La RATP invite Harry Gruyaert du 14 avril au 15 juin dans 16 stations et gares de son réseau

FRANCE. Nord-Pas-de-Calais. Berck. 2007. © Harry Gruyaert / Magnum Photos

FRANCE. Nord-Pas-de-Calais. Berck. 2007.
© Harry Gruyaert / Magnum Photos

 

La RATP accompagne la première rétrospective du photographe belge Harry Gruyaert à la MEP, par l’exposition LA RATP INVITE HARRY GRUYAERT, du 14 avril au 15 juin 2015, dans 16 stations et gares de son réseau.

Il s’agit de la 5e édition de « La RATP invite », programme culturel lancé fin 2013 par la RATP, qui propose des parcours photographiques inédits au sein des espaces de transport.

Partenaire de la Maison Européenne de la Photographie (MEP), la RATP accompagne la première rétrospective du photographe belge Harry Gruyaert – présentée du 15 avril au 14 juin – par l’exposition LA RATP INVITE HARRY GRUYAERT, du 14 avril au 15 juin, dans 16 stations et gares de son réseau.
Grâce à une majorité de photographies exclusives, des compositions variées et des formats exceptionnels, l’exposition qu’offre la RATP à ses voyageurs représente un parcours tant inédit que complémentaire à celui proposé à la MEP. Elle a été conçue par la RATP, Harry Gruyaert et François Hébel, le commissaire de la rétrospective.

La RATP partenaire de la Maison Européenne de la Photographie et de la première rétrospective consacrée au photographe belge Harry Gruyaert

Par ce nouveau partenariat avec la Maison Européenne de la Photographie, acteur incontournable du paysage culturel, la RATP affirme l’ambition qu’elle place dans sa politique photographique : offrir aux voyageurs une photographie de qualité et accessible au plus grand nombre, et ce grâce à des expositions d’une ampleur exceptionnelle sur ses réseaux.
L’exposition LA RATP INVITE HARRY GRUYAERT accompagne la première rétrospective dédiée à l’œuvre de Harry Gruyaert (né en 1941) en proposant au public de (re)découvrir cet artiste belge considéré comme un pionnier de la photographie en couleur : il lui donne en effet une dimension purement créative, une perception émotive, non narrative et radicalement graphique du monde.
Dans ses espaces de transport, la RATP déploie des ensembles d’images issues des territoires de prédilection du photographe : les séries « Maroc », « Rivages », « Made in Belgium » et « TV Shots ».
A travers elles, le public est invité à embarquer pour un double voyage :
un voyage culturel tout d’abord, à la découverte des différents pays et villes explorés par l’artiste… mais aussi un voyage esthétique à travers la couleur, ou plutôt les couleurs, les teintes et les lumières, si caractéristiques des images de Harry Gruyaert et qui en font toute sa force.
Présentées en grand format et dans des scénographies variées, ces photographies sont comme des fenêtres graphiques et colorées, empreintes d’émotion et ouvertes sur l’ailleurs.
Par ailleurs, en choisissant ces photographies en couleurs, la RATP a souhaité marquer une rupture par rapport à la précédente édition de « La RATP invite » consacrée à Garry Winogrand et à ses photographies en noir et blanc (octobre 2014 – février 2015).(1)

 

BELGIQUE. Ostende. Thermes. 1988. © Harry Gruyaert / Magnum Photos

BELGIQUE. Ostende. Thermes. 1988.
© Harry Gruyaert / Magnum Photos

 

De la Maison Européenne de la Photographie aux espaces de transport, deux parcours inédits et complémentaires

LA RATP INVITE HARRY GRUYAERT offre au public un véritable complément de parcours à la rétrospective de la Maison Européenne de la Photographie tout en en faisant un écho exceptionnel par un déploiement de grande envergure.

Sur les 70 photographies de Harry Gruyaert sélectionnées pour l’événement, 46 sont exclusives aux espaces de transport. Reproduites plusieurs fois sur les réseaux, ce sont près de 300 images que les voyageurs peuvent découvrir pendant leur trajet. Afin de donner plus de cohérence et de sens à cette découverte, les stations investies sont thématisées, chacune immergeant le voyageur dans un univers spécifique.

