Coup de foudre ! Natasha Caruana lauréate de la Résidence BMW expose aux Rencontres d’Arles

BMW Art & Culture partenaire des Rencontres de la Photographie à Arles pour la sixième année consécutive  présente “Coup de Foudre” de Natasha Caruana, lauréate 2014 de la Résidence BMW au musée Nicéphore Niépce.

Alchemy of the Sun © Natasha Caruana

Alchemy of the Sun
© Natasha Caruana

Natasha Caruana, jeune photographe anglaise expose durant les Rencontres d’Arles 2015, une étude photographique sur le coup de foudre amoureux.

La série intitulée « Coup de Foudre /At First Sight » s’inspire du vécu amoureux de la photographe. En 2014 elle rencontre un homme, ils se marient trois jours avant le début de sa résidence à Chalon sur Saône. Natasha Caruana part à la recherche de réponses sur ce phénomène inexpliqué qu’est l’amour au premier regard, « love at the first sight » en anglais et laisse son mari à Londres !

 

Elle propose un travail issu de récits de couples ayant eu un coup de foudre, associé à des expériences menées dans les domaines de la psychologie comportementale. Cette tentative de compréhension de la passion amoureuse mêle théâtralisation de l’instant, commentaire scientifique et illustration des facteurs influençant le coup de foudre.

I had to know © Natasha Caruana

I had to know
© Natasha Caruana

 

 

 

Beating #1 © Natasha Caruana

Beating #1
© Natasha Caruan

 

 

Par le biais d’un appel à témoin, l’artiste a demandé à une dizaine de couples et de célibataires de Chalon sur Saône ayant été touchés par un coup de foudre de revivre et de mimer les sensations ressenties lors de leur première rencontre.Ces photos sont accompagnées de graphiques du système de circulation sanguin décrivant la réaction du cœur au moment de l’impact et d’une documentation constituée à partir de sept expériences réalisées sur l’attirance. Les tests ont été recréés avec des étudiants en classe de sciences du collège Nicéphore Niépce.

 

Durant l’exposition, le public peut découvrir une vidéo réalisée par François Goizé sur les coulisses de la Résidence de Natasha Caruana à Chalon-sur-Saône, vidéo dont voici un extrait.

 

Coup de foudre de Natasha Caruana est présenté à Arles aux Rencontres de la Photographie, salle Henri Comte du 6 juillet au 31 août 2015.

Le commissariat général de l’exposition a été assuré par François Cheval, conservateur du musée Nicéphore Niépce et son équipe.

Natasha Caruana a également été choisie par Sam Stourdzé, Directeur des Rencontres de la Photographie d’Arles, pour présenter sa série « Fairytale for Sale ». Elle a revisité cette série photographique sous la forme d’un court métrage réalisé en collaboration avec la compositrice Emilie Levienaise-Farrouch.
Ce court métrage est projeté durant « La Nuit de l’Année » le 9 juillet aux Papeteries Étienne.

couverture Natasha caruanaLe livre Coup de foudre, publié par les éditions Trocadéro, est disponible sur place.

Préfacé d’un texte de François Cheval, conservateur en chef du musée Nicéphore Niépce, il rassemble l’intégralité de la série. Cet ouvrage propose un voyage amoureux à travers histoires personnelles et observations scientifiques et s’achève sur une annexe détaillant les résultats des sept expériences menées par Natasha Caruana et les lycéens du Collège Nicéphore Nièpce.

C’est le quatrième ouvrage de la collection BMW Art & Culture dédiée aux lauréats de la Résidence photographique au musée Nicéphore Niépce.
Bilingue français et anglais 88 pages-50 images. Format : 200x256mm. Prix : 29€ en librairie

 Extrait de l’introduction Serge Naudin, président du directoire BMW Group France :
 Coup de foudre ! Pouvons-nous espérer titre plus évocateur pour aborder la passion qui anime BMW que celui de l’étude photographique réalisée par Natasha Caruana et présentée à Arles.

