Bobba, Prix Swiss Life à 4 mains, à Roubaix au musée La Piscine

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Le Prix Swiss Life à 4 mains récompense la création d’un photographe et d’un compositeur.

Julien Taylor et Arthur Lavandier, lauréats de la première édition, ont conçu ensemble l’opéra
de chambre Bobba, qui sera donné en concert le 21 janvier 2016 au musée La Piscine à Roubaix dans le cadre de l’exposition Chagall et la musique, dans son volet Les Sources de la musique. 

 

11792074_446303825562389_2172819301237848357_oL’exposition commencée le 24 octobre 2015 est visible jusqu’au 31 janvier 2016, elle intègre déjà les images de Julien Taylor dans la scénographie.

 

Après avoir été créé à la Philarmonie en septembre dernier, puis montré à Roubaix, l’opéra de chambre sera représenté le 22 mai 2016 au musée d’Art et d’Histoire du judaïsme à Paris.
Leur travail est également à découvrir dans le CD-livre Mémoires de Bobba aux éditions Actes Sud., collection Images en musique.

Pendant plus d’un an, les deux lauréats ont mis leurs talents en commun pour créer une forme d’opéra de chambre dans lequel musique, chants, installations photographiques et dispositifs scéniques entrent en écho. Un chanteur et quatre instrumentalistes interprètent la composition d’Arthur Lavandier, tandis que s’animent autour d’eux les installations photographiques de Julien Taylor, créant un théâtre illusionniste à la poésie surréaliste, qui prend vie au fil des scènes.

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Créé en 2014, ce prix est une initiative artistique novatrice développée par la Fondation Swiss Life, favorisant le dialogue entre musique et photographie.

Pour cette première édition, les artistes ont travaillé sur le thème de « Chagall et la musique », en lien avec la grande exposition présentée en simultané à la Philharmonie de Paris et au musée d’Art et d’Industrie La Piscine de Roubaix, à l’automne 2015.

 

Leur cocréation, photographique et musicale, prend la forme d’un spectacle illustrant la vie dansun shtetl — village juif d’Europe de l’Est —, qui a été une grande source d’inspiration pour Marc Chagall. Rythmées par cinq tableaux, elles ont pour base narrative cinq récits issus de la littérature yiddish écrits par la grand-mère du photographe,Sonia Kotkin.

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Le détournement est le principe qui sous-tend les vingt images du livre : à chaque nouvelle image, la narration se construit par détournement de l’image précédente. Les personnages mis en scène — les deux lauréats, le chanteur et les musiciens — ont le pouvoir d’effacer et de faire surgir des souvenirs, transforment le décor, se font fantômes…

L’écriture musicale d’Arthur Lavandier est résolument axée sur la narration et le jeu : le jeu théâtral, bien sûr, mais aussi le jeu qui se développe entre le chanteur et l’instrument qui l’accompagne.

Pour la première fois chez Actes Sud, avec le soutien de la Fondation Swiss Life, l’ouvrage propose à ses lecteurs des expériences en réalité augmentée. En collaboration avec la revue The Eyes, trois séquences présentent des éléments interactifs grâce à l’application « The Eyes Link » disponible gratuitement sur Apple Store.

Arthur Lavandier
Arthur Lavandier est un compositeur français né en 1987 et diplômé d’un premier prix de composition de l’École normale de musique de Paris. Il est le compositeur de plusieurs orchestrations de bandes originales pour le cinéma, dont celle du long métrage Minuscule.

 

 

©ADavy

©ADavy

 

Julien Taylor, « artiste scientifique », est un photographe autodidacte né en 1976. Il a exposé dans de nombreuses foires internationales d’art contemporain et a reçu le prix Nicolas-Feuillatte en 2011.

 

 

 


Le CD livre est une coédition Fondation Swiss Life / Actes Sud
; il s’inscrit dans la collection « Images de musique » éditée par Actes Sud, dans laquelle sont déjà parus Berg Schonberg Webern Piano Music – Michael Ackerman (2010), Ibéria d’Albéniz – Isabelle Muñoz Villalonga (2010), Pascal Dusapin (2012), Federico Mompou – Chema Madoz (2013) et Britten, Quilter, Warlock – Alain Fleisher (2013).