Retrouver les séries photographiques de Harry Gruyaert par stations

MAROC. Meknes. Souk. Citrons confits. 1988. © Harry Gruyaert / Magnum Photos

MAROC. Meknes. Souk. Citrons confits. 1988.
© Harry Gruyaert / Magnum Photos

Maroc
Depuis quarante ans, Harry Gruyaert parcourt le Maroc qui est l’un de ses réservoirs d’inspiration inépuisable. Il ressent la campagne marocaine comme « une véritable fusion entre les habitants et la nature, dans une parfaite harmonie de couleurs qui fait penser à la peinture de Brueghel. »
(gare de Luxembourg (RER B)

 

TV Shots
Vivant à Londres en 1972 et influencé par le Pop Art découvert à New York, il réalise l’étonnante série TV Shots en déréglant un poste de télévision, et en zappant sur les tous nouveaux programmes couleur. Il transforme les jeux Olympiques, les variétés, les premiers pas sur la lune en symboles stylisés d’une télévision balbutiante. Du reportage en chambre, alors que le terme de « photographie conceptuelle » n’existe pas encore.
(station Jaurès -sous le viaduc-L.2)

 

BELGIQUE. Ostende. 1988. © Harry Gruyaert / Magnum Photos

BELGIQUE. Ostende. 1988.
© Harry Gruyaert / Magnum Photos

Made in Belgium
Après avoir vécu à Paris, Londres, New York et voyagé notamment au Maroc, Harry Gruyaert éprouve le besoin, à la fin des années 1970, de retourner photographier en Belgique. D’abord, il n’y voit pas les couleurs, puis elles finiront par apparaître, acides. Ce sera aussi le moyen de solder la relation douloureuse qu’il entretient avec le pays de sa jeunesse.
(stations Hôtel de Ville (Ligne 1), La Chapelle (couloir de correspondance RER B- L.2), Saint-Denis Porte de Paris (L.13))

 

 

FRANCE. Nord-Pas-de-Calais. Berck. 2007. © Harry Gruyaert / Magnum Photos

FRANCE. Nord-Pas-de-Calais. Berck. 2007.
© Harry Gruyaert / Magnum Photos

Rivages
Harry Gruyaert a beaucoup photographié les bords de mer, rarement exotiques. Il a souhaité rassembler ses images dans la série Rivages qui révèle deux spécificités de son travail : composer avec l’immensité du ciel et de la mer est un exercice très particulier, et maîtriser les lumières y est assez complexe. La créativité dont il fait preuve renvoie à des scènes familières, devenues picturales par le traitement exceptionnel de la lumière.(stations Bir Hakeim (sous le viaduc-L.6) et Saint-Michel (L.4)

 

 

ESSAIS D'AFFICHAGE DES PHOTOGRAPHIES D'HARRY GRUYAERT A LA STATION SAINT AUGUSTIN SUR LE QUAI DE LA LIGNE 9

L’exposition LA RATP INVITE HARRY GRUYAERT sur les réseaux de la RATP

D’une station à l’autre, les voyageurs découvrent les photographies suivant des axes thématiques spécifiques et différents dispositifs scénographiques :

 

  • Dans 6 stations de métro et 1 gare RER, les photographies présentées ont été sélectionnées parmi les séries les plus iconiques de Harry Gruyaert.
    Ces sept sites ont été choisis par la RATP dès 2013 pour y exposer en permanence de la photographie, faisant ainsi se succéder les éditions de « La RATP invite ».
    Les images y sont déployées dans des scénographies spécifiques et de grande envergure – impression sur bâches grands formats, accrochage en hauteur
     pendant toute la durée de la rétrospective de la MEP, du 14 avril au 15 juin. (gare de Luxembourg -RER B, stations Hôtel de Ville -Ligne 1, La Chapelle -couloir de correspondance RER B- L.2, Saint-Denis Porte de Paris (L.13), Bir Hakeim – sous le viaduc-L.6),  Saint-Michel-L.4 et Jaurès -sous le viaduc-L.2)
  •  Dans 9 autres stations de métro, la RATP a privilégié des compositions de photographies, choisies parmi les « best » de Harry Gruyaert, issues de différentes séries ; les images sont exposées sous différents formats en lieu et place des cadres publicitaires – 4×3 mètres sur les quais et 2×1,50 mètres dans les couloirs de correspondances, pendant les 15 premiers jours de la rétrospective de la MEP, du 14 au 28 avril.
    (stations Cité (ligne 4), Montparnasse (ligne 13), Nation (ligne 9), Place d’Italie (ligne 6), République (ligne 3), Saint Augustin (ligne 9), Saint Lazare (ligne 2), Saint-Paul (ligne 1) et Villiers (ligne 2)

LE PHOTOGRAPHE HARRY GRUYAERT LORS DES ESSAIS D'AFFICHAGE DE SES PHOTOGRAPHIES A LA STATION SAINT AUGUSTINConnaitre Harry Gruyaert :

Harry Gruyaert est un pionnier de la photographie en couleur, dès les années soixante-dix, à une époque où la « photographie de qualité » était en noir et blanc. C’est sa façon de percevoir le monde.photographie les couleurs, c’est sa façon de percevoir le monde.

