Carte Blanche à Adrien Boyer

DomTom

« La photographie d’Adrien Boyer cherche l’équilibre de la composition, élabore une harmonie; à partir de la représentation d’une réalité désordonnée, elle transforme le monde qui nous entoure en objet artistique. Mais à l’aide des mots qui l’accompagnent, elle sollicite aussi l’imagination, invite au voyage. Nous quittons Paris.  » commente Gabriel Bauret

Séduite par les images d’Adrien Boyer, qui s’appuie, dit – il lui-même, » sur une lecture frontale du réel, et « s’applique à ré-enchanter le monde simplement en le donnant à voir », l’image par l’image vous invite à ce ré-enchantement.

Adrien Boyer a répondu aux questions de l’image par l’image 

Qu’est ce qui vous anime?
Paradoxalement, je me sens plus l’âme d’un peintre que celle d’un photographe. Parmi Les artistes qui m’ont le plus marqué, il y a Nicolas de Staël, Edward Hopper ou Mark Rothko. J’aime leur façon de regarder le monde, de jouer avec les lignes, les formes, les couleurs, pour faire émerger du chaos un ensemble harmonieux. Lorsque je prends une photographie, J’ai l’impression de saisir au vol un tableau posé là, devant moi. Qui n’attendait que moi.

Pourquoi photographier les villes?
J’aime la ville dans ce qu’elle a de rigide et de vivant. C’est un mélange de hasards et de mises en scène donnant lieu à d’éternelles recompositions. Devant cet enchevêtrement continuel d’objets et de formes les plus divers, je pense souvent à cette phrase d’Héraclite que je trouve si juste : « Un tas de gravats déversé au hasard : le plus bel ordre du monde ».  

Comment se passe le processus de prise de vue ?
L’image doit me sauter aux yeux ; je prends d’abord la photographie dans ma tête, et ce n’est qu’ensuite que je sors mon appareil. Cela se passe très rapidement car je ne veux pas que le sens que je projette naturellement sur ce que je regarde ne prenne le pas sur ce qui m‘a initialement frappé; je recherche l’émotion première associée à l’esthétique pure, débarrassée de toute intention ou interprétation. C’est pourquoi ce que je photographie n’a que peu d’importance, ce sont avant tout les lignes et les couleurs, l’équilibre passager d’une situation, l’étrange justesse d’un point de vue, qui vont inspirer à mon esprit un cadrage. J’utilise un appareil à focale fixe (Leica X1. eq. 36mm) qui me permet d’être le plus fidèle à ma vision.

Pourquoi n’y a-t-il jamais d’êtres humains sur vos photos ?
Bien qu’ils n’apparaissent pas, tout parle des hommes dans mes photographies ; ce sont des paysages humains. Mes images sont comme des décors de théâtre ; libre au spectateur d’y plonger et de venir les habiter.

Pourquoi développez-vous vos photographies en grand format ?
Pour restituer le rapport premier à la scène photographiée, ceci afin de susciter chez le spectateur le même choc esthétique que celui qui m’a saisi.

Comment choisissez-vous les titres de vos photographies ?
Inspiré par une lecture poétique du réel, j’aime à donner un titre augmentant encore à la puissance évocatrice de l’image.

Photo Adrien

Adrien Boyer vit et travaille à Paris.
Issu du monde de la Finance, c’est dans une banque, en 2009, qu’Adrien expose pour la première fois son travail. Devant le succès et l’intérêt suscité, il décide de quitter le salariat pour se lancer dans la double aventure artistique et entrepreneuriale. Une exposition réussie en entrainant une autre, le travail d’Adrien vient à intéresser quelques galeries à Paris puis à l’étranger, en particulier à Singapour et Bruxelles. En outre, fort de sa proximité avec le monde de l’entreprise, dont il continue à faire partie en tant que consultant, Adrien établit des partenariats de co-production avec des sociétés désireuses d’enrichir leur collection et de communiquer par la photographie. En septembre 2015 une œuvre d’Adrien Boyer intègre la collection du musée de la ville de l’Isle-Adam (95).

