sony), production cinématographique (SND/M6),  fondations (Peace & Sport), marques (De Bonne Facture)

www.maudbernos.com

 

Natasha Caruana, lauréate 2014 de la Résidence BMW au musée Nicéphore Niépce

©Natasha Caruana (Detective)2

Natasha Caruana est la quatrième lauréate depuis la création de la Résidence BMW en 2011. Elle a été choisie après examen de 65 dossiers de candidatures, par un comité de sélection présidé par BMW et constitué de personnalités du monde de la photographie lauréate 2014 de la « Résidence BMW au musée Nicéphore Niépce ».

Le jury a été séduit par l’approche très actuelle de la photographe, et le regard qu’elle pose sur l’impact des nouvelles technologies dans les relations sociales et amoureuses. Son travail basé sur la rencontre avec des anonymes lui permet d’exprimer le point de vue très « féminin » et novateur qu’elle revendique.

Natasha Caruana bénéficiera d’une bourse de 6 000 , du financement de son hébergement pendant trois mois au musée Nicéphore Niépce à l’automne 2014 à Chalon-sur-Saône et de la production d’une exposition présentée aux Rencontres d’Arles et à Paris Photo en 2015.

Sous la direction de François Cheval, conservateur en chef du musée et avec l’aide technique du laboratoire du musée, l’artiste aura ainsi les moyens d’approfondir sa démarche et d’explorer de nouveaux champs de réflexion. Le travail réalisé en résidence sera également édité dans un livre de la collection BMW Art & Culture aux Editions Trocadéro.

Natasha Caruana©Sarah Howe

 

Natasha Caruana est une artiste de nationalité anglaise. Née en 1983, elle a fait ses études au Royal College of Art de Londres. Son travail de recherche mené autour de l’amour, de la trahison et des fantasmes a déjà été montré à l’international et fait l’objet de publications et d’acquisitions par des collectionneurs.

 

L’artiste utilise la photographie comme un moyen pour décrire les relations entre les membres d’une communauté qu’elle observe à la manière d’un ethnographe. Ses photographies relèvent à la fois de l’ethnographie et de la performance. Ses images ne s’attachent pas à décrire un lieu ou des sujets spécifiques, elles sont plutôt un mode d’écriture qui lui permet de semer le trouble entre le réel et la représentation.

 

©Natasha Caruana(Detective)

« Les mots me manquent pour exprimer à quel point je suis impatiente de me consacrer entièrement pendant 3 mois, à mon travail artistique avec le soutien de François et de toute l’équipe du musée. Je veux aussi remercier mon employeur, l’University of the Creative Arts, de m’octroyer ce temps de recherche. Cette résidence va me permettre d’explorer de nouveaux territoires grâce au soutien de BMW et à l’expertise technique et artistique du musée. J’ai toujours été fascinée par les documents d’archives, je suis donc ravie de pouvoir travailler à partir du fonds expérimental de la collection du musée Nicéphore Niépce.

Mon projet, pendant cette résidence, est d’orienter ma pratique photographique et sa présentation vers de nouveaux domaines, en utilisant la photographie comme médium pour favoriser des débats sur l’influence des technologies dans nos relations quotidiennes » a commenté la nouvelle lauréate à l’annonce de ce choix. »

 

En finançant cette résidence au musée Nicéphore Niépce et en donnant carte blanche à l’artiste, BMW confirme son engagement culturel et plus particulièrement son soutien à la photographie contemporaine. Cette action de mécénat vise ainsi à encourager à la fois la création artistique, sa diffusion et son partage avec le plus grand nombre. Des mécènes engagés dans la création photographique contemporaine BMW soutient depuis plus de quarante ans la création contemporaine, depuis plus onze ans la photographie et pour la cinquième année les Rencontres d’Arles. BMW Group a lancé et accompagné plus de 100 projets culturels dans le monde. L’entreprise a pris le parti d’accompagner la photographie en tant que médium original et spécifique, une invention fondatrice de la modernité au même titre que l’automobile, un médium esthétique en harmonie avec les valeurs de la marque.

Cette action s’inscrit dans la politique menée par l’entreprise depuis 2003, qui se manifeste par ailleurs par les partenariats avec les Rencontres d’Arles et Paris Photo.
Musée généraliste de la photographie, le musée Nicéphore Niépce, à Chalon-sur-Saône, propose d’expliquer tous les ressorts de cette pratique, depuis ses origines jusqu’à nos jours. Des héliographies aux premières photographies en couleur, du daguerréotype au ferrotype, de l’argentique au numérique, du pictorialisme à l’humanisme français des années 1950, de la photographie de rue à celle de studio, le musée couvre tous les champs du « photographique ».

Serge Naudin, Président du Directoire de BMW Group France, commente ainsi ces engagements :
«La réussite des trois premières éditions de la Résidence BMW avec Alexandra Catiere, Marion Gronier et Mazaccio&Drowilal, nous encourage dans notre volonté d’accompagner la photographie, cet art fondamentalement en harmonie avec les valeurs de notre marque. La diversité à laquelle nous sommes attachés dans le choix de nos lauréats se confirme encore cette année. Nous sommes impatients de découvrir le projet de Natasha Caruana qui allie un sens de l’humour très féminin à une réflexion profonde sur norelations quotidiennes. La Résidence 2014 promet d’être riche en questionnement et émotions».