13x18cm–64pages23 illustrations en quadriCD livre reliéDisque : 55 minutes
Prix : 25 euros

En savoir plus:
www.swisslife.fr/Fondation
Facebook https://www.facebook.comPrix.Swiss.Life.4mains/<Twitter https://twitter.com/SwissLifeFrNews #PSL4M

 Contacts
anne.pizet@swisslife.fr
emmanuelle@tambourmajor.com
anne.gueudre@gmail.com
c.magne@actes-sud.fr

Coups de coeur pour Wim et Donata Wenders (Places of mind ) et Ronan Guillou (Country limit)

Trailer Sisters - Alabama 2012 ©Ronan Guillou

Trailer Sisters – Alabama 2012 ©Ronan Guillou

James Reading -Reading James© Donata Wenders- courtesy PolkaGalerie/Blain Southern

James Reading -Reading James© Donata Wenders- courtesy PolkaGalerie/Blain Southern

 

 

 

 

Nos coups de coeur avant  les fêtes, deux expositions dans le quartier parisien du Marais :

Polka Galerie nous emmènait au Canada découvrir les regards croisés du cinéaste Wim Wenders et de son épouse Donata dans le projet Places of mind.
NextLevel Galerie,  exposait des photographies de Ronan Guillou extraites de la série Country limit, un travail inspiré  de l’univers visuel  de  Wim Wenders

Places of mind : regards croisés de Wim et Donata Wenders à Polka Galerie

The Little Red House-© Wim Wenders courtesy PolkaGalerie Blain/Southern

The Little Red House-© Wim Wenders courtesy PolkaGalerie Blain/Southern

 Places of the Mind  est construit autour des derniers travaux respectifs de Wim et Donata Wenders. Ces travaux mettent en lumière certaines facettes de leur collaboration artistique, si particulière. Tout se passe entre 2011 et 2014, dans les lieux qui ont inspiré le cinéaste pour réaliser son dernier film « Every Thing Will Be Fine ».

Le grand réalisateur des « Ailes du désir », de « Paris Texas », de « Buena Vista Social Club », , est « d’abord et avant tout un photographe » dit Alain Genestar, le directeur de Polka magazine. Réalisateur aussi du film « Le Sel de la terre » – dédié au travail de Sebastiao Salgado – Wim Wenders voue une passion aux lieux et aux paysage.  Ses photographies montrent des paysages éphémères et malicieux, avec toujours en filigrane les hommes qui les ont habités ou visités. Il fait ses photos lors des repérages.
Son épouse, Donata, se concentre sur les gens et les gestes.

Elle nous livre une série de tirages de l’artiste capturant la présence mystérieuse de l’acteur abandonné à ses lectures ainsi qu’à un court métrage original « James Reading – Reading James » sur une musique de Laurent Petitgand.
Les deux photographes, mènent chacun leur travail de manière bien distincte, et se livrent ainsi à une jolie conversation qui reflète leur but commun, extraire l’essence fondamentale de leur sujet.

Places of the Mind sera de nouveau visible après les fêtes jusqu’au 9 janvier

Country limit de Ronan Guillou à Next Level Galerie

Crisis Unit - Colorado 2012 ©Ronan Guillou

Crisis Unit – Colorado 2012 ©Ronan Guillou

Les images en couleur de Wim Wenders inspirent  le travail de Ronan Guillou qui exposait ses travaux extraits de la série Country limit à quelques centaines de mètres à NextLevel Galerie.

Rien de vraiment surprenant à cela quand on sait que le photographe a découvert la photographie par le cinéma , en particulier après avoir vu le film Paris Texas réalisé par le même Wim Wenders.

Ronan Guillou a entrepris ses premières investigations photographiques personnelles dans les espaces urbains américains. Les Etats-Unis sont devenus peu à peu le sujet principal de ses travaux, odyssée en couleurs à travers l’Amérique de ce début de millénaire. Privilégiant pour son récit photographique le hasard, la rencontre et le désir d’expérience, les explorations du photographe le mènent à observer et ausculter cette Amérique qui fascine, où fiction et réalité entretiennent une relation singulière.
Retrouver une interview de Ronan Guillou : https://chantal-nedjib.com/2011/08/carte-blanche-a-ronan-guillou-2/

Des livres accompagnent ces expositions, vous pouvez encore vous y plonger ! 