Vers l’âge de 20 ans, fuyant une Belgique qu’il jugeait trop étroite, il décide que la photographie sera son moyen d’expression, qu’avec elle il traduira et construira sa quête de connaissance et de sensualité. Dans les années 1970-1980 avec les Américains Saul Leiter, Joel Meyerowitz, Stephen Shore ou William Eggleston, Harry Gruyaert est un des rares pionniers européens à donner à la couleur une dimension purement créative, une perception émotive, non narrative et radicalement graphique du monde.

Après des études à l’Ecole du Cinéma et de Photographie de Bruxelles, il se rend à Paris car la photographie de mode l’attire, avant de comprendre, au Maroc, que ce sera en se confrontant à la réalité qu’il trouvera la matière de sa recherche photographique.

Cette exposition à la Maison Européenne de la Photographie est sa première rétrospective.
Présentation des photographies pendant les 15 premiers jours de la rétrospective à la MEP, soit du 14 au 28 avril.

Couv Livre_Harry Gruyaert (1)Un catalogue présente l’ensemble des séries du photographe avec une préface de François Hébel commissaire de l’exposition à la MEP,  aux éditions Textuel 

 

Contacts

Céline Gautier / 01 58 78 37 37 / servicedepresse@ratp.fr
Carole Brianchon : cbrianchon@mep-fr.org

(1) « La RATP invite », le rendez-vous phare de la programmation photographique de la RATP

Initiative lancée par la RATP en octobre 2013 et devenue un rendez-vous régulier, « la RATP invite illustre le nouveau souffle que l’entreprise a donné à sa politique culturelle à travers la photographie. La RATP s’est engagée à inviter régulièrement des photographes – français ou étrangers, des jeunes talents ou des artistes de renom de différentes époques – et à mettre à l’honneur leur travail en le déployant massivement dans ses espaces.Grâce à la photographie, art de proximité et forme d’expression artistique accessible au plus grand nombre, la RATP souhaite renforcer ses échanges avec ses publics, en donnant une plus grande envergure à la politique d’animation et d’aménagement de ses espaces.… pour faire « Aimer la Ville ».

L’image par l’image conseille la RATP 

« Les liseuses » dans le métro photographiées par Audrey Siourd

 

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©Audrey Siourd

La photographe Audrey Siourd a eu l’ idée de photographier des femmes, anonymes, en train de lire dans les transports en commun.
Elle immortalise ainsi, sur son compte Instagram, celles qu’elle définit comme des « liseuses de bonne aventure », des voyageuses du métro parisien plongées dans leur roman, essai…

A ses photographies de femmes lisant dans le métro, s’ajoute une bande-son originale, constituée de lectures de textes, d’ambiances sonores et de pièces musicales https://soundcloud.com/liseuses

Découvrez toute la série « Les Liseuses » sur instagram

La RATP expose une partie des ses photos dans l’espace VIP du Salon du Livre.

Thierry Fontaine, lauréat 2015 de la Carte blanche PMU

Le fabricant de rêves, 2008 courtesy Galerie les Filles du Calvaire.

Le PMU, avec son partenaire le Centre Pompidou, vient d’ annoncer le lauréat 2015 de la Carte blanche PMU, Thierry Fontaine.

Le jury s’est réuni le 12 mars et a été séduit par le projet artistique de Thierry Fontaine, qui nous invite au rêve engendré par le jeu. Il renvoie à une métaphore alchimique : transformer le plomb en or. « Rien d’impossible commente-t-il, transformer le joueur en rêve, le rêve en joueur, inverser les rôles. »

 Son travail sera exposé à la Galerie de photographies du Centre Pompidou, du 7 au 19 octobre 2015, et fera l’objet d’une publication aux éditions Filigranes.

Thierry Fontaine est l’auteur de photographies qu’il imagine en observant autour de lui les mouvements des modèles sociaux selon les lieux où il se trouve. Les déplacements de ces modèles occasionnent des rencontres et des contacts nouveaux. Les croisements qui en résultent s’entremêlent jusqu’à donner des métissages. Ces contacts altèrent les modèles établis, génèrent des interrogations. Rencontres improbables, antagonistes, rendues possibles par l’artiste, à partir de situations qu’il crée avec des personnages modèles, de scènes préparées, des sculptures et des objets spécialement fabriqués, organisés avec précision dans un contexte choisi. Il les met en scène et les photographie.