Extrait de la préface de François Cheval, conservateur en chef du musée Niépce :
Natasha Caruana, reconduit les gestes, sinon les affectations de la culture théâtrale. Mais, cette naïveté n’est qu’apparente. Sous ces clichés répétés, dans des décors qui doivent tant au chromo, dans cet exercice inutile, peut se lire la recherche réjouissante du sentiment, un peu bête, parce que trop humain, du bonheur.

©Amandine Riou

©Amandine Riou

 Natasha Caruana est une photographe, vivant et travaillant à Londres, diplômée du Royal College of Art de Londres et enseignant la photographie à l’université des Arts créatifs de Farnham, Royaume-Uni.
Lauréate en 2014 de la Résidence BMW au musée Nicéphore Niépce, elle s’est inspirée de récits emprunts d’amour, de trahison et de fantasmes, de témoignages glanés sur internet, de sa vie personnelle et de dessins d’archives sur le sujet.
Son travail fait partie de nombreuses collections et a fait l’objet de nombreuses éditions photographiques. Natasha Caruana a exposé à Hijacked III: Contemporary Photography from Australia and the UK ; Narratives and Narrative Forms, Lianzhou Foto Festival, Chine ; The Social: Encountering Photography, The Sunderland Museum.
Elle a été nominée en 2014 au Prix Foam Paul Huf, désignée comme artiste à suivre par le Royal Photographic Society Journal et sélectionnée par la Humble Arts foundation parmi les dix-huit principales photographes féminines travaillant au Royaume-Uni.

 BMW soutient la photographie par un partenariat culturel inédit et ambitieux, sous forme d’une résidence d’artiste, avec le musée Nicéphore Niépce.
Initiée en 2011, la Résidence BMW est née du souhait commun du musée et de la marque de développer les pratiques photographiques contemporaines, « de l’envie partagée d’aller vers de nouveaux espaces de création » comme le souligne François Cheval, conservateur en chef du musée Nicéphore Niépce.

L’artiste bénéficie d’une bourse de 6 000 €, du financement de son hébergement à Chalon sur Saône, de la production d’un travail exposé aux Rencontres de la Photographie d’Arles et à Paris Photo, d’un film réalisé par François Goizé, et d’un livre publié aux éditions Trocadéro.

Le comité de sélection de la Résidence réunit des personnalités du monde de la photographie tels que François Cheval, déjà mentionné, Sam Stourdzé, directeur des Rencontres d’Arles, Christoph Wiesner, directeur artistique de Paris Photo, Damien Bachelot, collectionneur, Chantal Nedjib, présidente de l’image par l’Image, Maryse Bataillard, responsable du mécénat culturel BMW France.

Cette résidence vise à offrir un espace de libre expression, à accompagner la production artistique et à encourager l’émergence de talents en permettant à ses lauréats une visibilité exceptionnelle parmi les professionnels et les amoureux de la photographie.

BMW ET LA PHOTOGRAPHIE CONTEMPORAINE
BMW Group soutient depuis plus de 40 ans et à travers plus de 100 projets dans le monde la création et les arts contemporains, en ayant pour principe absolu de donner carte blanche aux artistes.
Serge Naudin, président du directoire de BMW Group France, souligne la similarité entre l’approche des photographes et des designers : « C’est avec la même liberté de création, la même attention et le même sens du détail et de l’esthétique que nos designers et nos ingénieurs conçoivent nos voitures en inventant chaque jour les innovations technologiques de demain. La recherche est alors sublimée pour donner libre cours à l’émotion. C’est naturellement que BMW s’est tournée vers la photographie ».

Contacts
maryse.bataillard@bmw.fr
mprangey@gmail.com
cnedjib@chantalnedjibconseil.com
emmanuelle.vieillard@chalonsursaone.fr

 

l’image par l’image conseille BMW 

 

 

 

 

La RATP invite les photographes des Rencontres d’Arles à Paris, station Cité du 7 au 27 juillet

Affiche les Rencontres d'Arles 2

 

 

 

 

 

Pendant deux semaines, la station Cité devient arlésienne !

Dans le cadre de sa politique culturelle, « La RATP invite les Photographes des Rencontres d’Arles », en exposant 17 œuvres photographiques de 17 artistes, du mardi 7 au mardi 21 juillet 2015 à la station Cité (ligne 4 du métro). Les images se déploient sur les cadres publicitaires des quais de la station, en format 4 x 3 mètres.