77 photographies figurent dans le livre de Ronan Guillou, paru aux éditions Kehrer
Un portfolio de 10 images de Places of the mind est disponible dans le coffret Womblat numéro 20

En savoir plus :   http://www.wipplay.com/fr_FR/user/L_IMAGE_PAR_L_IMAGE/blog/

Carte blanche à Maia Flore

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© Maia Flore/Agence VU, série Situations, 2012

Rencontrer Maia Flore c’est ouvrir une parenthèse de poésie. Elle nous fait entrer dans son monde avec le langage des images, dans lequel elle a grandi.
Citant volontiers sa grand mère qui, pour exprimer sa joie, disait qu’ «un arc en ciel vient de traverser sa maison », elle préfère exprimer ses sensations et les partager avec nous par des images que par les mots qui lui semblent souvent trop limités. « J’ai une grande chance, » dit elle, « celle de vivre par la création ».

L’image par l’image vous invite à « rejoindre le cercle enchanté » de Maia Flore., tel que le décrit la critique d’art Martine Ravache.  » Chaque proposition visuelle est une expérience, tantôt celle de l’absurde, celle du jeu, du mystère… tantôt celle de la lumière, de la Nature, de l’aventure. Au final, un sentiment de liberté communicatif donne à chacun – spectateur ou visiteur – une terrible envie de participer et de rejoindre le cercle enchanté ».

L’image par l’image a rencontré Maia Flore

Quand avez -vous commencé la photographie ?
J’ai toujours été traversée par des images, je ne parle pas de photographie mais de formes qui deviennent des images.

Vos images semblent très mises en scène, pouvez- vous nous éclairer sur votre processus de création et leur réalisation ?
Je vis avec des images de paysages intérieurs dans ma tête, ce sont des expériences personnelles que j’essaie de traduire.
Je commence par de nombreux croquis. Je fais beaucoup de dessins et cela dure longtemps. Et puis quand je ressens moins d’appréhension à passer à la réalisation, je fais très vite des prises de vue des matières qui vont constituer l’image. Cette phase est très brève de 15 à 30 minutes maximum. Ensuite je reconstitue à l’aide de photoshop, comme si j’utilisais la colle et les ciseaux, l’image mentale dont j’ai rêvé et que je pense toujours impossible à reproduire exactement.

Montrerez-vous ces croquis qui sont certainement aussi des éléments artistiques ?
Je ne prévois pas de les montrer, je préfère garder pour moi ces travaux préliminaires qui sont pourtant, effectivement, un élément fort de mon processus de création.

Quel sera votre prochain travail ?
J’ai terminé une première phase de travaux sur l’enfance, dans laquelle je matérialise mes propres sensations;  ce que fait mon corps dans l’espace. Je vais passer à une expérience très enthousiasmante pour moi, celle de faire participer d’autres que moi dans mes images, je ne sais pas encore quelle forme cela va prendre;  j’y travaille avec envie mais appréhension.

Vous effectuez aussi des commandes, quelle est votre relation avec cette pratique ?

Le temps de la commande est palpitant car quelqu’un attend quelque chose. J’ai beaucoup de chance de vivre de la création mais c’est un temps de solitude. La commande me permet de partager et j’aime ces moments d’échange qui décalent le regard des entreprises sur leur univers et  le mien sur le leur. J’ai adoré donner ainsi une vision épurée d’un défilé de Haute couture pour le Monde, transformer un pendentif de Cartier en vaisseau spatial et faire un voyage fantastique dans le patrimoine culturel français pour Atout France.

 