Sur 71 dossiers de candidature reçus, 6 finalistes avaient été pré-sélectionnés pour la qualité de leur projet : Eric Aupol, Julien Chapsal, Vincent Debanne, Thierry Fontaine, Patrick Messina et Richard Pak.

Thierry-Fontaine-PMU
Né en 1969 à Saint-Pierre (La Réunion) Thierry Fontaine vit et travaille à Paris. Il est représenté par la Galerie Les Filles du Calvaire.
Thierry Fontaine est diplômé de l’École Supérieure des Arts décoratifs de Strasbourg en 1992 et pensionnaire de la Villa Médicis à Rome en 1999.
Expositions personnelles : 2013 La part de l’autre, Galerie Les filles du calvaire, Paris. L’envers de l’île, Ecole supérieure d’art de la Réunion et Journées photographiques de Bienne, Bienne, Suisse. 2012 Ici la couleur est évidente, Galerie Louise Michel, Poitiers et Abbaye Sainte Croix de Poitiers. 2011 Changement de Main, Micro-Onde, Centre d’Art Contemporain, Vélizy. 2007 Every Man is an Island, Raw Space Gallery, Brisbane. 2003 Project Room, Galerie Yvon Lambert. 2000 Les Sauvages, Musée Léon Dierx, Saint-Denis, La Réunion.
Collections publiques : FRAC Auvergne, FRAC Réunion, FNAC France, MAC/VAL Vitry-sur-Seine.

Le jury de la « Carte blanche PMU 2015 » était composée de :
Paula Aisemberg, Directrice de la Maison Rouge, Jacqueline d’Amécourt, Présidente du Comité d’honneur du IACCCA (International Association of Corporate Collections of Contemporary Art), Valérie Belin, artiste, Olivier Cablat, photographe, lauréat de la Carte blanche pmu 2012, Clément Chéroux, conservateur au Musée national d’art moderne – Centre de création industrielle du Centre Pompidou – chef du cabinet de photographie, Diane Dufour, Directrice du BAL, Nicolas Ferrand, collectionneur, Fondateur du Quotidien de l’Art, Chantal Nedjib, présidente de l’image par l’image et Benoît Cornu, Directeur de la communication du PMU, Président du jury.

La Carte blanche PMU
Le PMU témoigne de son engagement en faveur de la création photographique contemporaine en donnant carte blanche à de jeunes photographes afin de leur permettre de porter leur regard sur l’univers des jeux.
Pour la sixième année consécutive, le PMU a lancé un appel à candidature, ouvert à tout photographe professionnel. Le photographe sélectionné bénéficie d’une dotation de 20 000 euros pour la réalisation d’un projet inédit, d’une publication aux éditions Filigranes et pour la première fois, d’une exposition à la Galerie de photographies du Centre Pompidou.

 Contacts
paolo.antonio@pmu.fr
cathphilippot@relations-media.com
cnedjib@chantalnedjibconseil.com

 L’image par l’image conseille le PMU

Résidence BMW 2015, c’est parti !

Love at first sight © Natasha Caruana

Love at first sight © Natasha Caruana

 

 

BMW et le musée Nicéphore Niépce organisent pour la cinquième année consécutive, un appel à candidatures pour la Résidence BMW au musée Nicéphore Niépce.

 

 

 

Après Alexandra Catiere, Marion Gronier, Mazaccio & Drowilal et Natasha, François Cheval, Conservateur du musée Nicéphore Niépce et toute son équipe accompagneront dans son projet le nouveau lauréat en résidence du 7 septembre au 27 novembre 2015.
Les dossiers de candidatures pourront être transmis au musée Nicéphore Niépce jusqu’au 15 avril 2015.
La Résidence BMW au musée Nicéphore Niépce permettra cette année encore à un jeune artiste photographe de réaliser un projet photographique au cours d’un séjour de trois mois au sein du musée, à Chalon-sur-Saône.

Une sélection des photographies produites lors de la résidence sera exposée dans deux événements majeurs consacrés à la photographie en France dont BMW est partenaire : Les Rencontres d’Arles et Paris Photo.

Un film illustrant le parcours créatif et l’univers du lauréat sera réalisé par François Goizé et présenté lors de ces expositions.
Enfin, un livre coédité avec les éditions Trocadéro dévoilera l’intégralité des œuvres conçues au cours de la Résidence. Il viendra enrichir la collection «BMW Art & Culture », initiée avec l’éditeur dès la création de la Résidence présentant chaque année le travail des nouveaux lauréats.
Afin d’avoir l’esprit libre pour créer, le lauréat bénéficiera également d’une aide matérielle sous la forme d’une bourse de 6 000 € ainsi que d’une prise en charge de ses frais d’hébergement à Chalon-sur-Saône, pendant les trois mois de Résidence au musée Nicéphore Niépce.