Par cette sélection unique, la RATP se fait un écho singulier des 35 expositions présentées lors de la 46e édition de ce festival incontournable dans le domaine de la Photographie programmée du 6 juillet au 20 septembre 2015.

Cette exposition est le 7ème rendez-vous de « La RATP invite », programme culturel lancé en octobre 2013 qui offre aux voyageurs des parcours artistiques inédits. Il permet notamment à la RATP de partager avec ses voyageurs la création photographique contemporaine. En s’associant cet été aux Rencontres de la Photographie d’Arles, la RATP ouvre ses espaces à l’actualité culturelle en région et offre une « échappée culturelle » à tous ses voyageurs franciliens et touristes, pendant leur trajet.

Le choix des images a été fait conjointement par la RATP et Sam Stourdzé, directeur des Rencontres de la Photographie d’Arles. Cette sélection témoigne de la pluralité et de la richesse de la programmation du festival, en jouant sur l’alternance des formats, des couleurs, des sujets, de la photographie ancienne et contemporaine, vernaculaire, avec des images suggérant plusieurs niveaux de lecture.

Photographies et artistes exposées dans le métro et à Arles :

02_Stephen Shore

© Stephen Sore

 

 

 

 

 

 

Stephen Shore, Ginger Shore, Causeway Inn, Tampa, Florida, 17 novembre 1977, Série Uncommon places – Exposition Stephen Shore

Las Vegas Studio, Banlieue américaine, vers 1968 – Exposition Las Vegas Studio

Toon Michiels

Toon Michiels

Toon Michiels, Motel Holiday, Las Vegas, Nevada – Exposition American Neons signs by day and night

Markus Brunetti, Reims, Cathédrale Notre-Dame, 2013-2014 – Exposition Façades

Martin Paar, Banquet d’investiture du maire de Todmorden, District de Calderdale, Angleterre, Série The Non-Conformists, 1975-1980 – Exposition MMM, Mathieu Chédid rencontre Martin Paar

Paul Ronald, Marcello Mastroianni – Exposition Fellini, 8 1⁄2 couleur
Sandro Miller, David Bailey / Mick Jagger, Fur Hood (1964), 2014 – Exposition Malkovich, Malkovich,

Malkovich : hommage aux maîtres de la Photographie

Eikoh Hosoe, Simmon : a private landscape, 1971 – Exposition Another Language, huit photographes japonais

Martin Gusinde, Chasseurs Selk’nam, 1919-1924 – Exposition L’esprit des hommes de la terre de feu

Paolo Woods et Gabriele Galimberti, Une homme flotte dans la piscine située au 57e étage du Marina Bay Sands Hotel. Derrière lui, le Panorama de “Central”, le quartier de la finance de Singapour – Exposition Les Paradis. Rapport annuel

Natasha Caruana, Alchimie du soleil – Exposition Coup de foudre

Alchemy of the Sun © Natasha Caruana

Alchemy of the Sun
© Natasha Caruana

 

 

 

 

 

 

 

Paolo Pellegrin et Alex Majoli, 2012, Congo – Exposition Congo

Thierry Bouët, Avion ailes hautes – Exposition Affaires privées

© Thierry Bouët

© Thierry BouëtThierry Bouët, Avion ailes hautes – Exposition Affaires privées

 

 

 

 

 

 

 

Trois séries de la collection Jean-Marie Donat – Exposition Vernaculaire ! Trois séries de la collection Jean –Marie Donat

Omar Victor Diop, El Moro, série Diaspora, 2014 – Dans le cadre du Prix découverte 2015 Delphine Chanet, Foodshark, 2012 – Dans le cadre du Prix découverte 2015

Alice Wielinga, Le temps des moissons, Corée du Nord, 2013 – Exposition Corée du Nord, une vie entre Propagande et Réalité.