Portrait-Maia-Flore-2014-©-Paolo-Verzone_VU

Portrait Maia Flore 2014 ©-Paolo-Verzone_VU

Maia Flore est née en 1988, en France.
Diplômée de l’Ecole des Gobelins en 2010, elle devient membre de l’Agence VU’ en 2011.
Sa démarche s’inscrit dans une recherche de coïncidences entre le réel et son imagination. Un univers créé de toutes pièces sous forme de narrations émouvantes et envoûtantes, voire surréalistes.
C’est en Suède qu’elle commence sa première série « Sleep Elevations », un voyage suspendu qui se laisse aller dans les souvenirs d’enfance.
Durant l’été 2012, lors de sa première résidence en Finlande, Maia Flore explore de nouvelles méthodes de représentation et de narration. Ces recherches se poursuivent ensuite au centre des arts de Berkeley en Californie. En découlent deux séries (Situations et Morning Sculptures) qui continuent d’explorer la confusion des sentiments dans laquelle la photographe place ses personnages comme ses spectateurs.
Elle est exposée pour la première fois en février 2011 au festival Circulation(s) de la Jeune Photographie Européenne à Paris.
Parallèlement à son travail personnel, elle effectue également des commandes tant pour la presse que pour le secteur culturel.
En 2013, dans le cadre d’une Carte Blanche d’Atout France et de l’Institut Français, Maia Flore met en scène le patrimoine français à travers son univers onirique dans la série « Imagine France – Le voyage fantastique » exposée dans plusieurs capitales européennes. Puis deux autres cartes blanches suivront, l’une pour le Centre chorégraphique de Lille, et tout récemment, Playground, déambulation dans la cité de La Grande Motte qu’elle revisite et réinterprète de façon très originale.
Elle a reçu de nombreux prix dont le Prix HSBC pour la photographie en 2015. Elle expose actuellement à Lille, à la Maison de la photographie, en compagnie de Guillaume Martial, jusqu’au 30 décembre 2015. 

 

VU' collectionMembre de l’Agence VU et Directeur artistique pour Ouur médias, elle fait l’objet d’un des 13 coffrets de VU’ Collection, une collection de coffrets de tirages photographiques inédits qui permet d’accéder à la photographie d’auteur.  Chaque coffret est produit en édition limitée et réunit sept tirages Fine art pigmentaires originaux au format de 18×24 réalisés sous la supervision de l’artiste. Une belle idée de cadeau de Noël !

 

 

 

http://www.maiaflore.com/ 

 

Carte Blanche à Adrien Boyer

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« La photographie d’Adrien Boyer cherche l’équilibre de la composition, élabore une harmonie; à partir de la représentation d’une réalité désordonnée, elle transforme le monde qui nous entoure en objet artistique. Mais à l’aide des mots qui l’accompagnent, elle sollicite aussi l’imagination, invite au voyage. Nous quittons Paris.  » commente Gabriel Bauret

Séduite par les images d’Adrien Boyer, qui s’appuie, dit – il lui-même, » sur une lecture frontale du réel, et « s’applique à ré-enchanter le monde simplement en le donnant à voir », l’image par l’image vous invite à ce ré-enchantement.

Adrien Boyer a répondu aux questions de l’image par l’image 

Qu’est ce qui vous anime?
Paradoxalement, je me sens plus l’âme d’un peintre que celle d’un photographe. Parmi Les artistes qui m’ont le plus marqué, il y a Nicolas de Staël, Edward Hopper ou Mark Rothko. J’aime leur façon de regarder le monde, de jouer avec les lignes, les formes, les couleurs, pour faire émerger du chaos un ensemble harmonieux. Lorsque je prends une photographie, J’ai l’impression de saisir au vol un tableau posé là, devant moi. Qui n’attendait que moi.

Pourquoi photographier les villes?
J’aime la ville dans ce qu’elle a de rigide et de vivant. C’est un mélange de hasards et de mises en scène donnant lieu à d’éternelles recompositions. Devant cet enchevêtrement continuel d’objets et de formes les plus divers, je pense souvent à cette phrase d’Héraclite que je trouve si juste : « Un tas de gravats déversé au hasard : le plus bel ordre du monde ».  

Comment se passe le processus de prise de vue ?
L’image doit me sauter aux yeux ; je prends d’abord la photographie dans ma tête, et ce n’est qu’ensuite que je sors mon appareil. Cela se passe très rapidement car je ne veux pas que le sens que je projette naturellement sur ce que je regarde ne prenne le pas sur ce qui m‘a initialement frappé; je recherche l’émotion première associée à l’esthétique pure, débarrassée de toute intention ou interprétation. C’est pourquoi ce que je photographie n’a que peu d’importance, ce sont avant tout les lignes et les couleurs, l’équilibre passager d’une situation, l’étrange justesse d’un point de vue, qui vont inspirer à mon esprit un cadrage. J’utilise un appareil à focale fixe (Leica X1. eq. 36mm) qui me permet d’être le plus fidèle à ma vision.