-1- Préface de l’ouvrage « Paris », éditions TerreBleue, reprenant la série de photographies commandées par le cabinet d’audit Deloitte, et offert en cadeau d’entreprise (hors marché).

www.adrienboyer.com

Sebastiao Salgado, invité par la RATP, montre la beauté de la planète aux voyageurs

©Sebastiao Salgado/Amazonas images

©Sebastiao Salgado/Amazonas images

 

« La RATP invite… » Sebastião Salgado et expose dans douze stations de métro une sélection de photographies tirées de son projet « Génésis ». Cette exposition, du 24 novembre au 7 décembre 2015, est réalisée à l’occasion de la COP21.

 

 

 

ESSAIS D'AFFICHAGE DES PHOTOGRAPHIES DE SEBASTIAO SALGADO SUR LE QUAI DE LA STATION SAINT-AUGUSTIN SUR LA LIGNE 9

Ce projet a conduit le photographe brésilien à sillonner la planète pendant huit ans pour révéler au public, à travers des photographies en noir et blanc, la nature dans toute sa splendeur et sensibiliser ainsi le grand public à la beauté et à la fragilité du monde.
Les 55 photographies sélectionnées par la RATP et Sebastião Salgado dévoilent des contrées encore intactes et révèlent la splendeur des régions polaires, des forêts tropicales, des savanes, des déserts arides, des glaciers et des îles solitaires.

 

 

SEBASTIAO SALGADO LORS DES ESSAIS D'AFFICHAGE DE SES PHOTOGRAPHIES SUR LE QUAI DE LA STATION SAINT AUGUSTIN
Pour Sebastião Salgado, « Les espaces du métro, parce qu’ils sont ouverts à tous, représentent un lieu d’exposition idéal pour montrer à des millions de personnes notre héritage planétaire et les encourager à le préserver. Cette exposition témoigne d’une histoire humaine, une histoire qui nous concerne tous. »

 

 

 

©Sebastiao Salgado/Amazonas images.

©Sebastiao Salgado/Amazonas images.

Les photographies sont présentées dans 12 stations sur des très grands formats et selon différentes scénographies :

Porte de Vincennes, Place de Clichy, Cité, Gare d’Austerlitz, Trocadéro, Gare de l’Est, Saint-Augustin, Bonne Nouvelle et Strasbourg Saint-Denis, Montparnasse-Bienvenüe  et sur des grandes bâches suspendues sous le viaduc du métro aérien dans les deux stations, Jaurès et Bir Hakeim.

 

 

 

 http:// www.ratp.fr
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servicedepresse@ratp.fr

L‘image par l’image conseille la RATP

Paris Photo: Coup de foudre pour Natasha Caruana, lauréate de la Résidence BMW

Alchemy of the Sun © Natasha Caruana

Alchemy of the Sun
© Natasha Caruana

 

BMW Art & Culture présente “Coup de foudre”, une exposition de la photographe Natasha Caruana, quatrième lauréate 2014 de la Résidence BMW au musée Nicéphore Niépce.
BMW Group France est partenaire de Paris Photo depuis 13 ans.

 

 

 

L’exposition “Coup de foudre” est le fruit du travail réalisé par l’artiste Natasha Caruana pendant les trois mois de sa résidence au musée Nicéphore Niépce.
Mariée quelques jours avant le début de la Résidence, elle s’inspire de sa propre vie, et puise dans les mythes populaires et les enquêtes menées par des neuroscientifiques, biologistes ou anthropologues.

Love at first sight © Natasha Caruana

Love at first sight © Natasha Caruana

Partie à la recherche d’une explication sur le coup de foudre, en anglais « love at first sight » – l’amour au premier regard – elle tente d’approcher par la photographie la vérité sur ce phénomène à jamais inexpliqué.
Ce travail est une tentative de compréhension de la passion amoureuse mêlant théâtralisation de l’instant, commentaire scientifique et illustration des facteurs influençant le coup de foudre. Il s’articule autour de récits de couples ayant ressenti ce phénomène, associé à des expériences menées dans les domaines de la psychologie comportementale.