©Alice Wielinga

©Alice Wielinga

 

 

 

 

 

 

Et toujours sur les réseaux RATP :
L’exposition « La RATP invite Bruce Gilden », dans 16 stations et gares, jusqu’au mois d’octobre 2015 
https://chantal-nedjib.com/carte-blanche-2/

« La RATP invite… », le rendez-vous phare de la programmation photographique de la RATP

« La RATP invite » est une initiative lancée par la RATP en octobre 2013 et devenue un rendez-vous régulier, illustrant le nouveau souffle que l’entreprise a donné à sa politique culturelle à travers la photographie. La RATP s’est engagée à inviter régulièrement des photographes – français ou étrangers, des jeunes talents ou des artistes de renom de différentes époques – et à mettre à l’honneur leur travail en le déployant massivement dans ses espaces. C’est ainsi qu’elle a décidé de mettre la lumière sur une photographie exigeante et diverse.

Depuis l’automne 2013, 6 éditions de « La RATP invite » se sont succédé. Ont ainsi été exposées les créations des photographes présentés à la biennale PHOTOQUAI (octobre – novembre 2013), au festival CIRCULATION(S) (février – juin 2014), les photographies de Garry Winogrand en partenariat avec le Jeu de Paume (octobre 2014 – février 2015) et celles de Harry Gruyaert en partenariat avec la Maison Européenne de la Photographie (avril – juin 2015).

Par ailleurs, pour les éditions estivales (juin-septembre), la RATP a donné une « carte blanche » à Gueorgui Pinkhassov (en 2014) puis à Bruce Gilden (en 2015), photographes de l’agence Magnum Photos, pour poser successivement leur regard personnel et artistique sur la mobilité urbaine dans des villes où le groupe RATP est implanté, en France et à l’étranger.

Grâce à la photographie, art de proximité et forme d’expression artistique accessible au plus grand nombre, la RATP souhaite renforcer ses échanges avec ses publics, en donnant une plus grande envergure à la politique d’animation et d’aménagement de ses espaces.

www.ratp.fr
servicedepresse@ratp.fr 

l’image par l’image conseille la RATP

Carte blanche à Stéphanie Foäche

Stéphanie Foache -IMG_3576Stéphanie Foäche a deux vies, sa vie professionnelle en entreprise qu’elle mène avec sérieux et maestria, et sa vie de photographe menée au gré de ses échappées. Mais qui dirait, à voir ses photos, que ce ne sont pas celles d’un professionnel?
Ce qui est sûr, c’est que ses images communiquent instantanément un sentiment de sérénité tel qu’il faudrait être fou pour s’en priver.
La photographe dit elle- même que « la photographie s’apparente à la fois à un moment de plaisir mais aussi de méditation ». Lors de ses escapades photographiques, elle change de rythme. A pieds, à ski, en scooter ou en voiture, c’est toujours au ralenti. Elle essaie de rentrer en osmose avec les atmosphères, de s’en imprégner, de prendre le temps de regarder, de sentir…Stéphanie Foäche cherche à capter l’esprit des lieux et leur calme  par opposition à l’instantanéité et au rythme effréné de la vie actuelle. La photographe nous invite ainsi à une réflexion sur le temps, son rythme, la façon dont il s’écoule, les traces et les empreintes qu’il laisse sur son passage.
Ses images simples et insolites montrent une beauté ordinaire. Son écriture marie à la fois l’émotion des instants, les couleurs, la lumière, la rigueur des lignes et du cadrage, elles créent des images artistiques à partir du réel.
A l’aube de 2015, l’image par l’image a été touchée par ces photographies et vous invite à partager un moment de sérénité. Espérons que vous aurez envie de vous installer dans la contemplation de ces images. Souhaitons à Stéphanie Foäche de pouvoir poursuivre ce travail par l’édition d’un livre, d’attirer l’attention d’une galerie et de continuer à nous livrer de belles émotions.