Pourquoi n’y a-t-il jamais d’êtres humains sur vos photos ?
Bien qu’ils n’apparaissent pas, tout parle des hommes dans mes photographies ; ce sont des paysages humains. Mes images sont comme des décors de théâtre ; libre au spectateur d’y plonger et de venir les habiter.

Pourquoi développez-vous vos photographies en grand format ?
Pour restituer le rapport premier à la scène photographiée, ceci afin de susciter chez le spectateur le même choc esthétique que celui qui m’a saisi.

Comment choisissez-vous les titres de vos photographies ?
Inspiré par une lecture poétique du réel, j’aime à donner un titre augmentant encore à la puissance évocatrice de l’image.

Photo Adrien

Adrien Boyer vit et travaille à Paris.
Issu du monde de la Finance, c’est dans une banque, en 2009, qu’Adrien expose pour la première fois son travail. Devant le succès et l’intérêt suscité, il décide de quitter le salariat pour se lancer dans la double aventure artistique et entrepreneuriale. Une exposition réussie en entrainant une autre, le travail d’Adrien vient à intéresser quelques galeries à Paris puis à l’étranger, en particulier à Singapour et Bruxelles. En outre, fort de sa proximité avec le monde de l’entreprise, dont il continue à faire partie en tant que consultant, Adrien établit des partenariats de co-production avec des sociétés désireuses d’enrichir leur collection et de communiquer par la photographie. En septembre 2015 une œuvre d’Adrien Boyer intègre la collection du musée de la ville de l’Isle-Adam (95).

-1- Préface de l’ouvrage « Paris », éditions TerreBleue, reprenant la série de photographies commandées par le cabinet d’audit Deloitte, et offert en cadeau d’entreprise (hors marché).

www.adrienboyer.com

Sebastiao Salgado, invité par la RATP, montre la beauté de la planète aux voyageurs

©Sebastiao Salgado/Amazonas images

©Sebastiao Salgado/Amazonas images

 

« La RATP invite… » Sebastião Salgado et expose dans douze stations de métro une sélection de photographies tirées de son projet « Génésis ». Cette exposition, du 24 novembre au 7 décembre 2015, est réalisée à l’occasion de la COP21.

 

 

 

ESSAIS D'AFFICHAGE DES PHOTOGRAPHIES DE SEBASTIAO SALGADO SUR LE QUAI DE LA STATION SAINT-AUGUSTIN SUR LA LIGNE 9

Ce projet a conduit le photographe brésilien à sillonner la planète pendant huit ans pour révéler au public, à travers des photographies en noir et blanc, la nature dans toute sa splendeur et sensibiliser ainsi le grand public à la beauté et à la fragilité du monde.
Les 55 photographies sélectionnées par la RATP et Sebastião Salgado dévoilent des contrées encore intactes et révèlent la splendeur des régions polaires, des forêts tropicales, des savanes, des déserts arides, des glaciers et des îles solitaires.

 

 

SEBASTIAO SALGADO LORS DES ESSAIS D'AFFICHAGE DE SES PHOTOGRAPHIES SUR LE QUAI DE LA STATION SAINT AUGUSTIN
Pour Sebastião Salgado, « Les espaces du métro, parce qu’ils sont ouverts à tous, représentent un lieu d’exposition idéal pour montrer à des millions de personnes notre héritage planétaire et les encourager à le préserver. Cette exposition témoigne d’une histoire humaine, une histoire qui nous concerne tous. »

 

 

 

©Sebastiao Salgado/Amazonas images.

©Sebastiao Salgado/Amazonas images.

Les photographies sont présentées dans 12 stations sur des très grands formats et selon différentes scénographies :

Porte de Vincennes, Place de Clichy, Cité, Gare d’Austerlitz, Trocadéro, Gare de l’Est, Saint-Augustin, Bonne Nouvelle et Strasbourg Saint-Denis, Montparnasse-Bienvenüe  et sur des grandes bâches suspendues sous le viaduc du métro aérien dans les deux stations, Jaurès et Bir Hakeim.

 

 

 

 http:// www.ratp.fr
Contact

servicedepresse@ratp.fr

L‘image par l’image conseille la RATP