 

Beating #1 © Natasha Caruana

Beating #1
© Natasha Caruana

L’artiste recrée les conditions de sept expériences effectuées par des spécialistes pour en vérifier les résultats et constituer une documentation photographique. Puis, par le biais d’un appel à témoin, elle a demandé à une dizaine de couples ayant été touchés par un coup de foudre de raconter et de mimer devant son appareil photo les sensations ressenties lors de leur première rencontre.

Enfin, l’influence de phénomènes météorologiques et les effets physiologiques sont représentés sous la forme de photographies et de planches anatomiques.

 

 

©Amandine Riou

©Amandine Riou

 

Natasha Caruana propose également une expérience interactive sur le Coup de Foudre sous forme d’une cabine photo.Résultat d’une collaboration entre le magazine Fisheye, Natasha Caruana et l’artiste sonore Ben McDonnell, cette cabine photo est produite par BMW.
Conçue comme une expérience unique vous plongeant dans son univers, Natasha Caruana la décrit ainsi : « Sentez l’herbe sous vos pieds et écoutez les sons de la colline. Soudain, arrive le bruit du tonnerre et un éclair. Prenez rapidement la pose pour que la photographie capture l’instant où le Coup de Foudre vous a frappé! » 

Natasha Caruana invite les visiteurs à partager leur image sur les réseaux sociaux avec le #NatashaCaruana.

 

Durant l’exposition, le public pourra également découvrir un film réalisé par François Goizé dévoilant les coulisses de la Résidence de Natasha Caruana à Chalon-sur-Saône.

 

couverture Natasha caruana

 

L’exposition, produite par BMW Art & Culture, est accompagnée d’un livre coédité avec les éditions Trocadéro dans la collection BMW Art & Culture.
Natasha Caruana signera son livre Coup de Foudre le 13 novembre à 17heures sur le stand de BMW (allée E, stand EE0).

 

 


Serge Naudin, Président du Directoire de BMW
Group France, commente l’engagement de BMW dans la photographie: « BMW est partenaire de Paris photo depuis 13 ans. Cette année est placée sous le signe du « Coup de foudre » ! Pouvions-nous espérer titre plus évocateur pour aborder la passion qui anime BMW que celui de l’étude photographique réalisée par Natasha Caruana. L’exploration méthodique, scientifique et artistique des passions amoureuses conduite par l’artiste dans le cadre de cette 4ème édition de la Résidence BMW relève à l’évidence d’un défi partagé par notre marque et suggère les valeurs auxquelles nous sommes attachés. C’est dans la diversité des parcours et des projets que réside l’essence et la richesse même du mécénat et de la Résidence BMW. Tout comme les artistes, nous nous attachons au quotidien, dans l’exercice de notre activité, à demeurer des pionniers pour toujours innover et rendre l’impossible possible. »

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© © Edgar Martins BMW plant Munich (Germany) –extract from book 00 :00: 00

À l’occasion de la sortie du livre 0 :00.00 d’Edgar Martins chez The Moth House, BMW Art & Culture accueille le photographe pour une séance de signature ce même jour à la même heure
(13 novembre-17h) 

Fruit d’une collaboration sans précédent de 18 mois avec BMW dans ses usines afin d’en capter les recherches : crash-tests, outillage, assemblage des véhicules, ce travail est conçu autour de la notion de ralentissement du temps. Il met en exergue la fascination de notre monde pour la mobilité et la rapidité, en utilisant des temps de pause très longs dans un environnement ou la vitesse est intrinsèque.

 

La Résidence BMW au musée Nicéphore Niépce, une « carte blanche » à la création photographique contemporaine.