 

 

Stéphanie Foäche a répondu aux questions de l’image par l’image :

Quelles relations voyez vous entre les marques et la photographie ?
Les marques ont besoin de mots et d’images pour donner leur vision, expliquer qui elles sont et en quoi elles se différencient de leurs concurrentes, elles ont besoin de créer du désir et des émotions.
Les images comme les mots peuvent avoir beaucoup de force et d’impact si elles sont sincères. En cela, les photos peuvent jouer un très beau rôle…car elles créent un univers, elles peuvent concilier du suggéré et du mystère avec des éléments plus explicites…pour peu que l’auteur en ait envie.
Seriez- vous prête à travailler pour des marques ?
L’art et la communication d’une marque ne sont pas en opposition. Il s’agit de deux domaines distincts qui peuvent se nourrir l’un l’autre à condition que la marque respecte la liberté créative de l’artiste qui de son côté, dans le cadre d’une commande, doit intégrer les contraintes ou tout du moins le cadre fixé par l’entreprise.
C’est donc une affaire de dialogue, de respect et d’équilibre. Ce qui est intéressant dans le travail de commande, c’est la fameuse contrainte créative. Souvent la contrainte nous fait bouger, évoluer. Elle ouvre de nouvelles portes.
Le seul préalable est d’être en phase avec la marque et les valeurs qu’elle défend.
Par exemple, j’ai  signé, pour certaines de mes photos, un contrat avec l’agence de photographes Plainpicture mais je me suis assurée auparavant qu’elles ne pouvaient pas être vendues à un parti politique ou pour des illustrer des propos sectaires.
Pour moi, les photos doivent vivre et être vues mais elles ne doivent pas et ne peuvent pas être détournées de leur esprit initial.
Portrait SFoache IMG_1820
Stéphanie Foäche a passé 25 ans en entreprise comme professionnelle de la communication, elle est maintenant  responsable de ressources humaines.
Sa vie est toutefois double. Née dans une famille d’artistes, elle a toujours touché aux pastels, à l’aquarelle, au dessin et à la peinture ; à Istanbul, il y a une dizaine d’années, elle a senti le besoin de reprendre ses boitiers pour dialoguer avec les lieux. Depuis cette période, une envie viscérale de faire de la photographie et de le faire sérieusement lui a fait prendre des cours, suivre des stages à Arles, créer un site, faire des expositions.
Elle alterne ces deux vies, l’une trépidante dans l’entreprise et l’autre qui lui permet de regarder autrement et de respirer sous un rythme tout différent qui l’apaise et nous apaise aussi.
 http://www.stephaniefoache.fr

Carte blanche à Bruce Gilden dans le métro

BruceSubwayDu 23 juin à octobre 2015, « La RATP invite Bruce Gilden », photographe de l’agence Magnum Photos, et expose dans 16 stations et gares de son réseau des œuvres exclusives, un témoignage de son regard sur la mobilité urbaine dans cinq villes où le groupe RATP est implanté : Hong Kong, Johannesburg, Manchester, New York et Paris.

La « Carte Blanche » de la RATP signée Bruce Gilden porte un regard nouveau sur la plus ancienne des activités urbaines : le mouvement quotidien des passants dans la ville.

Le photographe commente ses prises de vue dans l’interview  ci dessous. L’image par l’image vous propose dans cette page une image par ville ainsi que les 40 images de la Carte Blanche, avec l’aimable autorisation de l’agence Magnum Photos. Vous pouvez les retrouvez tout l’été dans les stations du métro et à la Galerie Polka du 23 juin au 4 juillet 2015.

Voir la carte blanche

L’image par l’image conseille la RATP

La RATP invite Bruce Gilden, photographe de l’agence Magnum Photos, dans 16 stations et gares, du 23 juin à octobre 2015

HONG KONG. 2015.Du 23 juin à octobre 2015, La RATP INVITE BRUCE GILDEN, photographe de l’agence Magnum Photos, et expose dans 16 stations et gares de son réseau des œuvres exclusives, un témoignage de son regard sur la mobilité urbaine dans cinq villes où le groupe RATP est implanté : Hong Kong, Johannesburg, Manchester, New York et Paris.

Cette exposition est la deuxième « carte blanche » proposée par la RATP à un grand nom de la photographie, la première ayant été donnée à l’été 2014 à Gueorgui Pinkhassov.
Elle constitue le 6e rendez-vous de « La RATP invite », programme culturel lancé en octobre 2013 qui offre aux voyageurs des parcours artistiques inédits et de grande envergure au sein des espaces de transport. Son objectif : ouvrir et varier les horizons de ses 12 millions de voyageurs quotidiens.
Cet événement sera accompagné d’une exposition à la galerie POLKA, à Paris, du 23 juin au 4 juillet 2015.