Comité de sélection : François Cheval, conservateur en chef du musée Nicéphore Niépce, François Hébel, directeur des Rencontres d’Arles, Julien Frydman, directeur de Paris Photo, Chantal Nedjib, conseil en communication et Patrick de Carolis, membre de l’Institut

Contacts
Maryse.Bataillard@partner.bmw.fr
jordane.de-tyssandier@bmw.fr
communication.niepce@chalonsursaone.fr
cnedjib@chantalnedjibconseil.com

L’image par l’image conseille BMW

 

Léa Habourdin et Thibault Brunet, lauréats de la « Carte blanche PMU » 2014

Le PMU et LE BAL ont annoncé les lauréats de la Carte blanche PMU 2014 .

Les Survivalistes© Léa Habourdin

 

 

Sur 90 dossiers de candidature reçus, 6 finalistes avaient été pré-sélectionnés pour la qualité de leur projet : Brigitte Bauer, Jean-François Delcourt, Chassari & Belarbi, David Favrod, Matthieu Raffard et le tandem Léa Habourdin et Thibaut Brunet.

Le jury réuni le 16 juin a été séduit par le projet de Léa Habourdin et Thibault Brunet.

Leur travail sera exposé au BAL du 14 au 25 janvier 2015 et fera l’objet d’une publication aux éditions Filigranes.

© Thibault Brunet – Typologie du virtuel

Léa Habourdin et Thibault Brunet décrivent ainsi leur projet commun : « Bien qu’il ait toujours fait partie de notre paysage, l’univers du PMU est lointain pour les novices que nous sommes. Nous en avons cependant quelques images mentales glanées au fil des années : lieux enfumés où évoluent des adultes affairés, journaux, séries de lettres et de chiffres incompréhensibles, noms de chevaux sonnant à nos oreilles comme des aphorismes abstraits. C’est à partir de cette profusion d’images mentales que nous avons choisi de travailler en plaçant plusieurs écrans entre nous et notre sujet (imagerie 3D, pièges photographiques, jeux vidéos…), cherchant plus la métaphore et l’onirisme que la réalité documentaire ».

Léa Habourdin a grandi dans le nord de la France et a étudié l’estampe et le dessin à l’Ecole Supérieure d’Art et Industries Graphiques ESTIENNE à Paris puis la photographie à l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles. Elle observe la condition humaine par le prisme d’une approche scientifique mêlée à l’observation de l’intime. En 2011, la série « Cahier de doléances », exposée lors des rencontres d’Arles, a reçu le prix du jury des Boutographies et la Bourse du Talent décernée à la BNF. En 2013, son travail « Preuves objectives I : notes sur l’attraction » est présenté pour la première fois au Lianzhou Foto Festival en Chine. 2014 s’ouvre par une exposition personnelle à Berlin.

Thibault Brunet est titulaire d’un Master de l’Ecole Supérieure des beaux-arts de Nîmes. En 2008, la première série de photographies qu’il réalise dans un jeu vidéo, Vice City, intègre l’exposition internationale itinérante reGeneration 2 : Photographes de demain, au musée de l’Elysée de Lausanne. En 2012, son travail dans les univers virtuels est sélectionné simultanément pour les Mois de la Photo à Paris, Berlin, Vienne et, en mars, il fait partie des 5 finalistes du prix de la Fondation Aperture à New York. Récemment, ses dernières séries, First person shooter et Landscapes, ont été sélectionnées parmi les Talents FOAM 2013 et présentées dans le cadre de la 12ème biennale de Lyon. En 2014, il participe à la mission photographique France(s) Territoire liquide exposée au Tri Postal à Lille.

Le jury de la « Carte blanche PMU 2014 »réuni le 16 juin, a été séduit par le projet de Léa Habourdin et Thibault Brunet.
Il était composé de: Paula Aisemberg, Directrice de la Maison Rouge, Jacqueline d’Amécourt, Présidente du Comité d’honneur du IACCCA (International Association of Corporate Collections of Contemporary Art), Valérie Belin, artiste, Clément Chéroux, Conservateur au Centre Pompidou – Chef du cabinet de photographie, Diane Dufour, Directrice du BAL, Nicolas Ferrand, collectionneur, Fondateur du Quotidien de l’Art, Malik Nejmi, photographe, lauréat Carte blanche PMU 2010, Benoît Cornu, Directeur de la communication du PMU et Philippe Germond, Président Directeur Général du PMU

 La Carte blanche PMU
Le PMU témoigne de son engagement en faveur de la création photographique contemporaine en s’associant au BAL pour donner carte blanche à de jeunes photographes afin de leur permettre de porter leur regard sur l’univers des jeux et paris.
Pour la cinquième année consécutive, le PMU et LE BAL ont lancé un appel à candidature, ouvert à tout photographe professionnel. Le photographe sélectionné bénéficie d’une dotation de 20 000 euros pour la réalisation d’un projet inédit, d’une exposition au BAL et d’une publication aux éditions Filigranes.

Contacts:
paolo.antonio@pmu.fr
francoise.vogt@pmu.fr
devaine@le-bal.fr

www.carteblanchepmu.fr
www.le-bal.fr


http://www.leahabourdin.com/

http://thibaultbrunet.fr/

l’image par l’image conseille le PMU