Ce mécénat s’inscrit dans une démarche de responsabilité sociale et culturelle engagée par BMW Group pour soutenir la création dans sa plus libre expression, préalable indispensable à l’émergence de nouvelles formes artistiques ou d’innovation dans l’entreprise.
La Résidence d’un jeune artiste photographe est issue d’une collaboration initiée en 2011 entre BMW Group France et le musée Nicéphore Niépce, avec le souhait commun de développer les pratiques photographiques contemporaines.
Un lauréat est choisi chaque année au mois de mai, après appel à candidatures, par un jury composé aux cotés de BMW, du conservateur en chef du musée Nicéphore Niépce, des directeurs de Paris Photo et des Rencontres d’Arles, et de personnalités du monde de la photo.
BMW souhaite favoriser l’émergence de points de vue, de thèmes et de techniques éclectiques, reflet de la diversité et de la richesse de la création contemporaine.
Au travers de cette carte blanche, la personnalité de la lauréate de la Résidences BMW exposée cette année à Paris Photo s’expriment sans entraves pour donner naissance à des œuvres très personnelles.
Les œuvres produites en Résidence sont présentées à Paris Photo et aux Rencontres d’Arles, sont présentées dans un livre aux éditions Trocadéro et d’une vidéo réalisée par François Goizé, dévoilant les coulisses de la création.
Ce soutien à la photographie s’intègre à la politique culturelle menée depuis plus de 40 ans par le Groupe à l’échelle internationale. BMW soutient en effet plus de 100 projets culturels variés dans le monde entier, dans l’art moderne et contemporain, le jazz et la musique classique, ainsi que l’architecture et le design.

 

Informations pratiques
Du 11 au 15 novembre 2015
Exposition « Coup de foudre » par Natasha Caruana, lauréate 2014 de la Résidence BMW au musée Nicéphore Niépce. Commissaire d’exposition François Cheval, conservateur en Chef du musée Nicéphore Niépce – Espace BMW Art & Culture (allée E, stand EE0).

Le 15 novembre à 17h, espace BMW Art & Culture (allée E, stand EE0) :
Séance de dédicace des livres de Natasha Caruana et d’Edgar Martins.

Janvier 2016
Appel à candidatures 2016 sur les sites bmw.fr, www.museeniepce.com et chantal-nedjib.com

Contacts
maryse.bataillard@bmw.fr
Communication.NIEPCE@chalonsursaone.fr
cnedjib@chantalnedjibconseil.com
mprangey@gmail.com

www.bmwgroup.com

L’image par l’image conseille BMW

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Coup de coeur pour Photo Saint-Germain à découvrir du 7 au 22 novembre

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©Laurent Champoussin

La 4è édition de Photo Saint- Germain rassemble, du 7 au 22 novembre, une quarantaine de galeries, institutions, centres culturels et librairies de la rive gauche autour d’un parcours photographique : expositions, projections et rencontres viendront rythmer la programmation.

La programmation dynamique a été mise au point par Virginie Huet et Aurelia Marcadier, coordinatrices du festival entouré d’un comité de sélection enthousiaste, exigeant et guidé essentiellement par l’intérêt que pourra y trouver le public avisé ou non.

Créé en 2010 par Juliette Aittouarès, directrice de la Galerie Espaces 54, le festival Photo Saint- Germain fête cette année sa 4ème édition. Sa nouvelle formule s’organise autour d’une quarantaine de lieux .

En avant -première du vernissage public au départ le soir du 6 novembre, l’image par l’image vous propose ses coups de coeur nombreux et variés non exhaustifs :

©Didier Massard

©Didier Massard

 

Les expérimentations de Didier Massart, Galerie Arcturus

 

 

 

 

03 Benjamin Renoux

©Benjamin Renoux

 

Les troublantes et sensibles images de Benjamin Renoux au croisement de la photographie et de la vidéo, Galerie Antoine Laurentin.

 

 

 

 

©Eric Pillot/Académie des beaux-arts

©Eric Pillot

 

Les animaux sauvages fascinants d’Eric Pillot, Prix de l’Académie des beaux-arts à l’Institut  de France  qui nous regardent posément de leurs zoos transformés en décors riches d’influences et empreints de la culture visuelle et artistique, de leur pays.