SOUTH AFRICA. Johannesburg. 2015.

La mobilité urbaine, au cœur de la mission du groupe RATP

La RATP invite l’artiste photographe Bruce Gilden à porter son regard personnel et artistique sur le thème de la mobilité urbaine avec un angle international. A Johannesburg, Hong Kong, Manchester, New York et Paris, villes dans lesquelles le groupe RATP est présent au travers d’activités d’exploitation et de maintenance de réseaux de transports, le photographe nous livre son intime perception de la mobilité urbaine, au cœur de la mission et du développement de l’entreprise. Ces cinq villes, où le groupe RATP fait la preuve de ses compétences et de son expertise en matière de mobilité, portent l’ambition du groupe : devenir une entreprise de référence mondiale dans le domaine des transports urbains, mobilisée au service des 14 millions de voyageurs qu’il transporte quotidiennement dans le monde.

Bruce Gilden©Lewis Joly

Bruce Gilden©Lewis Joly

Bruce Gilden capture la mobilité urbaine

Né à Brooklyn, Bruce Gilden, membre de Magnum Photos, bat le pavé depuis plus de 40 ans en photographiant les gens qui l’interpellent. La rue est son terrain de prédilection, et son approche spontanée, pleine d’énergie, est à l’unisson du rythme de la ville.
Maître de la photographie de rue, B.Gilden bondit sur les passants avec son flash en les cadrant de façon inattendue et dévoile une partie de lui-même.
Guettant les passants de Hong Kong, Johannesburg, Manchester, New York et Paris, B.Gilden a produit des images qui lui ressemblent, photographiant comme il parle, sans ménagement mais toujours avec beaucoup de tendresse.

La « Carte Blanche » de la RATP signée B.Gilden porte un regard nouveau sur la plus ancienne des activités urbaines : le mouvement quotidien des passants dans la ville.

Bruce Gilden en parle
Paris : Bien que dans toutes les villes je photographie les passants de très près, à Paris la beauté du paysage historique transparaît dans chaque image.
New York
New York, c’est ma ville : c’est dans ses rues que ma photographie inspirée par l’architecture verticale a trouvé la source de son énergie, stimulée par le mouvement des passants pressés et indifférents.

Hong Kong: Je n’avais jamais été à Hong Kong. J’y ai réalisé mon film noir pour traduire l’idée romantique que j’avais de cette ville fabuleuse.
 Johannesburg
. Le centre de la ville est une véritable ruche. Entre le va-et-vient incessant des gens, la circulation et les enseignes des magasins, tout se mélange et se déverse en un flux harmonieux et élégant.

Manchester: L’artère principale de la ville est toujours animée. Je l’ai arpentée de long en large. Il y avait toujours la menace d’une averse, exactement comme je m’y attendais.


IMAGES DU PHOTOGRAPHE BRUCE GILDEN AFFICHEES SUR LES QUAIS DU METRO41 photographies inédites à découvrir en grand format dans les espaces de transport…

Du 23 juin jusqu’au mois d’octobre, la RATP expose 41 photographies inédites de Bruce Gilden réparties dans 16 stations et gares de son réseau. Chaque image étant reproduite sur plusieurs sites, ce sont près de 300 images que les voyageurs peuvent ainsi découvrir au cours de leur trajet.
D’une station à l’autre, les photographies sont présentées sous différents dispositifs scénographiques, tous de grand ampleur et de manière inédite dans un réseau de transport.

Du 23 juin à octobre 2015,  dans 6 stations de métro et 1 gare RER :
Bir Hakeim (ligne 6), Jaurès (L.2), Hôtel de Ville (L.1), La Chapelle (L.2), Saint-Michel (L.4), Saint Denis Porte de Paris (L.13), Luxembourg (RER B)
Ces stations et gare, aux architectures particulières, ont été choisies par la RATP dès 2013 pour devenir des lieux d’exposition photographique permanents, faisant ainsi se succéder les éditions de « La RATP invite ». Les images y sont déployées dans des scénographies spécifiques et de grande envergure – impression sur bâches grands formats, accrochage suspendu en hauteur, fresque monumentale…