Les dossiers de candidatures devront être composés d’une biographie, d’un dossier présentant la démarche générale de l’artiste et d’une note d’intention du projet artistique envisagé.

Ils pourront être transmis par voie postale au musée Nicéphore Niépce jusqu’au 15 avril 2015.

Une pré-sélection de 10 dossiers de candidature sera réalisée par l’équipe du musée Nicéphore Niépce.

Les dossiers de candidatures retenus seront ensuite analysés par un jury composé de François Cheval, Conservateur du Musée Nicéphore Niépce, de  Sam Stourdzé Directeur des Rencontres d’Arles, du Directeur de Paris Photo, de Damien Bachelot, collectionneur, de Chantal Nedjib, Présidente de l’Image par l’Image et de Maryse Bataillard, responsable du mécénat culturel BMW France.

Le lauréat sera annoncé pendant la semaine d’ouverture des Rencontres d’Arles 2015.

L’appel à candidatures est téléchargeable sur le site du musée www.museeniepce.com et sur le site de BMW Art & Culture www.bmw.fr/artetculture

BMW soutient la photographie depuis 2003. Partenaire de Paris Photo et des Rencontres d’Arles, cet engagement s’étoffe pour aboutir en 2011 à la création de la Résidence au musée Niépce. BMW entend ainsi favoriser la création et l’émergence de nouveaux talents à qui est offert une visibilité exceptionnelle auprès des professionnels et du grand public.

Contacts
Maryse Bataillard          maryse.bataillard@bmw.fr
Emmanuelle Vieillard  communication.niepce@chalonsursaone.fr
Chantal Nedjib              cnedjib@chantalnedjibconseil.com

 

L’image par l’image conseille BMW

Carte blanche PMU : appel à candidatures 2015 ouvert jusqu’au 3 mars

 

Les immobiles-LeaHabourdin ThibaultBrunet

Les immobiles ©LeaHabourdin -ThibaultBrunet

 

 

 

 

 

 

Pour la 6e année consécutive* le PMU témoigne de son engagement en faveur de la création photographique contemporaine en donnant carte blanche à un photographe pour interpréter l’univers des jeux.

Cette carte blanche initiée et conçue avec Le BAL depuis 2010, sera menée en 2015 dans le cadre du nouveau partenariat du PMU avec le Centre Pompidou.

Le PMU lance un appel à candidature, ouvert à tout photographe professionnel. L’artiste sélectionné bénéficiera d’une dotation de 20 000 euros pour la réalisation d’un projet inédit. Ce travail fera l’objet d’une exposition à la Galerie de photographies du Centre Pompidou à l’automne 2015 et sera publié dans le cadre d’une collection aux Editions Filigranes.

Le jury de la Carte blanche PMU 2015 est composé de:
Paula Aisemberg, Directrice de la Maison RougeJacqueline d’Amécourt, Présidente du Comité d’honneur du IACCCA (International Association of Corporate Collections of Contemporary Art)Valérie Belin, artisteOlivier Cablat, photographe, lauréat Carte blanche PMU 2012; Clément Chéroux, Conservateur au Centre Pompidou – Chef du cabinet de la photographie; Benoît Cornu, Directeur de la Communication du PMU; Diane Dufour, Directrice du BAL; Nicolas Ferrand, collectionneur, Fondateur du Quotidien de l’Art; Chantal Nedjib, Présidente de L’image par l’image

Calendrier :

Jusqu’au 3 mars 2015 : envoi des dossiers de présélection
12 mars 2015 : présentation des projets au jury et choix du lauréat
Mars à juillet 2015 : réalisation de la Carte blanche PMU
Août à octobre 2015 : préparation de l’exposition et édition du livre

Modalités et appel à candidatures téléchargeables sur : www.carteblanchepmu.fr

* La première Carte blanche PMU, confiée en 2010 à Malik Nejmi, a donné lieu à la publication d’un ouvrage remarqué, Turfisme, suivie en 2011 par Mohamed Bourouissa et la publication de RIP. La Carte blanche 2012 d’Olivier Cablat a fait l’objet pour la première fois d’une exposition au BAL en mai 2013 : Fouilles. Le travail de Kourtney Roy, lauréate 2013, a été exposé au BAL en avril –mai 2014. Léa Habourdin et Thibault Brunet, lauréats en 2014, ont été exposés du 14 au 25 janvier 2015 au BAL.

Contact
paolo.antonio@pmu.fr
cnedjib@chantalnedjibconseil.com

 L’image par l’image conseille le PMU

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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