 

 

 

 

©Barbara Balkova

©Barbara Balkova

 

Les femmes fantômes de  l’artiste tchèque Barbara Balkova  au Centre tchèque de Paris

 

 

 

 

 

©Kourtney Roy

©Kourtney Roy

 

Les autoportraits de Kourtney Roy construits dans un imaginaire qui lui semble « plus intéressant que la réalité imposée par la société », Galerie Catherine & André Hug,

 

 

 

©Mathieu Bernard -Reymond

©Mathieu Bernard -Reymond

 

Les paysages de Mathieu Bernard -Reymond qui interrompt le calcul d’un logiciel de fabrication de paysages en 3D , Galerie Eric Mouchet

 

 

 

©Thomas Jorion

©Thomas Jorion

 

Les images épurées de villas et palais portugais désertés, théâtre d’une vie aisée et insouciante aujourd’hui disparue par Thomas Jorion, Galerie Insula

 

 

 

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©Yan Morvan

 

Et les Champs de bataille de Yann Morvan qui nous racontent l’ irracontable sans montrer l’horreur ni le spectaculaire, un travail sur l’histoire très fort et émouvant.

 

 

 

L’image par l’image vous invite aussi à aller découvrir toutes les autres propositions photographiques et leurs  différents axes :  les photographes anonymes à la Librairie des Alpes, les techniques anciennes avec Mathilde de L’Ecotais; la vision d’Iran de Jean Michel Voge à la Galerie Chevalier, les talents découverts par Foam Magazine exposés à l’Atelier néerlandais, Carole Fékété et Martine Franck  à la Galerie Claude Bernard; les cinq séries de photographies abstraites proposées par la Galerie RueVisconti

©Lisette Model

©Lisette Modelet

 

Ne pas manquer de voir les 12 tirages emblématiques de Lisette Model à la Galerie Marcilhac, Lola Alvarez Bravo à la Maison de l’Amérique latine, l’exposition « Qui a peur des femmes photographes » au Musée d’Orsay et de l’Orangerie et les lieux plus inattendus comme l’Eglise Saint Germain avec Vasantha Yoganathan,  Deyrolle, Aesop ou l’Hôtel rue des Beaux Arts transformé en quartier général du Festival.

 

 

 

©Lola Alvarez Bravo

©Lola Alvarez Bravo

 

La coordination générale est assurée par Virginie Huet, chargée de mission du Mois de la Photo 2014 et journaliste indépendante, et Aurélia Marcadier, commissaire indépendante et co- fondatrice de TEMPLE, lieu d’exposition autour des questions de l’image contemporaine.

L’association Photo Saint-Germain-des-Prés, est désormais présidée par Christophe Lunn, expert en photographie pour la maison de ventes Artcurial et commissaire indépendant.

 

 

 

sports d'hiver à Chamonix - deux jeunes filles tentent leurs premier pas

Anonyme, Premières skieuses à Chamonix, Au sommet du Brévent en 1900

Le comité de sélection mis en place pour l’édition 2015 réunit:
Jeanne Fouchet-Nahas, rédactrice en chef adjointe des hors-séries de Connaissance des Arts, Caroline Géraud, acheteuse d’art,  Hélène Giannecchini, écrivain et commissaire indépendante,  Luce Lebart, responsable des collections de la Société Française de Photographie, Chantal Nedjib, fondatrice et présidente de l’agence de conseil en communication l’image par l’image.

www.photosaintgermain.com

Carte blanche à Adrien Boyer

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« La photographie d’Adrien Boyer cherche l’équilibre de la composition, élabore une harmonie; à partir de la représentation d’une réalité désordonnée, elle transforme le monde qui nous entoure en objet artistique. Mais à l’aide des mots qui l’accompagnent, elle sollicite aussi l’imagination, invite au voyage. Nous quittons Paris.  » commente Gabriel Bauret -1-

Séduite par les images d’Adrien Boyer, qui s’appuie, dit – il lui-même, » sur une lecture frontale du réel » et « s’applique à ré-enchanter le monde simplement en le donnant à voir », l’image par l’image vous invite à ce ré-enchantement.

Voir la carte blanche