Du 23 juin au 7 juillet 2015 , dans 9 stations de métro 
Alma Marceau (L.9), Belleville (L.11), Cité (L.4), La Motte-Picquet (L.8), Montparnasse (L.13), Nation (L.9), Place d’Italie (L.7), Saint Augustin (L.9), Saint Lazare (L.12).
Les images se déploient sur les cadres publicitaires de format 4 x 3 mètres, disposés sur les quais.

et à la Galerie Polka, 12 rue Saint-Gilles – Paris 3e, du 23 juin au 4 juillet 2015.h
L’exposition, également intitulée « La RATP invite Bruce Gilden », présente 17 photographies : 14 parallèlement présentées sur les réseaux RATP et 3 exclusives pour la galerie.
Accès à l’exposition : accès libre et gratuit du mardi au samedi de 11h à 19h30.

« La RATP invite… », le rendez-vous phare de la programmation photographique de la RATP

« La RATP invite » est une initiative lancée par la RATP en octobre 2013 et devenue un rendez-vous régulier, illustrant le nouveau souffle que l’entreprise a donné à sa politique culturelle à travers la photographie. La RATP s’est engagée à inviter régulièrement des photographes – français ou étrangers, des jeunes talents ou des artistes de renom de différentes époques – et à mettre à l’honneur leur travail en le déployant massivement dans ses espaces. C’est ainsi qu’elle a décidé de mettre la lumière sur une photographie exigeante et diverse.

Depuis l’automne 2013, 5 éditions de « La RATP invite » se sont succédé. Ont ainsi été exposées les créations des photographes présentés à la biennale PHOTOQUAI (octobre – novembre 2013), au festival CIRCULATION(S) (février – juin 2014), les photographies de Garry Winogrand en partenariat avec le Jeu de Paume (octobre 2014 – février 2015) et celles de Harry Gruyaert en partenariat avec la Maison Européenne de la Photographie (avril – juin 2015).

Par ailleurs, pour l’édition estivale 2014 (juin-septembre), la RATP a donné une « carte blanche » à Gueorgui Pinkhassov, photographe de l’agence Magnum Photos, pour poser son regard personnel et artistique sur la mobilité urbaine dans 5 villes où le groupe RATP est implanté (Casablanca, Florence, Londres, Paris, Séoul).

Grâce à la photographie, art de proximité et forme d’expression artistique accessible au plus grand nombre, la RATP souhaite renforcer ses échanges avec ses publics, en donnant une plus grande envergure à la politique d’animation et d’aménagement de ses espaces.

Le groupe RATP : une dimension internationale

Au-delà du réseau historique qu’il exploite en Ile-de-France, le groupe RATP exporte ses savoir-faire en matière d’exploitation et de maintenance à travers le monde, via sa filiale RATP DEV. Celle-ci est aujourd’hui implantée dans 14 pays sur 4 continents, où elle assure l’exploitation et la maintenance de réseaux de transport urbain et interurbain (bus, métro, rail, tramway). Elle assure la mobilité de 14 millions de voyageurs chaque jour en France et dans le monde.

  •  A Manchester, à travers sa filiale Metrolink RATP Dev Limited, RATP Dev assure l’exploitation et la maintenance du réseau de tramway. Ce dernier transporte environ 30 millions de voyageurs par an, sur 7 lignes, 92 km et 92 stations – soit l’un des plus importants réseaux de tramway en Europe.
  •  A Johannesburg, RATP Dev assure l’exploitation et la maintenance du train régional Gautrain, fer de lance de l’expertise rail du groupe. Reliant Johannesburg à Pretoria sur 80 km, le Gautrain transporte plus de 100 000 voyageurs par jour.
  •  A Honk Kong, RATP Dev et Transdev, au sein de leur joint-venture en Asie, assurent l’exploitation et la maintenance du réseau de tramway historique de la ville (1904).
    A New York, en mai 2014, RATP Dev a lancé des bus touristiques, sous l’appellation « Open Loop », illustrant le développement

Contacts
Céline Gautier: servicedepresse@ratp.fr
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L’image par l’image conseille la RATP